Dans ce debriefing exclusif, nous avons de nouveau reçu l'avocat allemand Reiner Fuellmich pour qu'il nous fasse part de l'avancée des travaux entrepris par le Comité Corona. Co-fondé avec sa collègue, Viviana Fisher, dans l'intention de faire la lumière sur les réalités de la pandémie Covid-19, sa conclusion suite à une série d'entretiens avec plus de 100 éminents experts dans le monde, est sans appel : il n'y a pas de pandémie, seulement une fausse pandémie de cas positifs, rendue possible par le dépistage intempestif au moyen des tests RT-PCR, détournés de leur fonction d'origine et peu fiables.
En créant une armada de malades qui s'ignorent, les politiques à la tête des États occidentaux, avec l'appui des médias grand public, ont ainsi pu réunir la condition indispensable pour instiller dans les populations la croyance qu'il était nécessaire de s'injecter une substance expérimentale, nocive et dangereuse pour se protéger d'un virus, somme tout pas plus dangereux qu'une grippe.
Reiner Fuellmich, qui s'est fait connaître grâce à ses victoires lors de procès retentissants contre le géant automobile Volkswagen et la Deutsche Bank, nous annonce que le procès public très attendu contre les individus «
qui tirent les ficelles » (Bill Gates, le Dr Anthony Fauci, le Dr Drosten, le gestionnaire d'actifs BlackRock, le laboratoire Pfizer...) s'ouvrira le week-end des 5 et 6 février. Confiant dans le fait que les accusés seront reconnus coupables, le Comité Corona intente cette procédure judiciaire avec un groupe d'avocats à l'international.
Celle-ci se tiendra dans des conditions particulières, hors du cadre judiciaire existant en Europe, celui-ci étant corrompu et n'étant pas de nature à instaurer une pleine confiance dans la tenue d'un procès équitable, nous confie-t-il. La procédure se déroulera donc dans une cour du peuple avec de vrais juges, avocats, experts et témoins.
Il précise que cette procédure publique est conçue de telle sorte que celle-ci bénéficie d'un puissant écho auprès des populations. Elle sera retransmise en direct et enregistrée, pour ceux qui souhaiteraient visionner le procès en rediffusion. La majorité, si ce n'est l'intégralité, des médias alternatifs relaieront le procès, puisque, sans surprise, il ne sera pas possible de le diffuser sur la plateforme YouTube ou dans les médias grand public, nous explique l'avocat.
Cela étant, il n'est pas impossible de s'attendre à ce que les médias
mainstream soient dans l'impossibilité d'ignorer cet évènement hors du commun et soient donc amenés à le couvrir. Pour autant, pour ne pas prêter le flanc à cette tactique de la presse qui consiste à déformer et nazifier toute forme d'opposition, méthode dont elle use
ad nauseam, M. Fuellmich précise d'avance qu'il n'acceptera aucune interview pendant le procès.
Dans ce debriefing, l'avocat allemand est aussi revenu sur les causes de cette « fausse pandémie ». Il estime que cette opération a été lancée par l'industrie financière dans l'intention de masquer ses crimes au cours des trente dernières années, devenus trop voyants. Comme aujourd'hui, au moment de la crise dite des subprimes, l'oligarchie financière aurait tenté une première fois de détourner l'attention du public de ses malversations au moyen de la grippe H1N1 en 2009.
Ils auraient dû être évincés à cette époque : ces banquiers, sauvés grâce aux impôts du contribuable, récidivent cette fois, en pire. Selon Me Fuellmich, la raison pour laquelle ils ne l'ont pas été, c'est parce que nous avons cru nos gouvernements respectifs lorsqu'ils ont annoncé prendre des mesures visant à lutter contre la mafia financière. À tort, puisque, insiste-t-il, nos gouvernements, en raison de leur corruption, ne sont pas nos gouvernements. Et de conclure : comme nous ne pouvons compter ni sur nos gouvernements pour agir, ni sur nos médias pour nous informer, cette fois-ci, il est temps que les peuples prennent eux-mêmes le taureau par les cornes.
Un debriefing proposé en partenariat avec
BonSens.orgPour .écouter l'entrevue
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