Mise à jour de dernière minute

Ce sont vingt-neuf personnes en Norvège — parmi celles âgées de plus de 75 ans qui ont reçu leur première injection — et 55 personnes aux États-Unis — parmi celles qui, selon les rapports soumis à un système fédéral, ont reçu soit le Moderna soit le Pfizer-BioNTech — qui sont déclarées mortes après avoir reçu la première injection du produit à ARNm dit vaccinal. Toujours aux États-Unis, et en plus des décès, il est fait état de 96 événements mettant la vie en danger, ainsi que de 24 handicaps permanents, 225 hospitalisations et 1 388 visites aux urgences.
Voici une nouvelle qui doit inquiéter en haut lieu les responsables d'une vaccination accélérée et non mesurée. Les responsables de la santé en Norvège affirment que vingt-trois personnes sont mortes dans les jours qui ont suivi l'injection de leur première dose « vaccinale » contre le Covid-19 de Pfizer. Selon le New York Post, les responsables de la santé norvégienne ont précisé que treize de ces vingt-trois décès, tous survenus dans des maisons de retraite, sont le résultat direct des effets secondaires du « vaccin ».
covid vaccin
© AP PhotoUn homme reçoit le 14 janvier 2021 un « vaccin » Covid-19 à Englewood dans le New Jersey aux États-Unis.
Sigurd Hortemo, médecin en chef de l'autorité sanitaire norvégienne a déclaré dans un communiqué :
« Les rapports suggèrent que les effets indésirables courants des vaccins à ARNm, tels que la fièvre et les nausées, pourraient avoir contribué à une issue fatale chez certains patients fragiles. »
Les treize personnes décédées avaient deux choses en commun : elles étaient âgées (au moins 80 ans) et fragiles.

L'Agence norvégienne du médicament a établi un lien entre treize décès et les effets secondaires du « vaccin » de Pfizer-BioNTech contre le Covid-19, rapporte le média norvégien Norway Today, ce jeudi 14 janvier.

En plus de ceux qui sont morts, neuf autres Norvégiens auraient souffert de graves effets secondaires du « vaccin », notamment des réactions allergiques, une forte gêne et une forte fièvre.

Plus de 30 000 Norvégiens ont reçu la première dose du « vaccin » Pfizer ou Moderna depuis la fin du mois dernier, et les responsables de la santé affirment que les décès survenus dans les maisons de retraite ne devraient pas inquiéter le public. Steinar Madsen, directeur médical de l'Agence norvégienne des médicaments a déclaré :
« Nous n'en sommes ni alarmé ni inquiets. Il est tout à fait clair que ces « vaccins » présentent très peu de risques, à une petite exception près pour les patients les plus fragiles. Les médecins doivent maintenant examiner attentivement qui doit être vacciné. Ceux qui sont très fragiles et en toute fin de vie peuvent être vaccinés après une évaluation individuelle. »
Dans une déclaration, Pfizer a statué qu'ils ne sont pas non plus inquiets par les décès en maison de retraite :
« Les autorités norvégiennes ont donné la priorité à l'immunisation des résidents des maisons de retraite, dont la plupart sont très âgés et souffrent de maladies sous-jacentes, et certains sont en phase terminale. [L'Agence médicale norvégienne confirme] que le nombre d'incidents à ce jour n'est pas alarmant, et conforme aux attentes. »
Ce début de défiance de la part des autorités de santé norvégiennes commence à se répandre dans les médias mainstream. Bloomberg s'en fait l'écho, mais en gros, pour dire « circulez, y'a rien à voir ». Les ennuis pourraient toutefois bien faire surface dans quelques semaines :
« La recommandation ne signifie pas que les personnes plus jeunes et en meilleure santé doivent éviter de se faire vacciner. Mais c'est une indication précoce de ce à quoi il faut prêter attention lorsque les pays commencent à publier des rapports de surveillance sur l'aspect bénéfice/risque des vaccins. Emer Cooke, le nouveau directeur de l'Agence européenne des médicaments, a déclaré que le suivi de l'innocuité des « vaccins » Covid, en particulier ceux qui reposent sur de nouvelles technologies telles que l'ARN messager, sera l'un des plus grands défis à relever une fois que les « vaccins » seront largement diffusés. »
Autrement dit, quand il sera trop tard pour toutes les personnes « vaccinées ».

Aux États-Unis, les professionnels de la santé de plusieurs États ont signalé des réactions indésirables aux « vaccins » Pfizer et Moderna, mais les responsables de la santé insistent sur le fait que le public ne doit pas avoir peur.

On ne sait pas encore tout sur ce qui se trame autour des vaccins actuellement dans le monde, et il faudrait être idiot ou malhonnête pour penser qu'il ne s'agit que d'intérêts sanitaires qui sont en jeu.

Lorsque des patients âgés et malades meurent du Covid, il s'agit d'une horrible tragédie qui nécessite des mesures draconiennes de prévention à des échelles nationales, mais lorsque les mêmes patients âgés et malades meurent des effets secondaires du « vaccin » « il n'y a pas lieu de s'inquiéter ». C'est grotesque et ça prêterait presque à rire si ce n'était pas si grave.

Les lecteurs pourront toutefois reconnaître l'usage de l'incohérente et contradictoire paralogie propre aux pseudo-réalités, qui enfreint sciemment le principe de non-contradiction...

Sources de l'article : Washington Examiner, Breizh-Info, Bloomberg & Vaccine Impact
Traductions : Sott.net