Ariane Bilheran vera sharav
« Un groupe d'oligarques mondiaux assoiffés de pouvoir, qui se compose de Big Pharma, des banques centrales, et des compagnies technologiques de biosurveillance, a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis. » Dans ce debriefing exceptionnel, nous avons reçu Vera Sharav, rescapée de l'holocauste et éminente militante des droits de l'homme. Elle a partagé avec nous ses analyses sur les parallèles qu'il est possible d'établir entre les évènements survenus au cours de la crise du Covid-19 et la période du nazisme. Cette interview a été conduite en partenariat avec Ariane Bilheran, docteure en psychologie. Elle a écrit plusieurs ouvrages sur la manipulation mentale et la psychologie du pouvoir et elle est l'auteure de la tribune Totalitarisme, idéologie et paranoïa publiée dans France Soir.


Vera Sharav, née en 1937 en Roumanie, est la fondatrice de l'organisation à but non lucratif Alliance for Human Research. Elle s'est illustrée par son fervent militantisme contre les pratiques illicites et frauduleuses de l'industrie pharmaceutique depuis la mort de son fils adolescent suite à une réaction à la Clozapine, un médicament prescrit dans le cadre du traitement d'un trouble schizo-affectif.

Dans son combat, Vera Sharav s'est particulièrement intéressée au sujet des dispenses de consentement émises par la Food and Drug administration (FDA) dans le cadre d'études cliniques. Son engagement l'avait notamment conduite à faire campagne contre « Northfield Laboratories », fabricants du substitut sanguin PolyHeme, une affaire dont les médias et le Sénat américain s'étaient saisis.

Naturellement, elle s'est rapidement positionnée contre la vaccination anti-Covid imposée dans différents pays du monde au moyen d'un arsenal législatif liberticide, qui viole le consentement libre et éclairé normalement exigé avant de pratiquer un acte médical ou d'administrer un traitement. Pour Vera Sharav, « du temps d'Hitler, ce sont surtout les juifs qui étaient diabolisés en tant que propagateur de maladies infectieuses. Aujourd'hui, ce sont les résistants à l'obligation vaccinale et au passeport vaccinal. »

En revanche, elle soutient que ces injonctions s'inscrivent dans le cadre d'un projet plus large, le Nouvel Ordre Mondial, aussi appelé Grande Réinitialisation, qui vise à prendre le contrôle de chaque aspect de la vie du citoyen. Le passe vaccinal est un pilier fondamental de ce plan, censé consolider le projet d'identité numérique. « L'objectif sous le régime nazi et aujourd'hui est le même. Il s'agit de prendre le contrôle de la vie des gens et de s'assurer qu'ils obéissent aux décrets du gouvernement quel qu'il soit », martèle-t-elle. Et de mettre en garde : « Lorsque nous voyons des scènes horribles de policiers en uniformes noirs, tout comme les nazis, attaquer brutalement les manifestants à Paris, à Ottawa, en Israël... ces scènes sont des rappels douloureux au prélude de l'Holocauste : la solution finale. »

Vera Sharav est aussi revenue sur le rôle central tenu dans cette crise par le Dr Anthony Fauci, conseiller de la Maison-Blanche sur la gestion de la crise sanitaire, et sur les violations manifestes du Code de Nuremberg qu'induit ce qu'elle qualifie d'« expérimentation massive ». Elle l'assène : « Le Code de Nuremberg est garanti à chaque être humain en temps de guerre comme en temps de paix. En d'autres termes, déclarer un état d'urgence ne suspend pas le Code de Nuremberg. »

Ce debriefing a été réalisé en partenariat avec The Translation Bridge, chargé de la traduction de cette vidéo.