Les « cas » augmentent en Israël, dans le pays où l'on compte le plus d'habitants vaccinés au monde, et les mesures restrictives — masques, distanciation sociale, etc. — pointent là-bas à nouveau le bout de leur nez. À noter, que selon le même article du The Jerusalem Post mentionné plus haut, Israël comptait au 4 juillet dernier encore environ 1 million d'injections Pfizer à inoculer presto sous peine que la date de péremption de ces produits expérimentaux ne soit dépassée et qu'il faille tous les jeter à la poubelle. Pour éviter une telle « perte », le gouvernement israélien a demandé au laboratoire Pfizer de repousser cette date d'utilisation, mais Pfizer a refusé. Est-ce la raison pour laquelle le gouvernement israélien prévoit d'injecter une troisième dose de cette substance expérimentale, en priorité aux personnes immunodéprimés ? Et puisqu'il leur faut vacciner plus de monde, les enfants devront y être très certainement soumis aussi plus largement ; sur les 570 000 enfants âgés de 12 à 15 ans qui vivent en Israël, 110 000 ont, au 4 juillet dernier, reçu au moins une première injection.
Pour revenir sur la polémique qui voudrait que toute contestation se termine par se faire traiter d'antisémitisme, afin de diaboliser un mouvement légitime, il nous a paru essentiel de revenir sur les manifestations de février en Israël.
En effet, lors de la manifestation pro-liberté à Tel-Aviv, les manifestants n'hésitaient pas à désigner le passeport vert (comme on l'appelait à cette époque) comme l'étape qui menait à l'étoile jaune que les Juifs devaient porter afin d'être identifiés, dans l'objectif de leur interdire d'entrer dans les restaurants, magasins, cinémas... La discrimination a commencé de cette manière, puis est venu le moment du marquage au bras.
Source : Le Média en 4-4-2
Déjà, Didier Bourdon en 2005 :
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