« Le 15 décembre, environ trois semaines après sa troisième injection de rappel Pfizer, la princesse Bajrakitiyabha Narendira Debyavati s'est effondrée en raison de problèmes cardiaques et est tombée dans le coma. « La fille aînée du roi de Thaïlande, âgée de 44 ans et probable héritière du trône, était en excellente santé avant d'être vaccinée et de s'effondrer en entraînant ses chiens. »
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Les médias ont semblé se désintéresser de l'affaire après une mise à jour le 9 janvier dans laquelle il était indiqué que la princesse restait dans le coma et que, selon le palais, elle souffrait désormais d'une « arythmie cardiaque sévère résultant d'une inflammation consécutive à une infection à mycoplasme ».

Un porte-parole du gouvernement thaïlandais a déclaré cette semaine au professeur Sucharit Bhakdi que son pays pourrait bientôt devenir le premier au monde à annuler et rendre nuls ses contrats avec le géant pharmaceutique Pfizer et pourrait poursuivre le fabricant de vaccins en dommages et intérêts.

Les propagandistes dans les médias se sont lancés dans une course effrénée pour tenter de discréditer ces nouvelles, et pour affirmer qu'il n'y a « aucune preuve » d'un lien entre le vaccin et la maladie soudaine de la princesse (sans mentionner qu'il n'y a pas non plus de preuve disculpant le vaccin).

Google et d'autres sociétés de Big Tech, ainsi que leurs « vérificateurs de faits » ont à plusieurs reprises diffusé de la désinformation et censuré des informations exactes sur Covid et les vaccins au nom des intérêts de l'industrie du vaccin. » (Sheryl Attikson)

« Une fille de l'actuel roi Rama X s'est effondrée et est dans le coma... moins de 23 jours après la troisième injection, une jeune femme de 44 ans, qui n'avait jamais été sérieusement malade, s'est effondrée et est maintenant dans le coma. »

Le diagnostic qui a été donné par les autorités et par l'université est tellement ridicule - elle est censée avoir une infection bactérienne qui ne fera jamais ce dont elle a souffert.

Nous sommes donc déterminés, et les militants thaïlandais qui travaillent sur ce dossier depuis de nombreux mois - des gars formidables, ainsi qu'un professeur de l'université de Bangkok - ont pris contact avec la famille royale, et nous lui envoyons des informations pour l'alerter sur le fait que, selon toute probabilité, la princesse est victime de cette piqûre, comme tant de personnes dans le monde.

Sucharit Bhakdi, ancien professeur de microbiologie à l'université de Mayence, en Allemagne.


Les hauts fonctionnaires thaïlandais retirent leurs protections contre Pfizer Bio N Tech et pourraient devenir le premier pays au monde à annuler les contrats entre le gouvernement et Pfizer.

Ce qui signifierait que Pfizer devrait rembourser des milliards de dollars en raison des injections qu'ils ont faites au peuple thaïlandais.

Vidéo en anglais :


Commentaire du Prof. Michel Chossudovsky

Nos pensées sont avec la princesse Bajrakitiyabha de Thaïlande.

La décision de la Thaïlande de révoquer son contrat avec Pfizer est un non sequitur. Ce dont il est question ici, c'est la criminalité et la valeur de la vie humaine.

Le gouvernement royal thaïlandais devrait envisager une procédure pénale à l'encontre de Pfizer (qui a déjà un casier judiciaire pour commercialisation frauduleuse auprès du ministère américain de la Justice (2009).

Nous ne sommes plus dans le domaine du « marketing frauduleux ».

Le vaccin a été lancé à la mi-décembre 2020. Un rapport confidentiel de Pfizer, publié en octobre 2021 dans le cadre de la liberté d'information, confirme sans équivoque, sur la base des données enregistrées de mi-décembre 2020 à la fin février 2021, que le vaccin est une substance toxique entraînant mortalité et morbidité.

Le rapport qui est maintenant dans le domaine public devrait être consulté par le gouvernement royal thaïlandais :
« Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 rapports de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d'effets indésirables signalés, dont 23 cas d'avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de troubles cardiaques. »
Les preuves sont accablantes. Les données compilées de la mi-décembre 2020 à la fin février 2021 confirment sans équivoque « l'homicide involontaire ». Sur la base de ces preuves, Pfizer avait la responsabilité d'annuler et de retirer immédiatement le « vaccin ».

La commercialisation mondiale par Pfizer du vaccin Covid-19 au-delà du 28 février 2021 ne constitue plus un « acte d'homicide involontaire ».

Le meurtre, par opposition à l'homicide involontaire, implique une « intention criminelle ».

Le vaccin Covid-19 de Pfizer constitue un acte criminel. D'un point de vue juridique, il s'agit d'un « acte de meurtre » appliqué dans le monde entier à une population cible de 8 milliards de personnes. C'est un projet de plusieurs milliards de dollars.

Le rapport « confidentiel » de Pfizer contient des preuves détaillées de l'impact du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité.

Ces données qui émanent de la « bouche du cheval » peuvent être utilisées pour confronter ainsi que formuler des procédures légales criminelles contre Pfizer.

Voir l'article détaillé ci-dessous :

Vidéo: Rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin Covid. Au-delà de l'homicide involontaire. Les preuves sont accablantes. Le vaccin devrait être immédiatement retiré dans le monde entier Par Prof Michel Chossudovsky et Caroline Mailloux, 17 mai 2022

Voir également :

Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 » Par Prof Michel Chossudovsky, 18 janvier 2022