Selon nous, ce soi-disant « revirement » des girouettes-marionnettes médiatiques françaises et européennes marque la fin d'une étape et l'amorce d'une nouvelle phase dans l'exercice de guerre pandémique du COVID-19 en Occident.

girouettes
Nos lecteurs auront noté que l'hystérie terroriste de la pandémie s'est estompée en Orient, en Afrique et en Amérique Latine. Reste plus que l'opulente patrie des riches (Europe et Amérique du Nord) à s'agiter - terrifiée - devant le banal rhume Omicron.

Pendant que l'économie des pays occidentaux s'engage dans la débandade inflationniste et dans la catastrophique dévaluation des monnaies - le grand capital mondial - clan occidental esseulé - se paralyse lui-même par cette mascarade pandémique bidon qui n'en finit plus en Occident au point où les populaces serviles et soumises commencent à s'impatienter.

Pendant ce temps, la Chine jubile et poursuit son expansion mondiale. La Russie négocie chèrement son gaz alors que le Moyen-Orient hausse le prix de son pétrole. La petite-bourgeoisie occidentale vend difficilement ses rêves d'énergies vertes et l'économie occidentale dépendante des continents pauvres appréhende une année 2022 catastrophique.

Pour le grand capital international il est temps de mettre fin en Occident à cet exercice militaire pandémique et de libérer les moyens de production et les forces productives salariées des entraves du COVID-19.

L'exercice de guerre « pandémique » est concluant pour le grand capital mondialisé... La preuve est faite qu'il sera possible, dans une nouvelle édition de cette guerre virologique, de terroriser la populace - de lui imposer des mesures restrictives sévères - de la vacciner massivement contre le COVID-2? - et de conscrire massivement la population comme chair-à-canon pour la 3e guerre mondiale. CQFD.

Certains meneurs de ce jeu de guerre apocalyptique sont circonspects et ils pensent que la démonstration n'est pas concluante... voilà pourquoi subsistent des zones de résistance totalitaire (France, Canada, Québec, Australie, Autriche).

Dans la vidéo ci-dessous vous verrez la volte-face qu'opère les godillots de la télé-française pour annoncer la nouvelle étape de la mascarade pandémique mondiale intitulée : « Vivre avec le COVID dans une société déglinguée ». Robert Bibeau.
Éric Caumes, David Pujadas, TPMP... Le vent médiatique français est-il en train de tourner ?

Vivre avec le COVID

Ici, Laurent Ruquier relève que la promesse de « retour à la vie normale » n'est pas là. Là, les chroniqueurs de « Touche pas à mon poste » comprennent et confient que la vaccination des enfants n'a pas de rationnel scientifique - pas trop tôt, dites-vous ?

Sur LCI, David Pujadas se lâche sur la panique sans fondement autour du variant Omicron, et explique sur Europe 1 que le jeu médiatico-scientifique de la peur persiste et s'intensifie contre toute raison. Le professeur Caumes avance face à Jean-Jacques Bourdin (RMC) que le virus serait probablement échappé d'un laboratoire, et non plus le fruit naturel des amours clandestines d'un pangolin et d'une chauve-souris, et suggère face à Darius Rochebin (LCI) que l'immunité conférée par la vaccination, précaire et éphémère, la démonétise complètement - sauf pour les laboratoires qui peuvent vendre des rappels multiples, est-on tenté d'ajouter... La caducité du pass vaccinal éclate au grand jour - pour ceux qui ne l'avaient pas saisie dès le départ, sans même parler des questions de principe...

Cyril Hanouna refuse dans son émission la police de la pensée, de ceux qui instrumentalisent odieusement la mort des frères Bogdanoff, ou de Sophia Aram, qui a évidemment sonné la charge, avec un billet intitulé « Ruquier n'en peut plus« , aussi malveillant que peu inspiré, comme à son habitude, contre ce véritable blasphème.
Le vent est-il en train de tourner ? La peur et la vaxomanie ont-elles du plomb dans l'aile ? La très majoritaire adhésion médiatique mainstream à ce discours était parfois mâtinée de timides critiques - et leurs auteurs régulièrement écartés quand ils dépassaient les bornes. (La question est plutôt : quelle nouvelle forme la propagande terroriste gouvernementale que ces godillots propagent va-t-elle prendre désormais ? NDÉ).
Mais si l'on est tenté de souhaiter la bienvenue aux petits nouveaux, convenons que certaines figures médiatiques n'en sont pas à leur coup d'essai. Ainsi, Pascal Praud appelait-il les victimes d'effets secondaires des vaccins à témoigner sur CNEWS il y a quelques mois. Laurent Ruquier, s'il est toujours resté dans les bornes médiatiquement correctes, et reste « pro-vaccination », a tenu presque depuis le début un discours critique des médecins médiatiques et de la folie ambiante. En mai dernier, il s'exclamait déjà : « depuis un an, on est chez les fous ! ». Il avait donné la parole à Patrick Mille également il y a un an, dans son émission, qui avait lu un texte inspiré, face à Bruno Le Maire.
Voir aussi : « Rouvrez tout ! Soyez churchillien, Monsieur le Président ! » La tirade de Patrick Mille face à Bruno Le Maire
Cyril Hanouna avait déjà eu le mérite de laisser la parole sur son plateau à des voix interdites ailleurs. David Pujadas, dans un autre style, avait parfois su faire preuve d'esprit critique ou d'un certain pluralisme auparavant.

Eric Caumes, qui avait initialement exprimé tout son scepticisme sur la vaccination, était promptement rentré dans le rang pour vanter sans nuance les mérites de ces injections anti-covid, en « ayatollah de la vaccination », se qualifiait-il. Le voilà revenu à une position plus sensée.

Martin Blachier a multiplié les embardées médiatiques, selon une stratégie simple : un passage à la télévision = un pavé dans la mare. Lui non plus n'en est pas à sa première sortie surprenante, loin de là...

Il n'empêche : on observe un glissement, et des propos interdits il y a peu deviennent acceptables. Laurent Alexandre reconnaissait hier soir dans TPMP que ce vaccin était « moyen », Géraldine Maillet que son efficacité était « médiocre », s'empressant de préciser que c'était « mieux que zéro » (sic).

Alors que le pass vaccinal est discuté au Sénat, que le gouvernement sonne l'alarme avec le variant Omicron, en persistant dans sa monomanie injecteuse, nombreux sont les Français à ajuster leurs positions sur la gravité de cette maladie, sur l'efficacité des vaccins ou bien sur leurs effets secondaires. Les figures médiatiques sont-elles à leur image ? Prescripteurs ou simplement suiveurs ? Il y a fort à parier que le glissement qui s'opère sous nos yeux se poursuive... Nous ne manquerons pas de relever les évolutions, qui promettent d'être spectaculaires chez certains.

Auteur(s): François Bonacieux, pour FranceSoir