agenda 21
D'après sa fiche Wikipédia, G. Edward Griffin est un théoricien du complot. Immédiatement nous avons redoublé de motivation pour écouter ses propos. Il nous parle ici du plan d'action pour le XXIe siècle appelé Agenda 21, qui fut adopté par 182 chefs d'État lors du sommet de la Terre à Rio de Janeiro en juin 1992.

Officiellement, ce plan d'action décrit en 40 chapitres les secteurs où le développement durable doit s'appliquer dans le cadre des collectivités territoriales. Il formule des recommandations dans des domaines aussi variés que :
  • la pauvreté
  • la santé
  • le logement
  • la pollution
  • la richesse
  • la gestion des mers, des forêts et des montagnes
  • la désertification
  • la gestion des ressources en eau et de l'assainissement
  • la gestion de l'agriculture
  • la gestion des déchets
Voici ce que dit le préambule :
« L'humanité se trouve à un moment crucial de son histoire. Nous assistons actuellement à la perpétuation des disparités entre les nations et à l'intérieur des nations, à une aggravation de la pauvreté, de la faim, de l'état de santé et de l'analphabétisme, et à la détérioration continue des écosystèmes dont nous sommes tributaires pour notre bien-être. [...] Aucun pays ne saurait réaliser tout cela à lui seul, mais la tâche est possible si nous œuvrons tous ensemble dans le cadre d'un partenariat mondial pour le développement durable. »
Mais pour G. Edward Griffin, ce plan est surtout un plan d'organisation dystopique du monde destiné essentiellement à maintenir les citoyens en état de dépendance de l'État, dans un système de collectivisme total.

Et il est vrai qu'après des mois de crise sanitaire où les peuples de la plupart des pays ont été maltraités et même martyrisés, ce vieux dossier Agenda 21 revient à nos mémoires et y résonne encore plus particulièrement. En ces temps d'accélération de l'histoire, on ne peut qu'admettre que l'État est devenu un État policier qui surveille chaque jour un peu plus son peuple, en le fichant, en le numérisant et en le soumettant sans cesse à de plus en plus de contrôles.

L' « inespéré » coronavirus a permis la mise en place accélérée de projets présents depuis longtemps dans les cartons. Le réchauffement climatique, le développement durable ou autres arguties écologiques (car l'écologie est chose sérieuse - et surtout un concept conservateur et traditionnel) vont pouvoir entrer de nouveau en scène et s'immiscer en toute facilité dans des consciences ébranlées, manipulées et fatiguées par de longs mois de crise sanitaire.