L'épilogue d'un effondrement systémique passe inévitablement par une phase douloureuse de démence collective que plus rien ne saurait freiner. Nous y sommes désormais en plein.
selfies
Selfie à l'Élysée après la partie de foot “triomphale” du président. NB : seul le personnel de service est masqué (au fond entouré en vert), mais pas le ministre de la Santé (en rouge), ni aucun autre convive (au premier plan, deux “vieilles gloires” : Marcel Desailly et Arsène Wenger).
Trois exemples récents viennent encore de nous le démontrer.

Scène d'incontinence hystérique à l'Élysée

Il y eut d'abord ces scènes de libations inconsidérées filmées à l'Élysée après un match de foot grotesque organisé à la gloire de l'occupant immature des lieux.


Cet étalage obscène d'une hystérie incontinente, bien sûr sans masque ni précaution de distanciation, exposé sans la moindre pudeur au public, en dit long sur le dérèglement mental de la classe dominante, encore plus sur son irresponsabilité (rappelons que la vidéo ne fut pas tournée par un opposant malintentionné, mais par un des invités, et diffusée sur les chaînes mainstrean en toute inconscience).

103 % de vaccinés

Il y eut ensuite cette information officielle du gouvernement français révélant que le taux de vaccination de la population majeure parisienne atteignait désormais le pourcentage inédit de... 103,09 % !

Répétée à l'envi (on se rappelle les pataquès sur le port ou non du masque, les approximations aussitôt démontées du premier ministre Castex au fil de ces interventions en forme de sketch, les mensonges éhontés et vite éventés d'un Véran...), ce genre de bourde absurde est surtout révélatrice d'une totale perte de contrôle dans la communication, donc dans la maîtrise de la situation.

Un Great reset qui en rappelle fâcheusement un précédent

Sur un autre registre, on rappellera les élucubrations hallucinantes d'un Klaus Schwab sur le mythe du Great reset et de ses manipulations génétiques même plus dissimulées.


L'ennui, c'est que ce Great reset du suprématisme blanc occidental en rappelle fâcheusement un précédent : celui de la race aryenne ! Et on sait de quelle fâcheuse façon l'aventure se termina pour ses promoteurs.


Commentaire : Dans le contexte du covidisme, l'expression woke grotesque « suprématisme blanc » semble tout de même un poil appropriée, quand on voit le déferlement de commentaires racistes vis-à-vis de nos compatriotes antillais qui, parce qu'ils refusent en masse les injections expérimentales de produits nommés « vaccins », sont qualifiés d'alcooliques analphabètes biberonnés au rhum et au vaudou par certains médecins de plateau dans les médias. On notera en passant l'absence de réaction de la part des associations « anti-racistes » et autres tenants du gauchisme, d'ordinaire si prompts à s'indigner.


Les dictateurs déments tiennent rarement sur la durée

Que les clowns hallucinés de l'empire occidental décadent aient des vélléités d'autoritarisme totalitaire est incontestable. Mais n'est pas dictateur qui veut, en tout cas pas sur la durée. Les régimes autoritaires durables doivent leur pérennité à la puissance et à l'intelligence (même maléfique) de leurs dirigeants, qui savent imposer leur main de fer tout en assurant un minimum matériel suffisant à leurs sujets.

Mais que dire de ces dirigeants grotesques qui commencent par mettre leurs médecins, leurs soignants, leurs pompiers sur la paille, qui sont bien sûr incapables d'assurer le fonctionnement d'une économie en voie de délabrement, qui se ridiculisent en rafales aux yeux de leurs populations ?

Les phases de démence collective d'un pays ou d'un empire sont certes fort douloureuses, mais finalement assez brèves au regard de l'Histoire. Voyez comment s'acheva brutalement le règne des fous furieux que furent les Napoléon, Hitler, Mussolini, Ceaucescu...


Commentaire : Certes, mais de là à mettre Napoléon dans le même sac qu'Hitler & co...