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« Le sabotage est la cause la plus probable des fuites dans deux gazoducs de la mer Baltique entre la Russie et l'Europe, ont déclaré les dirigeants européens, après que des sismologues ont signalé des explosions autour des gazoducs Nord Stream. »

Selon la présidente de la Commission européenne Ursula Von der Leyen, « les fuites » dans la mer Baltique sont dues à un « sabotage » :

« Toute perturbation délibérée d'une infrastructure énergétique européenne active est inacceptable et entraînera la réaction la plus forte possible », a-t-elle averti, et elle a demandé que soit menée une enquête pour faire toute la lumière sur « les événements et leur raison ».

La première ministre danoise, Mette Frederiksen, les a qualifiés d' « actes délibérés » , ajoutant : « Nous ne parlons pas d'un accident ».

Mme Von Der Leyen n'a pas précisé qui aurait pu être à l'origine de ces « actes délibérés » de sabotage.

Une véritable bombe

Dans une interview télévisée du 7 février 2022, le président des États-Unis a reconnu que les États-Unis agiraient contre Nord Stream si nécessaire. Cette déclaration a été faite 3 semaines avant l'invasion russe :
Président Joe Biden : « Si la Russie envahit, ce qui signifie que des chars et des troupes traversent à nouveau la frontière de l'Ukraine, alors il n'y aura plus de Nord Stream 2. »

Journaliste : « Mais comment allez-vous faire exactement, puisque le projet est sous le contrôle de l'Allemagne ? »

Biden : « Nous le ferons, je vous le promets, nous serons en mesure de le faire. » (c'est nous qui soulignons)
Joe Biden : « Il n'y aura plus de Nord Stream 2 ».

Les faits suggèrent que cette attaque terroriste avait été envisagée par l'administration Biden avant l'invasion russe. A-t-elle été exécutée par la CIA ? « Nous serons en mesure de le faire » a déclaré Joe Biden.

gazoducs russes
Acte de guerre des États-Unis contre l'Union européenne

Le système de gazoducs Nord Stream, qui a son origine en Russie, traverse les eaux territoriales de quatre États membres de l'UE, à savoir la Finlande, la Suède, le Danemark et l'Allemagne. L'autorisation a été donnée et approuvée par les parlements de ces pays avant la construction.

En outre, le gazoduc Nord Stream a également nécessité l'approbation de l'Estonie, de la Lettonie, de la Lituanie et de la Pologne, qui ont participé au processus de consultation préalable à la construction.

Une véritable bombe : D'un point de vue juridique, il ne s'agissait pas d'une attaque terroriste contre la Russie, mais d'un acte de guerre des États-Unis contre l'Union européenne.

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