Alors que, depuis la suspension des soignants non-vaccinés, l'hôpital public implose, Macron vient de proférer une nouvelle cascade de mensonges sur la question des soignants non-vaccinés, affirmant péremptoirement que 95% des soignants sont vaccinés et qu'une "infime minorité" a un problème de déontologie.
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C'est une façon bien curieuse de passer sous silence les méthodes comminatoires utilisées par le pouvoir pour convaincre les 40% de réticents, à l'été 2021, de subir une injection dangereuse. Mais je vous explique pourquoi Macron ne réintégrera pas les soignants non-vaccinés.


On se souvient que, lors de son funeste discours de 12 juillet 2021 annonçant la vaccination obligatoire des soignants (et de quelques autres), 40% des personnels des hôpitaux n'étaient pas vaccinés. Le 15 septembre, Véran annonçait la suspension de 5% des soignants qui refusaient le vaccin.

Bien entendu, l'opposition aux vaccins dans les hôpitaux est beaucoup plus large que les 5% de soignants suspendus. Macron ment lorsqu'il parle d'une infime minorité. Mais nous savons que le mensonge éhonté est sa technique favorite de gouvernement.

5% de soignants suspendus, cela a suffi à mettre l'hôpital à genoux. Dès l'automne dernier, j'annonçais de grands dysfonctionnements à cause de cette mesure absurde imposée par l'industrie pharmaceutique et Bill Gates aux fantoches qui dirigent ce pays. Et l'implosion a désormais lieu sous nos yeux.

Face à ces évidences, Macron n'oppose que des dénis qui ne convainquent que lui.

Macron prépare la quatrième dose pour les soignants

Mais il faut bien comprendre que si Macron se fait l'apôtre si aveugle et si obéissant de la religion du vaccin, c'est d'abord et surtout parce qu'il doit préparer la campagne de vaccination de l'automne.

Comment réintégrer des non-vaccinés maintenant et les suspendre à nouveau en septembre parce qu'ils refusent la quatrième ou cinquième dose pour certains ?

J'ai déjà évoqué l'effervescence dans les couloirs du pouvoir sur cette question, mais la décision politique est prise : ce sera la vaccination ou rien, parce que la caste qui a permis la réélection de Macron l'exige.

J'admire ceux qui se battent pour la réintégration des soignants suspendus, combat que je partage pleinement. Mais il faut comprendre (ce qui ne signifie certainement pas l'accepter, ni renoncer à la combattre) le raisonnement de l'ennemi que nous avons face à nous :
le sujet de Macron et de la caste n'est ni de soigner, ni de sauver l'hôpital, mais d'imposer la vaccination, car elle est l'un des prix à payer à la mondialisation et à ses parrains pour rester au pouvoir.
Vous pensiez quoi ? Que Macron serait réélu grâce au soutien massif de la caste et qu'il ne paierait pas sa dette ?