« Je ne sais pas si ailleurs l'hydroxychloroquine tue, mais ici elle sauve des vies (...) Ici, il nous est passé 4000 malades dans les mains, ne croyez pas que je vais changer d'avis parce que des gens font du big data, fantaisie complètement délirante qui prend des données dont on ne connaît pas la qualité et qui mélange tout. (...) Comment voulez-vous qu'une étude foireuse faite avec le big data change ce que nous nous avons vu ? (...) On est serein sur ce qu'on a fait. Les querelles scientifiques, politiques, publicitaires, tout ça a un temps, le temps fait le tri, on n'est pas très inquiets. (...) La réalité est tordue d'une telle manière que ce qui est rapporté n'a plus rien à voir avec la réalité observable, nous ce dont on parle, c'est juste de malades qui ont été vus par des gens de l'équipe ici ».Les dernières études publiées sur l'hydroxychloroquine montrent une discordance entre les données observationnelles et les analyses rétrospectives de bases de dossiers de patients. A l'IHU, nous faisons confiance à la réalité, pas au big data mal maitriséhttps://t.co/DNZNKXJSnh
— Didier Raoult (@raoult_didier) May 25, 2020
OF THE
TIMES
[Lien]
[Lien]