L'INSERM, se veut rassurant sur la possibilité d'intégration de l'ARNm vaccinal dans le génome humain, considérant que l'ARN vaccinal ne peut pas atteindre les organes reproducteurs (testicules & ovaires). Pourtant, les AMM conditionnelles des « vaccins » Pfizer/BioNTech et Moderna montrent le contraire.
Vaccin ARNm et gonade
© Inconnu
Dans un article intitulé : « Les vaccins à ARNm susceptibles de modifier notre génome, vraiment ? », l'INSERM, se veut rassurant sur la possibilité d'intégration de l'ARNm vaccinal dans le génome humain, considérant que l'ARN vaccinal ne peut pas atteindre les organes reproducteurs ou gonades comme il l'affirme dans l'extrait retranscrit ci-dessous :
INSERM re vaccins ARNm Covid
© INSERM
Malheureusement, les AMM conditionnelles des « vaccins » Pfizer/BioNTech et Moderna sont en totale opposition avec cette position de l'INSERM.

Les ARNm vaccinaux se distribuent dans une grande variété d'organes, dont les organes reproducteurs ou gonades.

Dans l'autorisation de mise sur le marché des « vaccins » Pfizer/BioNTech et Moderna, il existe un paragraphe dédié à l'étude de biodistribution du vaccin. Ces documents sont publics et accessibles sur le site de l'Agence Européenne du Médicament (EMA) à ces adresses : A la page 54 de l'AMM conditionnelle du « vaccin » Pfizer/BioNTech, il est clairement noté que :
  • Les ARNm encapsulés dans des nanoparticules lipidiques atteignent de nombreux organes : rate, cœur, les reins, poumons, cerveau ;
  • Les ARNm ont été retrouvés dans les ovaires et les testicules en quantité faible lors des études de bio-distribution de ce « vaccin » (extrait ci-dessous) :
Extrait AMM conditionnelle du Vaccin Pfizer/BioNtech
© Pfizer/BioNTech
Le paragraphe sur la bio-distribution de l'AMM conditionnelle (pp. 47 et 52) du Vaccin Moderna, nous apprend que :
  • les ARNm vaccinaux sont détectables dans une grande variété d'organes : cerveau, cœur, poumon, yeux, testicules ;
  • il est impossibilité de connaitre la biodisponibilité dans les ovaires, car aucun rat femelle n'a été inclus dans l'étude de bio-distribution du « vaccin » Moderna ;
  • les concentrations d'ARNm sont plus importantes dans la rate et les yeux par rapport au plasma ;
  • les ARNm vaccinaux passent la barrière hémato-encéphalique et atteignent le cerveau. Extrait p. 52 de l'AMM conditionnelle du « vaccin » Moderna :
AMM conditionnelle du vaccin Moderna
© Moderna
Extrait p. 47 de l'AMM conditionnelle du « vaccin » Moderna :
AMM conditionnelle du Vaccin Moderna
© Moderna
Conclusion

Les ARNm vaccinaux se distribuent donc dans une grande variété d'organes, dont les organes reproducteurs ou gonades.

L'INSERM a-t-il lu l'autorisation de mise sur le marché conditionnelle des « vaccins » Pfizer/BioNTech et Moderna pour être passée à côté de cette information essentielle ?

Soit l'INSERM n'a pas connaissance de ces éléments scientifiques et c'est grave !

Soit l'INSERM en a connaissance mais en fait une omission volontaire dans ses publications et c'est encore plus grave !

Cet organisme veut-il faussement rassurer médecins et patients ?

Quelle qu'en soit la raison, peut-on encore avoir confiance en l'INSERM qui s'est donnée comme mission d'« améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies, l'innovation dans les traitements et la recherche en santé publique » ?

Ce qui lui impose rigueur et objectivité dans ses publications ou prises de position.


Commentaire : Les risques d'une future méga épidémie de maladies notamment auto-immunes semblent à ce stade réels : Les « vaccins » anti-Covid-19 ou l'apocalypse d'une secte mise en lumière par une nouvelle étude :
Une nouvelle étude explosive réalisée par des chercheurs du prestigieux Salk Institute jette le doute sur la série actuelle de « vaccins » génétiques qui pourraient présenter un risque grave pour la santé publique. L'article, intitulé « La protéine Spike du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire dans la maladie » [en anglais - NdT], montre que la « protéine 'spike' distinctive » du Sras-CoV-2... « endommage les cellules, confirmant que le Covid-19 est une maladie essentiellement vasculaire ».
[...]
ce n'est pas l'infection virale qui pénètre dans le cerveau, mais la protéine Spike qui franchit la barrière hémato-encéphalique via le système vasculaire.

Source de l'article publié le 15 avril 2021 : Reinfocovid