« Je vous propose une ultime démonstration de logique : si tous les habitants de la planète avaient le Covid et ne se faisaient pas soigner, le taux de mortalité mondial serait inférieur à un demi pour cent. Je ne plaide pas pour cela, car 35 millions de personnes mourraient. Cependant, si nous suivons les conseils de certains leaders mondiaux — comme Bill Gates qui a déclaré l'année dernière que « 7 milliards de personnes doivent être vaccinées » — alors le taux de mortalité sera de plus de 2 milliards de personnes ! ALORS, RÉVEILLEZ-VOUS ! C'EST LA TROISIÈME GUERRE MONDIALE ! Nous assistons à un niveau de malveillance que nous n'avons jamais vu dans l'Histoire de l'humanité ! »

~ Dr Vladimir Zelenko, auteur du protocole de « traitement précoce » Zelenko qui a sauvé des milliers de patients atteints de Covid-19.
Note du traducteur : Voir notre article Injections de produits expérimentaux nommés « vaccins » anti-Covid-19 — Le Dr Zelenko met en garde contre un potentiel génocide planétaire ! qui contient la vidéo dans laquelle le Dr Zelenko s'exprime face à un tribunal rabbinique. Le passage en question est à 11:45 minutes. Chaque fois que le terme « vaccin » a été utilisé par l'auteur, il a été remplacé par un autre terme ou à tout le moins mis entre guillemets, sauf dans le cas de citations de tiers.
Mise à mort du troupeau !
© Unz.com« Comment éliminer 7 milliards de personnes ? ... En les convainquant de supplier pour obtenir le poison qui les tue. »
Les autorités de la FDA savaient-elles que tous les précédents « vaccins » contre le coronavirus avaient échoué dans les essais sur les animaux et que les animaux « vaccinés » étaient gravement malades ou mouraient ?
— Oui, elles le savaient.

Savaient-elles que les précédents « vaccins » contre le coronavirus avaient tendance à « renforcer l'infection » et à « aggraver la maladie » ?
— Oui.

Le Dr Anthony Fauci savait-il que les « vaccins » contre le coronavirus avaient échoué à plusieurs reprises et avaient augmenté la gravité de l'infection ?
— Oui, il le savait. (Voir ici : Fauci sur la Facilitation de l'infection par des anticorps)

Les compagnies pharmaceutiques ont-elles mené des essais sur des animaux avant l'approbation de la FDA, qui auraient convaincu une personne raisonnable que les [soi-disant - NdT] « vaccins » étaient sans danger pour les humains ?
— Non, elles ne l'ont pas fait.

Ont-elles réalisé des essais cliniques à long terme pour établir si les [soi-disant - NdT] « vaccins » étaient sans danger ?
— Non, il n'y a pas eu d'essais cliniques à long terme [même pas à moyen ou court terme, le court terme, nous le vivons depuis décembre 2020 - NdT].

Ont-elles mené des études de biodistribution pour déterminer quelles sont les zones de l'organisme dans lesquelles la substance injectée se retrouve ?
— Oui, mais les données n'ont pas été rendues publiques.

Le contenu du [soi-disant - NdT] « vaccin » s'accumule-t-il en grande partie dans divers organes et dans la paroi du système vasculaire ?
— Oui, c'est le cas.

De grandes quantités de cette substance expérimentale s'accumulent-elles dans les ovaires ?
— Oui.

Cela aura-t-il un effet sur la fertilité féminine et sur la capacité d'une femme à mener un bébé à terme en toute sécurité ?
— Les compagnies pharmaceutiques font actuellement des recherches à ce sujet. Les résultats sont inconnus.

Le [soi-disant - NdT] « vaccin » pénètre-t-il dans la circulation sanguine et s'accumule-t-il dans la paroi des vaisseaux sanguins, en obligeant les cellules à produire la protéine Spike ?
— Oui.

La protéine Spike est-elle un agent pathogène « biologiquement actif » ?
— Oui, elle l'est.

La protéine Spike provoque-t-elle des caillots sanguins et des hémorragies chez un grand pourcentage de personnes injectées ?
— Oui, bien que les caillots sanguins soient le plus souvent microscopiques et se situent dans les capillaires. Seul un faible pourcentage de personnes injectées subit un AVC ou un arrêt cardiaque.

Les gens devraient-ils être informés de ces conséquences négatives possibles avant d'accepter de se faire « injecter » ? — « Consentement éclairé » ?
— Oui.

La FDA savait-elle que Pfizer avait « identifié comme un risque potentiel important la facilitation de l'infection par des anticorps due aux [soi-disant - NdT] « vaccins », y compris la facilitation d'une infection respiratoire renforcée associée aux [soi-disant - NdT] « vaccins » ?
— Oui, elle le savait, mais elle n'a pas exigé de Pfizer qu'elle règle le problème. En voici d'autres :
« La FDA a noté que Pfizer « a identifié la facilitation de l'infection par des anticorps due au [soi-disant - NdT] vaccin, y compris la maladie respiratoire accrue associée au [soi-disant - NdT] vaccin, comme un risque potentiel important. ». De même, l'EMA a reconnu que la « facilitation d'une infection respiratoire renforcée associée aux [soi-disant - NdT] vaccins » était « un risque potentiel important... qui peut être spécifique à la vaccination contre le Covid- 19. ».

Pourquoi aucun des régulateurs n'a cherché à exclure de tels dangers avant l'autorisation d'utilisation en urgence est une question ouverte que tous les médecins et patients sont en droit de se poser. La raison pour laquelle les régulateurs médicaux n'ont pas enquêté sur la constatation que de grandes particules vaccinales traversent les parois des vaisseaux sanguins, pénètrent dans la circulation sanguine et posent des risques de coagulation du sang et de perméabilité des vaisseaux est encore une autre question ouverte. »

~ Doctors for Covid Ethics, « Lettre ouverte à l'EMA et au Parlement européen »
Les compagnies pharmaceutiques ont-elles injecté le produit expérimental aux personnes du groupe placebo après les essais cliniques afin de dissimuler la différence de résultats sanitaires à long terme entre les deux groupes ?
— C'est la conclusion qu'une personne rationnelle ferait.

Donc, ils ont saboté les essais ?
— Oui.

Pour quelle(s) raison(s) la FDA a-t-elle largement négligé ses devoirs réglementaires et abandonné ses normes et protocoles habituels ?
  1. Elle voulait le plus rapidement possible pousser aux injections anti-Covid ;
  2. Elle savait que l'injection anti-Covid-19 ne répondrait jamais aux normes de sécurité à long terme.
Nous ne connaissons pas encore la réponse, mais le système de signalement des effets indésirables suggère fortement que l'injection anti-Covid-19 [expérimental - NdT] est de loin le [soi-disant - NdT] « vaccin » le plus dangereux de l'Histoire.

La FDA précipite-t-elle les « boosters » [injections de rappel - NDT] sans les tester correctement ?
— Oui, c'est le cas. Voici un extrait du dernier article de l'auteur Alex Berenson sur Substack :
«Pfizer n'a pas DU TOUT pris la peine de tester le rappel [des injections - NdT] chez les personnes réellement à risque — elle a mené un seul essai de phase 1 pour le rappel qui comportait 12 personnes de plus de 65 ans. Aucune personne de plus de 55 ans n'a participé à l'essai principal de rappel de phase 2/3 (notez les efforts [des labos - NdT] qui visent à fusionner plusieurs phases de recherche sur les médicaments [normalement successives - NdT] en une seule... Quand c'est bâclé, les résultats sont mauvais).

Aucune personne.

Vraiment AUCUNE.

~ Alex Berenson, « Are you kidding me, Pfizer, volume 1 gazillion », Substack
Les rappels ont-ils été modifiés ou améliorés pour répondre aux changements propres au variant Delta ?
— Non.

Existe-t-il un risque supplémentaire à prendre une injection de rappel après avoir déjà eu, en moins d'un an, deux injections de produits génétiques expérimentaux ?
— Le risque est considérable. Voici plus d'informations de la part des Doctors for Covid Ethics :
« Étant donné que les injections de rappel renforcent de manière répétée la réponse immunitaire à la protéine Spike, elles renforceront aussi progressivement la réponse auto-immune, notamment en augmentant les dommages causés aux parois des vaisseaux.

D'un point de vue clinique, plus la rupture des vaisseaux et la coagulation qui s'ensuit sont importantes, plus les organes alimentés par le flux sanguin perturbé sont susceptibles d'être endommagés. De l'accident vasculaire cérébral à la crise cardiaque en passant par la thrombose veineuse cérébrale, les symptômes peuvent aller de la mort aux maux de tête, aux nausées et aux vomissements, autant d'effets indésirables très présents dans les réactions aux [soi-disant - NdT] vaccins anti-Covid-19.

Outre les dommages causés par la rupture des vaisseaux et la coagulation, il est également possible que le [soi-disant - NdT] vaccin lui-même s'infiltre dans les organes et tissus environnants. Dans ce cas, les cellules de ces organes commenceront elles-mêmes à produire la protéine Spike, et seront attaquées de la même manière que les parois des vaisseaux. On peut s'attendre à ce que des organes majeurs tels que les poumons, les ovaires, le placenta et le cœur soient endommagés, avec une gravité et une fréquence croissantes au fur et à mesure des rappels. »

~ Doctors for Covid Ethics, « Lettre ouverte à l'EMA et au Parlement européen »
Donc, c'est la double peine. D'une part, le rappel fonctionne en grande partie comme le [soi-disant - NdT] vaccin original, il pénètre dans les cellules et les force à produire des protéines Spike qui, à leur tour, génèrent des caillots sanguins et des vaisseaux sanguins perméables. D'autre part, les protéines Spike nouvellement produites déclenchent une réponse immunitaire néfaste dans laquelle le système de l'injection de rappel attaque et détruit les cellules qui tapissent l'intérieur des vaisseaux sanguins. Chaque rappel supplémentaire va intensifier ce processus en affaiblissant le système vasculaire et en augmentant la coagulation. Si l'analyse des médecins est correcte, nous pourrions assister à une forte augmentation de la mortalité toutes causes confondues dans les pays fortement injectés en moins d'un an. Les arrêts cardiaques sont déjà en hausse.

Voici une autre question qui mérite d'être étudiée : les régulateurs de la FDA avaient-ils une raison de penser que ces problèmes ne se poseraient pas après le lancement de la campagne d'injection des [soi-disant - NdT] « vaccins » ?

— Non. Ils auraient dû savoir qu'il y aurait des problèmes dès qu'ils ont eu connaissance du fait que le produit expérimental anti-Covid-19 injecté ne restait pas dans le deltoïde comme il nous ont assuré qu'il le faisait.

Le produit expérimental anti-Covid-19 injecté n'était pas censé [ou l'était-il ? - NdT] entrer dans la circulation sanguine et se répandre dans tout le corps en laissant des milliards de protéines Spike dans son sillage — la protéine Spike est une cytotoxine, elle détruit les cellules. Ce n'est pas un antigène approprié pour stimuler une réponse immunitaire. C'est un agent pathogène potentiellement mortel qui constitue une menace pour la santé d'une personne même s'il est séparé du virus. Le produit expérimental anti-Covid-19 n'était pas non plus censé [ou l'était-il ? - NdT] déclencher une facilitation de l'infection par des anticorps, à laquelle nous avons fait allusion ci-dessus en parlant de « facilitation de l'infection par des anticorps associée à l'injection expérimentale ». Voici une brève explication :
« La facilitation de l'infection par des anticorps s'est avéré être un défi important dans la recherche sur les « vaccins » contre les coronavirus, et c'est la raison principale pour laquelle beaucoup d'entre eux [en fait tous - NdT] ont échoué lors des premiers essais in vitro ou sur les animaux. Par exemple, les macaques rhésus qui ont été « vaccinés » avec la protéine Spike du virus du Sras-CoV ont présenté des lésions pulmonaires aiguës graves après avoir été exposés au Sras-CoV [naturel - NdT], alors que les singes qui n'ont pas été « vaccinés » ne présentaient aucune lésion. De même, les souris qui ont été immunisées avec l'un des quatre « vaccins » différents testés contre le Sras-CoV ont présenté des modifications histopathologiques dans les poumons avec une infiltration d'éosinophiles après avoir été exposées au virus du Sras-CoV [naturel - NdT]. Ce phénomène ne s'est pas produit dans les groupes témoins qui n'avaient pas été vaccinés. Un problème similaire s'est produit lors du développement d'un « vaccin » contre la péritonite infectieuse féline, qui est un coronavirus félin. »

~ Docteur Doug, « Le vaccin contre le coronavirus est-il une bombe à retardement ? », Science with Dr. Doug
Serait-ce ce que nous observons actuellement ? Dans tous les pays qui ont lancé précocement des campagnes massives d'injection (Israël, Islande, Écosse, Gibraltar et Royaume-Uni), les cas, les hospitalisations et les décès augmentent plus rapidement dans la partie de la population qui a été injecté que dans celle qui ne l'a pas été. Pourquoi ?

S'agit-il réellement d'une quatrième ou d'une cinquième vague ou l'injection de produits expérimentaux nommés « vaccins anti-Covid-19 » ont-ils généré une quantité excessive d'anticorps qui aggravent la maladie ? Cette vidéo de deux minutes permet de comprendre ce qu'il en est :
« Les [soi-disant - NdT] vaccins sont faits pour un variant spécifique. Et quand ce variant mute, le [soi-disant - NdT] vaccin ne reconnaît pas cette mutation. C'est comme si vous aviez affaire à un virus complètement nouveau. C'est pourquoi les symptômes sont plus graves lorsque vous avez été « vacciné » contre un variant, que celui-ci mute et que votre organisme rencontre un autre variant. La science montre que si vous êtes vacciné plusieurs années de suite (contre la grippe), vous êtes plus susceptible de contracter une maladie grave, de subir une réplication virale et d'être hospitalisé... Nous observons la même chose dans la maladie Covid-19 avec le variant Delta.

Nous imposons donc aux gens de se faire « vacciner » alors qu'ils risquent d'être encore plus malades une fois exposés au virus... En fait, cette semaine, une étude a démontré qu'avec le variant Delta, lorsque vous êtes « vacciné », votre corps est censé produire des anticorps qui neutralisent le virus, mais ils étaient censés neutraliser l'ancien variant. Lorsqu'ils rencontrent ce nouveau variant, les anticorps prennent le virus et l'aident à infecter les cellules. »

~ Dr Christina Parks PhD, « Témoignage d'expert sur les vaccinations obligatoires », Rumble, début à la minute 5:05
Note du traducteur : Voici la vidéo en anglais dans son intégralité :

Encore une fois :
« [...] lorsque vous êtes « vacciné », votre corps est censé produire des anticorps qui neutralisent le virus, mais ils étaient censés neutraliser l'ancien variant. Lorsqu'ils rencontrent ce nouveau variant, les anticorps prennent le virus et l'aident à infecter les cellules. »
Ce qui précède correspond exactement à la facilitation de l'infection par des anticorps et c'est probablement pour cette raison que les hospitalisations et les décès augmentent chez les injectés Covid-19 en Israël, au Royaume-Uni et ailleurs. Il est vrai que le variant Delta est moins mortel que le virus de Wuhan mais, malheureusement, cette règle ne s'applique pas à ceux qui ont été injectés avec les produits expérimentaux anti-Covid-19, ceux-là mêmes dont les anticorps favorisent la prise en charge du virus au sein de leurs cellules. La fonction de réplication virale s'en trouve accrue, ce qui augmente la gravité de la maladie. En bref, les gens deviennent plus malades parce qu'ils ont été injectés. Voici une autre courte vidéo qui aide à expliquer :
« [...] Les anticorps induits par le [soi-disant - NdT] vaccin résisteront au virus, et une fois qu'un virus est sous pression, il change, il devient un variant, et le variant ne peut pas être arrêté par les anticorps induits par le [soi-disant - NdT] vaccin. Les anticorps induits par le [soi-disant - NdT] vaccin désactivent également votre système immunitaire inné [...] de sorte que les variants peuvent franchir les mailles du filet et infecter les personnes [soi-disant - NdT] vaccinées. Il s'agit d'une évasion immunitaire virale, et cela signifie que les [soi-disant - NdT] vaccinés sont sans défense contre les variants. Ce n'est plus une pandémie de Covid-19. C'est une pandémie de variants [...]

Et il y a cette chose appelée recombinaison, et la recombinaison signifie qu'un hôte [soi-disant - NdT] vacciné peut être infecté par plus d'un variant à la fois [...] Si un hôte [soi-disant - NdT] vacciné est co-infecté par plus d'un variant, les variants vont mélanger leur ADN, et changer, se camoufler et produire un super variant. Et si un super variant est produit, rien ne peut l'arrêter. Et ils disent déjà que le dernier variant en date est résistant aux [soi-disant - NdT] vaccins. Et ce n'est que le début. Le Dr Geert Vanden Bosche prévient que si nous n'arrêtons pas immédiatement les campagnes de vaccination de masse dans le monde, nous allons assister à une catastrophe internationale marquée par une mortalité massive. Ce n'est pas moi qui l'ai dit, c'est lui. Les [soi-disant - NdT] vaccinés sont une menace pour nous tous. »

~ Dr Michael McDowell, « L'évasion immunitaire virale expliquée », Twitter
Ce n'est pas le variant qui intensifie la maladie, c'est le fait que le [soi-disant - NdT] vaccin ne cible qu'une petite partie du virus, la protéine Spike, qui s'adapte progressivement pour survivre. Au fur et à mesure que le virus apprend à éviter le [soi-disant - NdT] vaccin, l'immunité induite par ce dernier diminue. [En temps normal - NdT], l'immunité innée produit une immunité large et robuste contre l'ensemble du virus et pas seulement contre une partie de celui-ci. Elle est forte et durable.

Comment les injectés pourront-ils combattre les nouvelles formes du virus ? Après tout, le [soi-disant - NdT] vaccin n'est pas un médicament qui permet de vaincre un agent pathogène particulier. Il s'agit d'une reprogrammation génétique subtile du système immunitaire qui oblige les cellules d'une personne à produire une version particulière de la protéine Spike. Les rappels d'injections qui stimulent la production de la même protéine Spike n'auront qu'un impact modeste. En bref, ces rappels ont [et auront - NdT] toujours un train de retard.

De plus, comme nous l'avons mentionné plus haut, lorsque les [soi-disant - NdT] vaccins rencontrent des formes adaptées du virus contre les coronavirus, ils ont tendance à créer des anticorps qui « renforcent l'infection ». Cela signifie que des millions de personnes injectées seront désormais confrontées à des formes du virus contre lesquelles elles n'ont pratiquement aucune protection et pour lesquelles leur système immunitaire affaibli ne peut apporter qu'une aide limitée. Voici d'autres extraits de l'article ci-dessus :
« À l'heure actuelle, le taux de létalité du virus est estimé à environ 0,26 %, et ce chiffre semble diminuer car le virus s'atténue naturellement dans la population. Il serait très dommage de [soi-disant - NdT] vacciner l'ensemble de la population contre un virus dont le taux de mortalité est aussi faible, surtout si l'on considère le risque considérable que présente la facilitation de l'infection par des anticorps. Je pense que le risque de développer une facilitation de l'infection par des anticorps chez un individu [soi-disant - NdT] vacciné sera bien supérieur à 0,26 % et que, par conséquent, le [soi-disant - NdT] vaccin risque d'aggraver le problème au lieu de l'améliorer. Voir le taux de létalité de ce virus augmenter dans les années à venir à cause de nos efforts bâclés, désordonnés et précipités pour développer un [soi-disant - NdT] vaccin dont les tests de sécurité effectués sont quasi inexistants et où la perspective de la facilitation de l'infection par des anticorps est tapie dans l'ombre, serait la plus grande bourde du siècle. »

~ Docteur Doug, « Le vaccin contre le coronavirus est-il une bombe à retardement ? », Science with Dr. Doug
« Une bourde », dit-il ?

Ce n'était pas une bourde. C'était délibéré. Le [soi-disant - NdT] vaccin anti-Covid-19 ne pouvait qu'échouer comme tous les « vaccins » contre les coronavirus avant lui. C'est le but. C'est la raison pour laquelle les compagnies pharmaceutiques ont évité les tests sur les animaux et les essais de sécurité à long terme. C'est la raison pour laquelle la FDA l'a fait passer en toute hâte dans le processus réglementaire et a supprimé les autres médicaments qui pouvaient sauver des vies, a fait taire toutes les critiques qui se sont élevées contre cette décision politique, et a poussé à l'injection universelle sans tenir compte des risques de coagulation du sang, d'arrêt cardiaque, d'AVC et de mort. Et c'est la raison pour laquelle « nous allons assister à une catastrophe internationale marquée par une mortalité massive ». Parce que c'est ainsi que la stratégie a été planifiée depuis le tout début.

Le [soi-disant - NdT] vaccin n'est pas censé fonctionner, il est censé aggraver les choses. Et c'est ce qu'il a fait ! Il a augmenté chez des millions de personnes la probabilité d'une maladie grave et de la mort. C'est ce qu'il a fait. Il s'agit d'une arme furtive dans un tout nouveau type de guerre ; une guerre visant à restructurer l'ordre mondial et à établir un contrôle social absolu. Tels sont les véritables objectifs. Cela n'a rien à voir avec les pandémies ou la contagion virale. Il s'agit de pouvoir et de politique. Point à la ligne.

Source de l'article initialement publié en anglais le 16 septembre 2021 : Unz Review
Traduction : Sott.net