Jeudi 16 décembre, le CDC a déclaré 8 cas d'inflammation cardiaque chez des enfants âgés de 5 à 11 ans ayant reçu le vaccin Pfizer. En parallèle, on apprend, aujourd'hui, que le comité consultatif national d'éthique (CCNE) a donné son feu vert à l'ouverture de la vaccination à tous les enfants de cinq à onze ans, en France. La vaccination des enfants fait l'objet de nombreux débats car les formes graves de Covid sont extrêmement rares dans cette tranche d'âge, alors que les vaccins peuvent avoir des effets secondaires cardiaques.
Enfant vaccin
© Inconnu
Huit jeunes enfants vaccinés victimes d'inflammation cardiaque

Le Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis a déclaré jeudi avoir reçu des informations faisant état de huit cas de myocardite, un type d'inflammation cardiaque, chez des enfants âgés de 5 à 11 ans qui ont reçu le vaccin Pfizer/BioNTech contre le covid19.

Le CDC avait précédemment déclaré que les taux de notification de myocardite chez les garçons âgés de 16 à 17 ans pourraient dépasser 69 cas par million de secondes doses administrées et environ 40 cas par million de secondes doses chez les garçons âgés de 12 à 15 ans.

Le CDC n'a pas précisé s'il pensait qu'il existait un lien entre les cas de myocardite et le vaccin, ni divulgué le taux de myocardite dans le groupe d'âge sans vaccination.

L'agence a déclaré qu'il y avait eu plus de 7 millions de doses de vaccin dans le groupe d'âge 5-11 au moment où elle a examiné les données, avec 5,1 millions de premières doses et 2 millions de secondes doses. Les cas ont eu une évolution clinique légère, a déclaré le CDC.

Les cas ont été signalés dans le système américain de déclaration des événements indésirables des vaccins et présentés par le CDC à un groupe de ses conseillers experts.

Le CCNE approuve l'ouverture de la vaccination à tous les 5-11 ans

La vaccination des enfants de 5-11 ans est sur les rails. Interrogé jeudi 16 décembre, Olivier Véran a indiqué que les autorités étaient prêtes à lancer les injections aux plus jeunes à partir du 20 décembre.

Dans un avis remis jeudi 16 décembre 2021 aux autorités et rendu public ce vendredi 17 décembre, le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) s'est prononcé en faveur de la vaccination de ces 5-11 ans.

Le comité français d'éthique (CCNE) s'est donc prononcé en faveur de l'ouverture de la vaccination à tous les enfants âgés de cinq à onze ans, mais a insisté sur le fait de laisser le choix aux parents, en excluant d'imposer un pass sanitaire aux enfants.

L'obstétricienne Alexandra Benachi, membre du CCNE, a déclaré, lors d'une interview :
« Il est important de vacciner les enfants et que cette vaccination soit bien suivie [et] il ne faut pas qu'il y ait d'incitations. »
La cheffe du service de gynécologie-obstétrique de l'Hôpital Antoine Béclère, a cependant estimé au cours d'une conférence de presse du Comité d'éthique ce vendredi matin que
« Les enfants ne peuvent pas être stigmatisés. Il est impossible d'envisager un passe sanitaire pour cette tranche d'âge. »
Il n'est, donc (pour l'instant), pas question donc de priver les 5-11 ans d'école ou d'activités extrascolaires s'ils ne sont pas vaccinés, comme le prévoit par exemple le protocole sanitaire des collèges et lycées . Pas question non plus de faire de l'ombre à la campagne de vaccination des adultes, et notamment à l'injection des rappels vaccinaux, « indispensable et prioritaire », note le CCNE dans son avis.

Il a toutefois indiqué que, pour optimiser les bénéfices de la vaccination des 5-11 ans, il faudrait que 70 % de cette classe d'âge soit couverte. Pierre-Henri Duée, président de la section technique du CCNE, a toutefois précisé en s'appuyant sur des projections de l'Institut Pasteur que
« Pour la fréquentation scolaire, dès 20 % de couverture vaccinale, il peut y avoir un bénéfice. »
Véran s'assoit sur les effets secondaires

Comme indiqué ci-dessus, les effets secondaires chez les enfants ne sont pas un « fantasme anti-vax », c'est une réalité !

Or ce gouvernement n'en n'a que faire et compte coûte que coûte vacciner toutes les tranches d'âges de la société française.
Enfant masqué et confiné
© Inconnu
Fin novembre, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) reconnaissait que les bénéfices d'une vaccination chez les plus jeunes n'étaient pas encore prouvés, les enfants ne présentant pas de facteurs de risques.

Début décembre, le ministère japonais de la Santé mettait en garde sur les effets secondaires des vaccins contre le Covid-19 Pfizer et Moderna chez les adolescents et les jeunes individus de sexe masculin. Certains d'entre eux ont en effet développé de sérieux troubles cardiaques.

Enfin rappelons-nous que l'utilisation de séquences d'ARN sur des enfants a déjà été testée dans le passé, avec des résultats tragiques, de nombreux enfants traités avec des séquences d'ADN et des vecteurs viraux sont morts plusieurs mois après leur traitement, sous la houlette du professeur Fischer (alias Mr vaccin du gouvernement).

Beaucoup de parents demeurent sceptiques quant à l'utilisation de la vaccination pour leurs enfants, près de 7 sur 10 sont opposés à ces injections, dont la moitié farouchement. Et on comprend pourquoi.

Au vu des (potentiels) très lourds effets secondaires, il apparait urgent de mesurer dans la durée le bénéfice-risque de ce vaccin.

Néanmoins, ce gouvernement s'engouffre, tous les jours un peu plus, dans la folie vaccinale, sans se soucier des « victimes collatérales ».

Source de l'article publié le 17 décembre 2021 : Le Courrier des Stratèges