Ces différentes facultés du système nerveux sont à la disposition du souverain humain que nous sommes et que nous devons gérer et animer avec nos différents cerveaux. La situation covidémique nous ayant pris par surprise - du moins pour diverses populations - la gestion a stimulé chacun sur de multiples plans, selon son degré de conscience et de culture scientifique, médicale, sociologique, anthropologique, spirituelle et autres.
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Après bientôt deux ans de cette ambiance évoluant au gré des dirigeants internationaux, nationaux et des individus, nous pouvons faire un bilan de l'usage des différents mécanismes mentaux et psycho-affectifs, de la priorité donné à l'un ou à l'autre. Il est alors fondamental de tenir compte de la complexité de l'être humain qui se manifeste et s'exprime de façon plus ou moins mobile selon son degré de sagesse, le moment de la journée et les différentes sources d'influence qu'il reçoit.

Par les processus mentaux, on façonne l'opinion des gens avec des concepts très faciles à comprendre. Par exemple : « La vaccination est le meilleur moyen de sortir de la covidémie ». On assiste ainsi à une manipulation des masses afin d'obtenir la fabrique du consentement.

Un philosophe dénonce :
« Le gouvernement alimente une spirale de la peur dans une véritable fuite en avant... Il dénonce la stratégie du bouc émissaire. Pour lui, cette crise sanitaire est « un accélérateur de processus beaucoup plus profonds de manipulation des peuples » : une logique de maternage ».
On peut évoquer l'image que les dirigeants sont des cochers qui tiennent les rênes de plusieurs animaux et les dirigent au gré de leurs intentions.

Le langage utilisé pour faire peur, évoquer des images absolues ou convaincre s'éloignent beaucoup trop de la rigueur scientifique, utilisant souvent le conditionnel ou des prévisions à long terme qui ne tiennent pas compte des multiples paramètres en cours. De plus ces modes de procéder sont souvent cumulés : 50% des Européens pourraient être infectés dans deux mois. Inquiète du « raz de marée » d'Omicron, la branche européenne de l'Organisation mondiale de la Santé a estimé mardi que plus de 50% des Européens pourraient être touchés par Omicron d'ici deux mois, à cause du rythme actuel de contamination.

L'abus de la puissance des mots est dénoncé ici : « L'épidémie sans malade ». La question est donc simple, a-t-on encore le droit de parler d'épidémie quand il y a juste des tests positifs, mais pas de malades ?

Concernant la rationalité, je dirais alors que le cocher a un cerveau davantage structuré, dont il se sert de façon organisée, en tenant compte de ses expériences et de ses observations préalables. Si nous considérons l'histoire récente du Triple dosé, le président du Parlement européen est mort d'un « dysfonctionnement du système immunitaire »... Ayant souffert par le passé d'une leucémie, David Sassoli avait déjà été hospitalisé cet automne pour une pneumonie qui l'avait tenu éloigné du Parlement pendant plusieurs semaines. La raison permet de prendre conscience de la place complexe du système immunitaire plutôt que de prescrire des traitements au coup par coup selon les diagnostics du moment.

La rationalité permet aussi d'être plus proche de la réalité globale : « Royaume-Uni : l'ex-« Monsieur vaccin » du gouvernement appelle à la fin de la "vaccination de masse" ». Clive Dix, l'ancien responsable des vaccins du gouvernement de Boris Johnson, a appelé à un revirement total de la stratégie contre le Covid. Selon lui, il est temps de traiter le virus comme endémique, de la même manière qu'une grippe.

La rationalité permet aussi de prendre conscience des conséquences d'attitudes impulsives qui conduisent à des comportements violents et de se poser la question de modifier le cap :
« Que faire face à la pulsion génocidaire des vaccinés ? » Il est assez impressionnant de voir la pulsion génocidaire des vaccinés croître de façon exponentielle en Europe ces derniers jours. En Allemagne, des graffitis appellent à ne plus fréquenter les commerces ouverts aux non-vaccinés. En Belgique, des médecins suggèrent de ne plus soigner les non-vaccinés de façon prioritaire lorsqu'ils sont gravement malades. En France, le président de la Fédération des Radiologues propose d'empêcher les non-vaccinés de se rendre dans les magasins d'alimentation. On n'est plus très loin des pogroms. Que faire face à cette montée de l'appel à la violence ?
Ce qui laisse perplexe est de constater à quel point le bon sens médical s'est « dissout » tant dans le monde politico-sanitaire que parmi la population : Un praticien définit très bien cet état d'esprit dans une entrevue :
Mes déclarations « iconoclastes » ont été différentes des médecins de plateaux, mais pas de la majorité des médecins qui sont dans la ligne du bon sens médical.
Le bon sens s'affirme de plus en plus parmi les parents et les éducateurs qui souffrent de constater à quel point la santé des enfants est malmenée, de plus pour de simples arguments mentaux et non sur la réalité de leur développement et du peu d'impact du covid sur eux.
Nous sommes contre le fait que les enfants doivent porter un masque en extérieur lors de la récréation. En effet, nous pensons que cette mesure n'est pas bénéfique aux enfants... Le port du masque lors de ces temps de récréation est contre-productif, les enfants l'enlèvent lorsqu'ils s'essoufflent et touchent leurs masques sans cesse...
Très à propos, le collectif souligne :
Pour certains enfants les journées de présence à l'école dépassent les 10 heures en comptant la garderie le matin, la cantine et la garderie du soir. Ce temps passé à porter un masque est bien supérieur au temps supportable par la plupart des adultes.
En outre, il est effarant que des mesures dites sanitaires entraînent autant d'effets nocifs = anti-sanitaires :
Les premiers effets indésirables de la mesure se font sentir (retards de langage, difficulté d'apprentissage, problèmes de concentration, grande fatigue, maux de tête, problème de compatibilité avec le port de lunettes, ...)
Le bon sens mérite un sérieux retour dans la vie économique ? : « Les tests anti-covid : la nouvelle loterie nationale ! », La panique provoquée par cette soi-disant invasion du variant Omicron reposerait donc sur des tests à fiabilité très douteuse... Sur le plan économique, social et psychologique, c'est dramatique, car ces tests aléatoires perturbent gravement le système scolaire et le monde du travail pour rien.

Comment sommes-nous connectés à notre sensibilité ? Quelle conscience en avons-nous ? Quel usage en faisons-nous ? Je la perçois comme un instrument de réceptivité. Il s'agit d'être présents aux informations qu'elle nous fournit afin de les gérer et de créer le geste adéquat, à l'image des postes émetteurs-récepteurs, mais à la grande différence que tout se joue à l'instant présent, selon une extrême mobilité, contrairement à un poste qui se fixe sur la longueur d'onde choisie.

La situation covidémique que nous traversons nous donne une démonstration patente du fonctionnement actuel des populations dans les épousailles entre leurs pouvoirs réceptifs - sensorialité et sensibilité affective - et émissives - décisions, actions. L'état d'esprit qui cherche à imposer le tout-vaccin, le tout-confinement casse l'équilibre intérieur vers lequel devrait tendre chaque individu en œuvrant vers son équanimité et son homéostasie. Alors que nos gouvernements ont pour tâche de développer cette recherche, ils cassent dangereusement l'unité du corps humain en imposant la notion que le vaccin est la meilleure des solutions. Ils s'entêtent dans cette propagation alors que de plus en plus d'études montrent les effets secondaires, voire mortels qu'ils occasionnent. Les dirigeants cassent aussi l'unité des êtres humains dans leur ensemble corps-âme-esprit, comme le vivent tout particulièrement les enfants.

Les décisions humaines peuvent être prises à la suite de raisonnements se basant sur des statistiques selon les chiffres qu'on leur fournit, ou alors selon les impulsions que les émotions animent, ou encore selon les intuitions du for intérieur de chacun, de la partie la plus intime reliée à son corps, du plus profond de sa conscience.