Nous avions, il y a déjà plusieurs mois, émis des réserves au moins théoriques à vacciner les patients cancéreux ou les anciens malades guéris, en raison du mécanisme envisagé de l'injection génique sur l'immunité. Plusieurs généticiens avaient d'ailleurs exprimé leurs inquiétudes sur la possible interférence entre des cellules cancéreuses actives, ou des cellules en sommeil et l'activité de la thérapie génique sur les lymphocytes en particulier.
Les mois ont passé, et la folie vaccinale s'est amplifiée, conduisant à refuser les patients dépourvus de passe dans les hôpitaux (destinés, c'est bien connu à ne recevoir que des bien-portants) et à exiger des patients de se faire vacciner absolument avant de recevoir tout traitement, y compris les cancéreux.
Nous sommes dans un monde devenu fou et pourtant ces histoires se multiplient, tel ce jeune homme de 22 ans qui a vu apparaître une toux chronique conduisant à une radio découvrant une masse médiastinale. Les deux gros hôpitaux parisiens qui l'ont reçu refusent de débuter le traitement (sans qu'il soit expliqué en détail) si le patient refuse l'injection expérimentale, d'effets absolument inconnus sur le développement des cancers. La justification des médecins ? Aucune : « c'est comme cela », et nous l'avons bien accepté !
Silence sur les collègues suspendus faute d'obéissance et encore plus sur les raisons objectives qui leur ont fait préférer perdre leur emploi, leur rémunération, leur maison, leur famille intolérante à ces décisions aussi plutôt que de soumettre à l'ukase présidentiel d'accepter des médicaments expérimentaux...
Plus de trois cent mille soignants (chiffre probablement fortement sous-estimé vu le nombre d'hôpitaux et cliniques actuellement obligés de fermer des lits et de reporter des interventions faute de personnel) seraient-ils fous, complotistes ou délirants au point de se mettre en grand danger personnel, social, familial, professionnel, psychologique ? Les médecins qui affirment que se vacciner est sans danger ont-ils pris le temps de regarder les statistiques des effets signalés et acceptés par les agences officielles ? Les FDA - EMA - MHRA sont-elles aussi « complotistes quand elles affichent comme le VAERS [ce qui suit].
Le VAERS au 26 septembre 2021
Plus de 726 000 effets indésirables liés au vaccin Covid signalés au VAERS alors que le CDC et la FDA annulent les recommandations des comités consultatifs sur le troisième vaccin de Pfizer.
Les données VAERS publiées par le CDC comprenaient un total de 726 965 rapports d'événements indésirables de tous les groupes d'âge suivant les vaccins contre le Covid, dont 15 386 décès et 99 410 complications graves entre le 14 décembre 2020 et le 17 septembre 2021.[1]
Ou EudraVigilance organisme de pharmacovigilance de l'agence européenne du médicament
Ou même l'ANSM notre agence française qui affiche plus de 1 200 décès acceptés comme en lien au moins possible avec ces injections expérimentales
Tous les essais thérapeutiques depuis cinquante ans étaient stoppés après quelques morts pour enquête (53 morts ont fait stopper le vaccin H1N1). Ici des milliers de décès par le monde et on s'attaque aux enfants sans vergogne.[2] Comment peut-on continuer à croire que c'est une politique sanitaire ?
Pourquoi ce déni digne des sectes les plus solides de la part de médecins théoriquement instruits, capables de s'informer directement aux sources fiables et dotés d'un cerveau ? La peur du chef, du patron, du directeur, qui d'ici quelques mois seront inéluctablement mis en cause, puisque de nombreux pays rétropédalent et même l'Allemagne veut sortir du terrorisme vaccinal peut-être à l'occasion du départ de Mme Merkel.[3]
« Les principales organisations de médecins conventionnés en Allemagne exigent la fin immédiate des mesures « anti-corona » et la fin de 'la rhétorique de l'horreur et la politique de la panique. »Manifestement les médecins hospitaliers français parisiens, et d'ailleurs, ne lisent pas les journaux allemands et sont terrorisés par les menaces de leur Conseil de l'Ordre, leur ministre, et deviennent des kapos[4] et terrorisent leurs patients.
Des témoignages de plus en plus nombreux se rapprochent de tous
Quoi qu'il en soit de leurs inacceptables raisons, les témoignages se multiplient.
Une jeune fille accompagne son amie à l'enterrement de sa mère... telle maman, mère d'une amie de lycée, de 34 ans, en rémission d'un cancer du sein depuis deux ans qui se fait injecter la fameuse piquouse et s'écroule quelques jours plus tard dans le coma et meurt après trois jours d'hospitalisation... Explication politiquement correcte : le cancer a explosé et l'a emportée. Fermez le chapitre et le cercueil.
Qu'en aurait dit Maigret ?
Mais trop de coïncidences choquent les enquêteurs de la police devant un cadavre. Seuls les médecins n'auraient pas le droit de réfléchir aux coïncidences de temps, par exemple : « temporalité » est leur mot clé...
Comme le slogan trompeur, « les chiffres ont toujours raison ». Oui s'ils sont vrais et observés dans le monde réel. Mais quelle confiance peut-on accorder à ceux des simulations truquées dont nous abreuvent le gouvernement et les médias sans jamais préciser qu'il ne s'agit que de prédictions ou d'estimation ?[5] Mais on fait ce qu'on veut avec les chiffres, lorsqu'on les choisit, ou les crée pour justifier l'hypothèse choisie, et le téléspectateur ne peut y voir que du feu.
En tous cas, en ce qui concerne « cancer et injection génique », le flou se dissipe malheureusement devant la multitude de récits terribles. De la collègue qui voit apparaître des « boules » multiples sous ses aisselles, que des bilans dans tous les sens à l'hôpital n'expliquent pas... Évidemment aucun lien possible avec le vax. Et pourtant les ganglions qui apparaissent quelque temps après l'injection sont une observation fréquente après ces vax.
Alors clairement il semble bien exister trois situations :
- L'apparition d'un cancer rapidement après l'injection (deux semaines à quelques mois) et très évolutif, chez une personne jusque-là indemne de pathologies carcinologiques connues.
- La reprise évolutive d'un cancer chez un patient en rémission complète depuis plusieurs mois ou années.
- L'évolution rapide, voire explosive, d'un cancer encore non contrôlé.
Voici quelques extraits de leur article[6] et de leurs références[7]:
« Les vaccins covid peuvent-ils causer le cancer ?Ainsi les auteurs en concluent qu'il est bien possible que ces modifications immunitaires puissent entraîner des conséquences imprévues sur l'état du receveur de l'injection génique. Question de bon sens de fait !
Dans certains cas, la réponse semble être oui. Certes, il n'y a aucune preuve que les vaccins covid eux-mêmes sont cancérigènes. Cependant, il a été démontré que chez jusqu'à 50 % des vaccinés, les vaccins covid peuvent induire une immunosuppression temporaire ou un dérèglement immunitaire (lymphocytopénie) qui peut durer environ une semaine ou peut-être plus.
En outre, il a été démontré que les vaccins à ARNm covid "reprogramment" (c'est-à-dire influencent) les réponses immunitaires adaptatives et innées et, en particulier, qu'ils régulent à la baisse la voie dite TLR4, qui est connue pour jouer un rôle important dans la réponse immunitaire aux infections et aux cellules cancéreuses. »
« Ainsi, s'il y a déjà une tumeur quelque part — connue ou inconnue — ou s'il y a une prédisposition à un certain type de cancer, un tel état de suppression immunitaire induite par le vaccin ou de dérèglement immunitaire pourrait potentiellement déclencher une croissance tumorale soudaine et un cancer dans les semaines suivant la vaccination. Il est à noter que la lymphocytopénie a également été fréquemment observée dans les cas de covid sévère ».Il a par ailleurs été constaté une réactivation post-vaccination des infections virales latentes, notamment du virus du zona, l'EBV (Epstein-Barr) et le virus de l'hépatite.
« L'immunosuppression temporaire induite par le vaccin est également un facteur susceptible de contribuer au pic post-vaccination des infections à coronavirus, observé dans de nombreux pays ».Fréquence des événements liés au vaccin en cancérologie : inconnue
Il existe déjà quelques milliers d'observations dans les rapports officiels de déclaration des événements indésirables et dans les groupes de patients en ligne. Il y a certainement de véritables coïncidences ou des retards diagnostiques en raison d'un diagnostic retardé lié au confinement. Mais nous ne devrions pas rayer d'un revers de manches les énormes problèmes que posent ces vraies personnes affectées dans leur quotidien et plus encore la responsabilité que prennent les médecins cancérologues en imposant l'injection avant tout traitement ou toute poursuite de protocole. Leur principal argument : « nous, on l'a bien fait, sans discuter » ne paraît pas digne d'une profession autrefois pensante.
En août 2021, le Dr Ryan Cole,[8] américain, anatomopathologiste depuis de très longues années a décrit une augmentation significative de certains types de cancer (par exemple le cancer de l'endomètre, utérus) depuis le début de la campagne de vaccination de masse covid. Plus récemment, les pathologistes allemands ont également noté le problème de la dérégulation immunitaire post-vaccination et de la croissance tumorale soudaine chez certains patients.
Sur les réseaux français, plusieurs témoignages coïncident avec la réapparition d'hémorragies vaginales chez des femmes âgées de plus de 85 ans aboutissant au diagnostic de cancer de l'endomètre et au décès rapide... La protéine Spike fabriquée par l'organisme à la suite de l'injection est particulièrement attirée par les organes génitaux, et c'en serait une nouvelle démonstration.
Alors en attendant d'en savoir plus, soyons prudents, tant médecins que soignants, et ne jouons pas à l'apprenti sorcier !
La prudence s'impose avec tous les traitements expérimentaux et encore plus lorsqu'ils sont le fruit d'une technique jamais utilisée auparavant en pathologie infectieuse. D'abord ne pas nuire doit guider les décisions de tout médecin fidèle à son serment d'Hippocrate.
Notes
[1] More Than 726,000 COVID Vaccine Injuries Reported to VAERS as CDC, FDA Overrule Advisory Committees' Recommandations on Third Pfizer Shot - Children's Health Defense (childrenshealthdefense.org)
[2] Les simulations, alibi truqué de la vaccination extorquée aux enfants — Docteur Nicole Delépine
[3] Les médecins libéraux allemands pour la fin de « la politique de la panique »
le 27/09/2021 Dr Stephan Hofmeister, Dr Andreas Gassen, Dr Thomas Kriedel, KBV Lopata/axentis.de FranceSoir
Les principales organisations de médecins conventionnés en Allemagne exigent la fin immédiate des mesures « anti-corona » et la fin de « la rhétorique de l'horreur et la politique de la panique ».
Lors de la convention des délégués des médecins conventionnés allemands, le directeur adjoint de la Kassenärztlichen Bundesvereinigung (KBV, association nationale des médecins de l'assurance maladie) le Dr Stephan Hofmeister, et le président, le Dr Andreas Gassen, ont exigé la fin des mesures dites « anti-Corona » en Allemagne et la fin de la « politique de la panique et la rhétorique de l'horreur ».
Le communiqué de presse de la KBV déclare :« tous ceux qui souhaitent se faire vacciner ont la possibilité de le faire. Désormais ce n'est plus une décision qui revient à l'État : chacun doit décider à titre individuel pour lui-même. »Selon le Dr Hofmeister les sondages indiquent que plus insistantes se font les pressions politiques, plus les gens refusent toute vaccination en signe de protestation. « C'est une confusion malsaine », a-t-il dit en exigeant que l'on arrête cette politique de la peur.
[4] Ainsi étaient appelés les déportés qui, en échange de quelques avantages, devenaient complices des nazis et se montraient parfois aussi inhumains que leurs bourreaux.
[5] Retour sur la manipulation via des simulations au cours de la « plandémie » Covid - Docteur Nicole Delépine
[6] Covid Vaccines and Cancer - Swiss Policy Research (swprs.org)
[7] The Testimonies Project - Israeli Jab Victims Speak Out [VIDEO] | Europe Reloaded
[8] Dr Ryan Cole sur le cancer post-vaccination : Le docteur Ryan Cole constate une recrudescence de cas de cancers comme jamais auparavant. Vidéo. | Pro Fide Catholica
À propos de l'auteurSite www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer.
Dre Nicole Delépine : Pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l'hôpital R Poincaré Garches APHP France.
Source de l'article publié le 1er octobre 2021 : Nouveau Monde
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