vaccination
© Sputnik / Konstantin Mikhalchevsky
Il m'a paru pertinent d'essayer de recenser et d'analyser les principales causes ou raisons suceptibles d'inciter chacun, dans la population française, à se faire vacciner.

Par comparaison ou par différence topologique dans le référentiel de la population totale, on pourra se faire une représentation des réfractaires.

Voici donc ci-après, à mon sens, classés par ordre décroissant d'importances, les différentes raisons et causes, sachant que la grande majorité des avis relève de l'opinion éclairée ou non ( # 95% ) , et non d'un point de vue scientifique ; je ne m'exclus évidemment pas de cette approximation.

1) En premier lieu, les plus fervents partisans sont ceux qui croient dans des bienfaits avérés des vaccins quels qu'ils soient, y compris cet ersatz de vaccin dit à "ARN messager" ; je les nommerais les "pasteuriens". Leurs raisons ne sauraient être discutées ; ils sont dans le dogme ou la religion ; toutes considérations rationnelles ou questionnement épidémiologique ne les effleurent même plus.

2) Vient ensuite la grande masse qui, spontanément, par naïveté, indifférence, paresse intellectuelle, inculture si ce n'est celle instillée par le pouvoir, va adhérer au projet ; cette masse, initialement, était estimée à # 40% de la population.

3) Les pro-vaccins de "confort" suivent : voyages, restaurants, cinéma, loisirs culturels et sportifs, sont pour ceux là plus importants que quelques petites doses presque anodines injectées par ci, par là ; une formalité en sorte.

4) Les sceptiques représentent une catégorie "sensible" (pour le pouvoir) ; il a fallu user d'arguments sentimentaux tels "ne pas contaminer les vieux", protéger sa famille, ne pas saturer les services de réanimation etc...

Leur insoumission de principe ou sourcée, a pu être trompée par des médias encore assez puissants, malgré une défiance citoyenne grandissante ; en effet, chacun a pu évaluer objectivement le matraquage incessant de la totalité des médias traditionnels, en faveur sans nuance du vaccin ; 20 mois de propagande (pardon, d'informations), à la hauteur (à la bassesse) des plus imbéciles mais non moins scélérates des dictatures, auront eu raison de la raison de cette catégorie de population.

La pression de groupe, familiale ou d' "amis" eux-même sous influence ou hypnose médiatique, a souvent donné petit coup de pouce sur l'embout du piston de la seringue .

5) Dans la hiérarchie des contraintes, celles subies au sein des familles a été un facteur de divisions et de disputes, voire de ruptures ; l'abaissement de l'âge légal de la vaccination aux 12/17 ans a porté un préjudice décisif et honteux par chantage et punition interposés ; en effet, sans le blanc seing du vaccin (ou à défaut un test antigénique ou PCR, douloureux), interdiction de toutes activités culturelles ou sportives pour la jeunesse ; un scandale !

6) La coercition salariale : la pire des tyrannies qui consiste à priver de revenus, donc à priver de toit et de nourriture, soit à mettre des familles à la rue, reste, pour l'instant, l'apéothéose de cette répression ignominieuse.

7) S'il fallait un septième péché capital ; je vous laisse l'initiative de cette recherche ; mais je crois bien que notre société n'est pas au bout de son chemin de croix, vous aurez certainement bientôt de la matière, pour en trouver un.


Commentaire : Pour en trouver ou plusieurs autres.


NOTA : il va de soi que toutes ces mesures légales sont dictées pour le bien collectif ; il va de soi également que vaccinés ou non vaccinés sont en réalité tout aussi suceptibles de contrater le covid les uns comme les autres (proportionnellement) , et sont également aussi contagieux les uns que les autres.

Comprenne qui pourra