Présentation de la vidéo par TV Libertés :
L'effondrement économique et financier a déjà débuté, nous allons changer de système. Pour l'économiste Bernard Monot, le pass sanitaire instauré par Emmanuel Macron s'inscrit totalement dans la logique du Great Reset proposé par le Forum économique de Davos. Il s'agit là de justifier la décroissance économique et le contrôle de la population, première étape de la réinitialisation du régime capitaliste. L'économiste de Natixis le déclare : « Le capitalisme dans sa forme actuelle va forcément mourir », victime du mondialisme spéculatif.

Et preuve de l'effondrement du château de cartes de notre système économique, Bercy vient de rétablir, le 2 juin, le contrôle des capitaux sortants de France pour anticiper une panique bancaire avec le choc systémique qui s'annonce : une banqueroute des banques. Bernard Monot évoque aussi la réforme des retraites comme condition au déblocage du plan de relance européen et la prochaine élection présidentielle.
Bernard Monot, économiste, invité de TV Libertés
© Capture d'écran YouTubeBernard Monot, économiste, invité de TV Libertés
À noter toutefois que la définition que donne monsieur Monot d'une dictature en affirmant que la France n'en fait pas l'objet est fausse parce que, selon lui, la dictature n'existe que par l'existence de goulags et autres formes de camps d'enferment (physique et psychique, voir les ouvrages de d' Alexandre Soljenitsyne) et « qu'on en est pas là ». Ah bon ?. Voici la définition d'une dictature selon Universalis :
« On appelle dictatures des régimes politiques présentant trois caractères fondamentaux : ces régimes sont installés et ils se maintiennent par la force, qu'il s'agisse de celle de l'armée régulière (d'où le grand nombre de dictateurs militaires), de celle de milices privés, de celle d'organisations politico-policières, etc. ; ils sont autoritaires et arbitraires, c'est-à-dire qu'ils suppriment en fait les garanties de la liberté des citoyens, même s'ils continuent à les proclamer en droit ; ils ne correspondent pas à la structure politique estimée normale par la majorité des citoyens, c'est-à-dire qu'ils sont privés de légitimité, ou que leur légitimité n'est reconnue qu'à titre transitoire (on accepte cette structure politique exceptionnelle parce qu'elle est nécessaire dans l'immédiat, mais on ne la reconnaît pas comme une structure permanente). »
Et selon Le Robert :
« Concentration de tous les pouvoirs entre les mains d'un individu, d'une assemblée, d'un parti, d'une classe. »
Donc, Monsieur Monot, nous en sommes bien là.

Nier que ce qui précède correspond à la réalité en France, notamment, ne change par la réalité du fait, pas plus qu'ignorer que cette dictature « globalisée » qui ne dit pas son nom ne concerne pas que la France et fait l'objet d'un calendrier concerté par une classe (qui contient différents cercles de pouvoir), n'en change la lecture qui peut objectivement en être faite. Toutefois, Monsieur Monot fait part d'un certain nombre d'éléments qui restent pertinents, comme le lien qu'il fait entre la crise monétaire de 2008, immédiatement suivi en 2009 de l'essai raté de la « crise H1N1 », reconduit avec bien plus de violence et de préparation (on pensera bien sûr à l'Event 201 ») depuis 2020 sous couvert de « crise Covid-19 ».

Monsieur Monot se dit par ailleurs inquiet non pas du virus du Covid-19, mais du « virus de la misère générale qui va toucher tout le monde ».

Ce que l'on peut aussi retenir de cette interview, c'est que les « complotistes » ayant compris que la « pandémie de Covid-19 » constitue l'un des leviers volontairement actionné pour des raisons entre autres économiques et financières sont en fait relativement bien informés.


Source de la vidéo et de sa présentation : YouTube TV Libertés