1. Le covidisme comme religion

Dans la religion sanitaire du covidisme, la Science tient lieu d'ultime déité et l'industrie pharmaceutique d'église universelle. À la tête de cette église, Fauci assume la fonction pontificale (jouissant d'une infaillibilité dont nul ne saurait douter, sous peine d'anathème), assisté des médecins tenant lieu de nouveau clergé - prêtres covidistes offrant le sacrifice des victimes qu'on ne soigne plus depuis l'instauration de cette nouvelle religion ; ou encore celui des enfants en parfaite santé et n'encourant aucun risque, inoculés sur l'autel de la « sainte » peur d'un virus dont le taux de survie est supérieur à celui de la grippe saisonnière...

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Au centre du culte sanitaire sacrificiel de cette nouvelle église, le « vaccin » à ARN messager tient lieu de sacrement, gage de l'ultime salut (ne pas être infecté par le SRAS-CoV-2). Religion collectiviste de la soumission au contrôle social hygiéniste, le covidisme missionnaire prêche par-dessus tout l'altruisme « vaccinal » du signalement social vertueux, pour faire en sorte que soit réalisé le plus grand de ses commandements : « Tu ne contamineras pas autrui du SRAS-CoV-2 ! » - commandement d'application strictement rigoureuse et exclusive à ce virus particulier, auquel échappent donc les autres virus bien connus, tels que le VIH-1.

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Dans le monde de la nouvelle religion covidiste, passer par le sacrement « vaccinal » relève du plus haut devoir catégorique de responsabilité citoyenne envers autrui, dont l'exigence impérieuse réinstitue aujourd'hui cet ordre moral universel que le relativisme avait pourtant pris soin de reléguer au domaine des opinions et des préférences de chacun. Ceux qui s'y refusent sont par conséquent dénoncés et exécrés pour leur résistance irresponsable.

Dans le monde de la nouvelle religion covidiste, le prolongement des mesures étatiques de restriction et l'apparition de nouvelles vagues du virus sont donc naturellement imputés aux hérétiques « anti-vaccinaux », barbares ignorantins de l'antiscience complotiste qui répugnent aux bienfaits d'un produit pourtant « miraculeux » et maintiennent ainsi le reste du monde dans un état d'urgence et de grande vulnérabilité face à une menace virale sans précédent...

L'une des principales forces de la religion covidiste scientiste réside dans l'efficacité médiatique de son accusation antiscientifique d' « antiscience » dirigée contre quiconque oserait garder un esprit critique ouvert, comme le veut la méthode propre et sous-entendue par la pratique même de la science qui peut encore en porter le nom. La religion covidiste et son clergé politico-médical, jouant du mirage d'une autorité intellectuelle usurpée par l'hégémonisme du pouvoir narratif GAFAMI-que, vivent ainsi dans l'illusion d'un ascendant scientifique hors de doute sur leurs détracteurs « complotistes » insubordonnés et donc de facto ignorantistes.

Depuis le début de la dictature sanitaire, l'épouvantail du complotisme a été brandi afin de faire porter le chapeau de la désinformation à ceux qui, en réalité, l'exposent et la récusent. Le temps est venu de se souvenir que les plus grandes tragédies de retentissement civilisationnel ne sont pas incitées par les gens qui s'autorisent à penser librement, mais bien par ceux qui se plient comme des bêtes aveugles et muselées au bon vouloir d'autorités attentatoires et corrompues jusqu'à la moelle, comme le sont celles qui dirigent aujourd'hui la France.

Il n'est pas difficile d'observer que la situation est pire aujourd'hui qu'il y a un an après le lancement de la grande campagne de « vaccination » expérimentale. Et que les autorités chargées d'assurer l'exécution de cette déstructuration sanitaire sans précédent n'en sont pas moins déterminées à trouver un moyen d'en justifier et d'en cautionner l'inqualifiable politique avec la toute récente validation du « paSS vaccinal »1, désormais en vigueur, et pour quels résultats (voir, par exemple, l'analyse perspicace et tout simplement factuelle de l'éditorialiste de RT France, Alexis Poulin, en guise de réponse aux contresens et aux tours de passe-passe de Gabriel Attal lors de sa conférence de presse du 26 janvier 2022) !

Ce billet se veut des plus courts, pour se concentrer sur un aspect particulier de l'illusion du scientisme « covido-vaccinal » censé corroborer le narratif de l'efficacité des injections expérimentales en phase III et le bien-fondé de la loi du 22 janvier 2022 transformant le « paSS sanitaire » en un « paSS vaccinal », avec l'aval du croupissant Conseil constitutionnel...

2. Ce qui est nouveau : les statistiques sur les effets de l'inoculation antigénique

Revenons d'abord sur trois observations fondamentales, qui suffisent à elles seules à démontrer la supercherie de « l'efficacité » (et de l'innocuité) des injections dites « anti-covid », ainsi que l'imposture politique votée par le sénat et l'Assemblée nationale, objet d'une ratification indigne et sans surprise de la part des charognes du Conseil constitutionnel (sous la présidence de l'immonde Fabius, figure centrale du scandale sanitaire du sang contaminé, tout le monde s'en souvient).

En quoi cette thérapie génique expérimentale est-elle une solution viable :
  • 1) si elle ne protège pas contre l'infection par le virus (si l'on considère le nombre de cas hospitalisés aujourd'hui en France, selon les données du DREES ; ou, plus généralement, le nombre total de doses de « vaccin » administrées à travers le monde par rapport au nombre total de nouveaux cas déclarés, voir les données officielles du Johns Hopkins Coronavirus Resource Center) ;
  • 2) si elle ne réduit pas la surmortalité (un fait qui nous saute aux yeux) ;
  • 3) si elle doit être administrée à nouveau tous les trois mois sous la forme d'une injection de rappel (ce qui est précisément le cas, sous le programme actuel d' « abonnement vaccinal » étatique de rigueur) ?
Prenons simplement le cas de la France au jour du 27 janvier 2022, d'après le tableau de mise à jour statistique quotidienne du Centre pour la science et l'ingénierie des systèmes de l'université de Johns Hopkins aux États-Unis (voir ci-dessous). Les données recueillies mettent en relief le rapport du nombre de doses d'injections administrées ces derniers 28 jours (12 867 141) avec celui des cas positifs déclarés sur la base de la même mesure temporelle de 28 jours (8 209 254). Au lieu de constater une réduction des cas positifs en proportion de l'administration de la troisième dose ces dernières semaines, on remarque qu'elles comprennent la période au cours de laquelle on n'a jamais autant recensé de cas positifs (fin 2021-début 2022, comme nous le signalons en encerclant en jaune les portions des deux graphiques sur la droite, le nombre de cas recensés par semaine en rouge et celui des « vaccins administrés » par semaine en vert).

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Le dernier rapport statistique de santé publique en Écosse, le COVID-19 & Winter Statistical Report, publié le 19 janvier dernier, a mis en évidence l'inefficacité des deux doses de l'injection à ARN messager (chose désormais avérée et corroborée de la bouche même du PDG de Pfizer, Albert Bourla). Comme en France, le comparatif du volume d'hospitalisations récentes de personnes doublement et triplement « vaccinées » par rapport à celui des personnes « non vaccinées » montre clairement que, malgré le facteur de manipulation statistique qu'il faut de toute façon toujours inclure, la tendance vers l'augmentation des cas se situe du côté des personnes doublement « vaccinées » et « boostées ». Données qui portent atteinte à l'opération unilatérale de persuasion médiatique autour de l'efficacité des « vaccins ». Ce qui explique que les auteurs de ce rapport et du rapport de l'UKHSA (voir ci-dessous) tentent d'en atténuer la signification, comme on peut le lire sous les graphiques, en légende.

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De même, en tenant compte du critère de disparité des situations d'admissions hospitalières et de développements symptomatologiques directement ou indirectement liés à l'incidence du virus :

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D'après les données du dernier rapport de surveillance de l'Agence britannique gouvernementale de sécurité sanitaire (l'UKHSA), daté du 20 janvier 2022, la différence de taux de cas positifs nouveaux au sein des trois groupes d'individus respectivement « non-vaccinés », doublement « vaccinés » et triplement « vaccinés » (« boostés » une fois) indique clairement que l'épidémie poly-mutée (via « Omicron ») se propage davantage parmi les groupes d'individus doublement et triplement injectés que parmi les individus n'ayant pas reçu la moindre dose.

Nombres de cas déclarés par statut « vaccinal » (entre le 26 décembre 2021 et le 16 janvier 2022) :

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Comparons encore, sous forme d'histogramme, ce que montrent ces données de l'UKHSA sur une base de surveillance épidémiologique de 100 000 habitants :

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En termes comparatifs de taux de mortalité, également pour 100 000 habitants :

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La question s'impose donc, à quiconque est encore disposé à regarder la réalité en face : dans quelle mesure ces produits expérimentaux à ARN messager augmentent-ils le risque d'infection et de réinfection par le SRAS-CoV-2 ?

C'est bien-là, à notre avis, le nœud du problème authentiquement scientifique aujourd'hui.

En exposant le monde à une version homogène du SRAS-CoV-2 et en injectant une concoction génique faisant produire par le corps une seule version de l'ensemble de protéines de pointe de ce coronavirus particulier, le système immunitaire de milliards de personnes aujourd'hui « vaccinées » et « boostées » se fébrilise pour ne plus reconnaître que cet assemblage protéinique de surface immunologiquement accaparant (parce que ciblé pour induire la formation d'anticorps), par conditionnement artificiel « vaccinal ». Cet affaiblissement immunitaire à grande échelle se traduit par ce qu'on appelle le « péché antigénique originel » 2.

Ce mécanisme explique pourquoi les populations infectées, « vaccinées », et réinfectées par le SRAS-CoV-2 ne développent pas d'immunité contre sa protéine N (nucléocapside).

Les injections à ARN messager fournissent les anticorps neutres, dont la fonction consiste à identifier la protéine S du SARS-CoV-2 (à l'état de pré-fusion), mais sans induire d'immunité neutralisante protectrice. Les populations aujourd'hui plusieurs fois « vaccinées » à coups de thérapie génique expérimentale sont donc en train de « combattre » un virus dont la protéine de pointe a déjà tellement « transmuté » que les anticorps neutralisants n'ont plus lieu de fonctionner. Ne restent que les anticorps « neutres » et le concours des anticorps « facilitants » à ce mécanisme qualifié, à juste titre, de phénomène de « facilitation dépendante des anticorps » 3. C'est cette aggravation de la pathologie covid par le biais d'une facilitation dépendante des anticorps induite par les « vaccins » 4 qui nous semble être l'objet d'investigation le plus urgent.

3. Conditionnement et dégradation immunitaires artificiels

Un virus est constitué d'un grand nombre de protéines différant d'un virion à l'autre. Les nouvelles injections conditionnent le système immunitaire des « vaccinés » de telle sorte qu'il se concentre sur l'identification et la neutralisation d'une seule protéine, la protéine dite « de pointe »Omicron escapes the majority of existing SARS-CoV-2 neutralizing antibodies | bioRxiv." 5, au détriment des autres protéines du SRAS-CoV-2, qui ont ainsi libre court.

En administrant ces « vaccins », jusqu'à 9,8 milliards d'individus à ce jour, l'église pharmaco-covidiste est parvenue à conditionner une fortification immunitaire de plus en plus étriquée au sein des populations « vaccinées » et « super-vaccinées » (« boostées »), protection atrophiée que le SRAS-CoV-2 contourne aujourd'hui avec aisance, comme en atteste le nombre élevé de réinfections parmi les « vaccinées ». L'administration des « boosters » de rappel s'avère crucial à cet effet, puisqu'ils homogénéisent d'abord la réponse immunitaire des populations contre la protéine de pointe des premières souches du SRAS-CoV-2, tout en raréfiant leur capacité à produire des anticorps non facilitants, par exemple contre la protéine nucléocapside.

Avec chaque injection de rappel, on peut donc craindre de voir se réduire encore plus la capacité défensive et le déploiement offensif de leurs réponses immunitaires. Cela signifie qu'à court terme, les « boosters » apparaissent à priori efficaces parce qu'ils renforcent la réponse immunitaire « de surface ». Mais à long terme, la qualité défensive et neutralisante de cette réponse va en se dégradant, comme on peut de plus en plus le mesurer.

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Les données chiffrées montrent aujourd'hui que c'est ce qui est en train de se passer : les « vaccins » anti-covid, qui n'exercent pas la moindre action stérilisante, rendent leurs récipients « giga-vaccinés » de plus en plus vulnérables à un virus qui évolue de sorte à exploiter à son profit mutationnel leur réponse immunitaire induite par les injections géniques - produits synthétiques qui ne peuvent promouvoir qu'une immunisation artificielle à court terme.

La fabrication d'une réponse immunitaire artificielle entièrement concentrée sur une poignée d'épitopes spécifiques de la protéine S est donc en train de servir de facilitateurs de nouveaux variants et de sous-variants d' « Omicron » [5] (« BA.2 », « BA.3 », ...) de plus en plus aptes à dérouter et esquiver les remparts immunitaires naturels de l'humanité. Il s'agit d'une situation inédite qui est en train de susciter le développement d'un marché intarissable de « clients » immunodéficients, pour le plus grand bénéfice du complexe médico-pharmaceutique.6

Les nouveaux variants du SRAS-CoV-2 apprennent aujourd'hui à survivre, à se propager et à étendre l'efficacité de leurs actions infectieuses au sein des populations artificiellement « vaccinées ». Car, sans l'activation d'anticorps neutralisants (fournis par notre immunité naturelle lorsque nous avons été exposés à un virus), les injections à ARN messager dites « anti-covid » n'offrent aucune protection, au sens réel et durable du terme.

Les principaux anticorps induits par les injections géniques et leurs doses de rappel se concentrent sur une version obsolète de la protéine S du SRAS-COV-2. Les portes immunitaires sont dès lors grandes ouvertes et les poly-mutations d' « Omicron » ne se font pas prier pour entrer et prendre le dessus sur les quelques excédents d'anticorps neutralisants (aisément dépassés par la vitesse de mutation d' « Omicron »), en fédérant toujours plus d'anticorps non neutralisants (facilitants) par l'entremise des populations aujourd'hui triplement « vaccinées » et bientôt en passe de l'être une quatrième fois, moyennant un deuxième « booster » - ce qu'Israël vient tout juste d'autoriser pour tous ses citoyens de plus de 18 ans souffrant (déjà) de pathologies susceptibles de les rendre « plus vulnérables au virus » 7. Rappelons où en est Israël en termes de cas déclarés par semaine ces 28 derniers jours et de taux de « vaccination » (principalement le « booster ») :

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À noter, au demeurant, que ces nouveaux « vaccins » n'induisent que la formation d'immunoglobulines de type G (IgG) et A circulantes (IgAc), qui ne protègent pas efficacement les muqueuses, contrairement aux immunoglobulines A sécrétoires (IgAs), responsables notamment de la protection de la muqueuse respiratoire.

Dans la mesure du possible 8, des vaccins à proprement parler auraient dû être fabriqués (ou être aujourd'hui en cours de fabrication) à partir de l'ensemble de l'éventail protéinique viral non-pathogénique qui constitue le SRAS-CoV-2. Au lieu de cela, ce que les grands laboratoires pharmaceutiques ont préféré produire en un temps record, ô miracle, ce sont des injections élaborées à partir du seul « péplomère » toxique (la protéine S de la souche de Wuhan) qui ne représente qu'une petite portion de la structure totale du même virus.

Compte tenu de la logique d'entêtement obstiné des campagnes de piqûres de rappel qu'inspire la religion fanatique de l'illusion « scientifique » covidiste, nous pouvons prédire, sur la base des principes que nous avons ici brièvement évoqués, qu'une quatrième dose de ces nouveaux produits « vaccinaux » n'a d'autre vocation qu'à produire les mêmes résultats que la troisième, poursuivant ainsi le processus de déclin immunitaire des populations « vaccinées ». Ce sur quoi nous avons ici voulu insister, sans approfondir plus avant, tient dans la conclusion suivante : la portée de la réponse immunitaire des populations aujourd'hui « vaccinées » et « boostées » à coups d'injections synthétiques spécifiquement élaborées et calibrées sur la base virale toxique de la protéine S va continuer à décroître en fonction du nombre de leur administration sous forme de « doses de rappel » promulguées par les principaux gouvernements du monde, de concert avec les grandes compagnies pharmaceutiques. Il nous faut sortir de toute urgence, en tant que civilisation, de ce cercle des plus vicieux...

4. Recapitulons

Les injections expérimentales à ARN messager ne font rien d'autre que de désorganiser le système immunitaire d'une personne injectée. À fortiori si l'on s'entête (à la manière du gouvernement du virus présidentiel « Omacron ») à injecter ce genre de produits, aussi inefficaces soient-ils à endiguer la propagation d'un virus tel que le SARS-CoV-2 et ses nouvelles lignées en mutation rapide - sans rien dire des pléthores de réactions indésirables dérivant de ces processus de type auto-immune que peuvent peu ou prou susciter (et que suscitent déjà effectivement) de telles technologies géniques injectées et réinjectées par rappel dans l'organisme humain.

Dans ces conditions, les abonnés à ce nouveau système étatique de « vaccins » non-stérilisants auront toujours besoin d'une nouvelle injection « optimisée » à ARN messager pour le restant de leurs jours, puisque ces produits n'ont aucune efficacité réelle à long terme contre les coronavirus, en premier lieu contre le SRAS-CoV-2.

Une réponse immunitaire adaptative face aux nouveaux agents pathogènes présents dans notre environnement doit par ailleurs être diversifiée pour assurer la mitigation de leur force de pénétration virale. Si nous répondions tous de la même manière aux agressions virales, moyennant la même réponse immunitaire parfaitement homogénéisée, les agents pathogènes auraient tôt fait de s'organiser de façon à contourner et à désactiver nos principaux mécanismes de défense et de contre-attaque.

À contrario, si tel agent pathogène se propage d'un individu à un autre, mais que le système immunitaire de chaque individu en prévient la tentative d'intrusion collective en contre-attaquant de manière différenciée, l'agent pathogène en question sera plus sûrement contrecarré dans sa tentative de maximiser son action et sa potentialité mutationnelle. Les changements les plus subtils qui lui permettent de mieux se répliquer chez tel individu ne le laisseront pas en faire de même chez d'autres individus. Son extension virale sera par-là naturellement contrôlée.

Ce qui explique que les divers coronavirus aient toujours fini par devenir bénins et endémiques au fil du temps au sein des groupes et des écosystèmes humains. Laissés à leurs propres mécanismes mutationnels potentiels, ils ne peuvent que très difficilement déclencher une nouvelle vague de propagation infectieuse naturelle. Les micromutations qui surviennent dans quelque région restreinte de telle forme ou sous-groupe de « virus en couronne » n'aura pas suffisamment d'incidence invasive sur la capacité immunitaire de la plupart des individus à identifier puis à repousser une tentative d'intrusion modifiée. De nombreuses mutations s'avèrent nécessaires pour assurer la survie et l'optimisation de ce genre de virus face aux multiples mécanismes de défense de notre arsenal immunitaire naturel. Ce pourquoi, malgré l'émergence et l'essor du SRAS et du MERS avant le SRAS-CoV-2, l'humanité a su faire face à ces syndromes respiratoires, sans vaccins (qui n'ont jamais été développés avec succès contre les Coronaviridae).

En distillant ces injections à ARN messager à travers le monde entier sous couvert de moyen de sauver les gens de l'emprise viral du SRAS-CoV-2, le complexe médico-pharmaceutique ne cache que très mal sa détermination à réduire de manière drastique l'étendue et la qualité de la réponse immunitaire chez les « vaccinés ». Le système de rappels réguliers désormais en place va accentuer le déclin de l'immunité médiée par les anticorps chez les milliards d'abonnés à cette inoculation mondialiste d'une nouvelle ère de « Grande réinitialisation ».

Parler de phénomène de « renforcement de l'infection par les anticorps » signifie en outre que le virus accentue sa capacité à utiliser les anticorps sériques qui s'estompent chez les individus déjà plusieurs fois injectés afin d'épuiser progressivement leur immunité humorale et de les rendre plus vulnérables à une nouvelle infection.

C'est ce que nous observons aujourd'hui : le virus gagnant en résilience par mutation et par exploitation de la réponse immunitaire induite artificiellement par les injections à ARN messager (en se concentrant uniquement sur la séquence de la protéine S du SRAS-CoV-2), pour finalement renforcer son emprise infectieuse au sein des populations plusieurs fois inoculées en l'espace de tout juste quelques mois...

Le continent aujourd'hui le plus épargné par le SRAS-COV-2, le continent africain, est précisément celui où les dirigeants ont fait le choix intelligent et parfaitement fondé d'épargner à leurs populations ces campagnes unilatérales d'injections géniques expérimentales. Nous avons ci-dessous sélectionné trois grands pays d'Afrique (l'Afrique du Sud, l'Algérie et l'Angola) pour l'illustrer visuellement, toujours selon les données publiques du Centre pour la science et l'ingénierie des systèmes de l'université de Johns Hopkins aux États-Unis, au jour du 26 janvier 2022. Par contraste, les pays aujourd'hui où l'on « vaccine » le plus (Israël, Danemark, France, États-Unis, Australie, Allemagne, Royaume-Unis, ...) connaissent des rebonds continuels d'infections par le SRAS-COV-2. Schéma observé partout où l'on a mis en œuvre la stratégie du tout « vaccinal », au nom de la grande idole scientiste et sanitaire du culte covidiocratique. À croire que nous sommes en train d'assister à quelque phénomène de rétroaction positive par l'intermédiaire des populations les plus systématiquement et répétitivement « vaccinées ».

Vous avez dit bizarre ? Sauf si l'on comprend que ces nouveaux « vaccins » affaiblissent progressivement le système immunitaire des peuples et facilitent de ce fait la contamination et recontamination en boucle, particulièrement des « vaccinés ».

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Sous forme d'histogramme, voici les taux des statuts « vaccinaux » combinés par pays :

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Et ceux des « boosters » administrés par pays (Angola, avec un taux de 0,03 %, n'apparaît pas sur ce graphique) :

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Pour finir et pour ne comparer que la France et l'Afrique du Sud en termes de cas confirmés par millions d'habitants :

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« Omicron » serait-il en arrêt travail en Afrique du Sud ? Ou bien, se pourrait-il que la disparité particulièrement prononcée en termes d'administration des « vaccins », notamment l'administration des injections de rappel ces dernières mois, y soit pour quelque chose ?

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  1. Alors que de nombreux pays commencent à faire machine arrière sur ce plan liberticide et factuellement contre-productif : https://reseauinternational.net/dans-presque-tous-les-pays-le-coronacircus-est-en-train-de-se-terminer/.
  2. Original antigenic sin: A comprehensive review - PubMed (nih.gov).
  3. A review: Antibody-dependent enhancement in COVID-19: The not so friendly side of antibodies (nih.gov).
  4. Informed consent disclosure to vaccine trial subjects of risk of COVID‐19 vaccines worsening clinical disease | International Journal of Clinical Practice.
  5. Lequel, au demeurant, « échappe à la majorité des anticorps neutralisants du SRAS-CoV-2 existants », comme le fait apparaître une étude intéressante et minutieuse : Omicron escapes the majority of existing SARS-CoV-2 neutralizing antibodies | bioRxiv.
  6. On pourrait croire que ce qui suit ne s'applique qu'aux injections à ARN modifié qu'on nous impose en Occident. Mais il est à craindre que cela s'applique à toutes sortes de produits qui sont redéfinis aujourd'hui sous le titre de « vaccins », et pas seulement au messager ARN. L'objectif est de mettre en place un cadre « sanitaire » généralisé pour la nouvelle humanité dans lequel les virus artificiels, effectivement conçus comme des armes biologiques subtiles, peuvent se diffuser de plus en plus aisément au sein des population à abonnement « vaccinal », en générant sans cesse de nouvelles opportunités de sous-mutations par le biais même de l'immunodéficience « vaccinale ». C'est une première, mais sur la base de ce qui s'est fait depuis les débuts de la vaccination, dont l'OMS reconnaît qu'elle sert à « réguler la fécondité » ; cela a donné lieu à plusieurs scandales, lors de campagnes de vaccination douteuse au moyen des vaccins stérilisants dans les pays du tiers-monde (voir : https://reseauinternational.net/rapport-de-loms-les-vaccins-regulateurs-de-la-fecondite/).
  7. COVID-19: Israel authorises fourth vaccine dose for vulnerable people aged 18 and above (republicworld.com).
  8. Ce qui n'est pas le cas avec les coronavirus, contre lesquels nous ne disposons pas de vaccins appropriés.