Dans le genre atteint, Christophe Barbier fait figure de champion de France. Même Véran, qui pourtant trompe et désinforme du matin au soir, ne lui arrive pas à la cheville.
Déjà, sortir ça, il faut le faire. Protéger nos concitoyens, avance ce sympathique paternaliste. Et les milliers de retraités sacrifiés en Ehpad ? Et les malades non soignés ?
Mais Christophe, en moins d'une minute, va tuer la concurrence. Il est interrogé par Olivier Truchot, un agent du Système déguisé en journaliste. Écoutez bien ce qui va venir, ça va rester dans les annales de la Dinguerie politique. Normalement, on ne retranscrit pas les conneries proférées dans les médias mainstream, il y en a trop. Sauf que là, c'est annonciateur, ça sent le gros nuage noir.
Cruchot & Barbie trompent l'ennui
Cruchot : Peut-être qu'il est temps de soumettre l'obtention du pass sanitaire à cette troisième injection, on sait que c'est une idée qui est dans l'air du temps, mais pour l'instant le gouvernement n'a pas tranché.
Barbie : Non, ce qui est une bonne solution c'est de transformer le pass sanitaire en pass vaccinal. C'est-à-dire si vous n'avez pas un schéma de vaccination complet, on vous retire de certaines activités sociales. Aujourd'hui vous pouvez aller au cinéma, au restaurant avec un simple test montrant que vous n'avez pas la maladie. Si on supprime ça, on va pousser encore un peu plus de gens vers la vaccination.
On peut aussi créer une obligation juridique, c'est-à-dire faire une loi disant la vaccination est obligatoire, on sait que les récalcitrants seront assez insensibles à cela. On peut enfin affiner ce fameux « aller vers » en demandant à ceux qui ont les noms des non-vaccinés, les organismes, les administrations, qui savent qui devrait être vacciné, qui ne l'est pas, de donner ces fichiers à des brigades, à des agents, à des équipes, qui vont aller frapper à la porte et dire « mais vous êtes toujours pas vacciné, c'est un problème pour vous et pour les autres ». C'est pas facile à mettre en place.
Pas facile à mettre en place, effectivement. Il va falloir en envoyer, des équipes, chez les résistants. Qui ne vont peut-être pas se laisser faire...
Une réaction parmi d'autres à cette abjection, prise au hasard sur Twitter (il y a bien pire) :
« l'ordure . les mots me manquent. Plus ils poussent le bouchon trop loin,, plus on va se retrancher. çà va mal finir tout çà. de toute manière on a dejà plus de vie sociale, et certains on déjà perdu leur emploi, alors qu'ils se méfient : on aura plus rien à perdre . »Là on sent que ça vient du cœur, et aussi un peu des tripes. Bientôt, la raison risque de ne pas suffire.
Le bon sens, exprimé dans la seconde réaction, n'empêchera pas les agents du Système de durcir la dictature. À ce propos, Macron, l'employé du Diable, nous prépare une nouvelle frappe, une frappe chirurgicale contre le peuple. Il faudra que les Français comprennent un jour le concept de multiterrorisme : djihadiste (à vérifier), social (c'est tout vu), économique (l'inflation galope), médiatique (la liberté d'expression est privatisée), politique (il n'y a plus d'opposition réelle), juridique (la justice est sous influence), sanitaire (le pays est maintenu dans l'incertitude et l'affaiblissement immunitaire), policier (on tabasse les Gilets jaunes au lieu de tabasser les responsables du chaos)...
Attendons confirmation de cette rumeur. Ceux qui pensent que Macron peut perdre son fauteuil en 2022 en durcissant la répression sociale se trompent : il joue habilement sur le rapport 80/20, les 80 % de vaccinés (peut-être même 75/25) de gré ou de force, contre les 20 % de « récalcitrants », pour reprendre l'expression de Barbie.
L'idée est de transformer les 20 % de résistants en responsables de la pandémie, des malheurs du pays, et de pondre une loi scélérate de plus, une loi d'exception qui permettrait à Bancel & Bourla d'empoisonner le pays tout entier. On n'en est pas encore là, mais si on s'attend au meilleur, et qu'on travaille pour ça, on doit toujours se préparer au pire. C'est, paraît-il, une des devises du renseignement, ou de l'armée...
Nous sommes en guerre, Macron et son cabinet profond sont en guerre contre nous, et chaque jour la lâcheté de la majorité des Français enfonce le pays non pas dans la crise, ce terme est dépassé depuis longtemps, mais dans le chaos, le danger de mort nationale. Barbie n'est qu'un épiphénomène, mais par lequel le pire message peut passer.
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