Ce sera le 5 janvier 2022 : le Monarc Macron a décidé d'instaurer en France un Apartheid fondé sur un Pass Vaccinal et dans lequel 2 catégories de citoyens n'ayant pas les mêmes droits se feront face : les sous-citoyens ainsi créés n'auront donc plus droit aux loisirs, à la culture ou à une vie sociale comme les autres. Ils ne pourront pas occuper les mêmes emplois ni se déplacer comme des citoyens normaux.

macron

Cela peut vous paraître fou ou impossible mais le Conseil d'Etat et le Conseil Constitutionnel ayant validé les folies précédentes, il ne fait aucun doute que cette fois-ci encore les choses se feront comme l'aura décidé le Monarc, qui désormais décide seul et dans le secret d'un Conseil de Défense « Sanitaire ». On pourra (et on devra) remarquer le silence complice et coupable de la plupart des politiques, des journalistes, des intellectuels ou des magistrats, des médecins ou de personnalités qui s'engageraient non pas pour « défendre » les non-vaccinés mais seulement les valeurs qu'ils prétendent pourtant vouloir défendre à longueur de journée : LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE. Mais non. Rien ou si peu. Désormais la liberté n'est plus, la fraternité a été détruite et l'égalité est rompue. Et ne croyez pas qu'un retour en arrière soit possible, car il ne l'est plus. Nous ne pouvons donc compter sur personne d'autres que nous-mêmes, et il faudra pourtant bien vivre tout de même.

apartheid
Lorsque les noirs étaient victimes de la ségrégation, les « repérer » semblait évident. Avec les juifs, et malgré les tentatives de les « distinguer » « scientifiquement » (ce qui s'est avéré évidemment impossible), alors on les a « marqués » avec une étoile jaune. Aujourd'hui, comme il est impossible de reconnaître un « vacciné » d'un « non-vacciné », et que même si certains y pensent déjà (si si, ça va venir on parie ?), le fait de « marquer » les non-vaccinés passe encore difficilement en Europe. Surtout quand on ose encore se prétendre démocrate et que notre devise est « Liberté, Egalité, Fraternité ».

Du coup, le choix a été fait de « marquer à l'envers » : en fait on vous contrôle tous pour chasser « en creux » les non-vaccinés. En voulant faire des non-vaccinés des « sous-citoyens », le gouvernement se prépare à contrôler de manière totale et permanente tous les citoyens vaccinés qui sont, eux, marqués, en échange de privilèges conditionnels (accès aux bars, à la culture, à certains lieux ou emplois...).

Si cette nouvelle conditionnalité de leur citoyenneté ne fait pas réagir les vaccinés pour ceux à qui on retire des droits, qu'ils se rendent au moins compte pour eux-mêmes que les droits qu'ils avaient « naturellement » (enfin constitutionnellement) avant le Covid sont désormais en suspens, conditionnés aux désirs d'un seul qui peut à loisir les leur accorder ou retirer

En réalité, comme dans 1984, les « vaccinés » qui se croient libres le sont encore moins que les « non-vaccinés », car en définitive les conditions d'obtention des privilèges qui leurs sont accordés seront sans cesse plus difficiles à remplir et il faudra se soumettre toujours un peu plus pour les avoir.

Tandis que les exclus seront comme les prolétaires du livre : pauvres et sales peut-être, mais libres d'aller et venir sans Pass et sans contrôle permanent, sans « telecran/QRcode » pour les tracer constamment. Tellement insignifiants et déconsidérés qu'on les laissera tranquilles. « S'il y a un espoir, il est chez les prolétaires », disait Orwell. Et in fine ce sont les prolétaires qui finiront toujours par s'en sortir, car ils sont habitués à « vivre sans » (spéciale dédicace à Lordon !)

la paix la guerre
Les autres, les soumis, continueront de croire que la liberté c'est l'esclavage, que l'ignorance c'est la force, que la guerre c'est la paix.