On a mis régulation entre guillemets, car il s'agit bien entendu de contrôle. Et de contrôle de la part de qui ? Officiellement de l'État, qui est impartial et qui représente l'intérêt commun. Voilà pour la légende. En réalité, la régulation de l'Internet qui pointe son gros nez est le fait des forces occultes qui constituent le pouvoir profond, ces minorités agissantes qui persécutent la majorité des Français pour leurs propres intérêts, qu'ils confondent évidemment avec ceux de l'État.

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C'est tordu, mais c'est comme ça : la liberté, c'est leur liberté. Pas la nôtre. Vu ce qu'il en reste...


Le projet de loi, adopté sans surprise par les sociaux traitres du Sénat début juillet 2023, qui ont tout ratifié depuis le coup d'État macronien (ou minco-attalien) de 2014-2017, finalisé en 2020 avec le covidisme (qui est l'autre nom de la tyrannie), est baptisé SREN, pour « sécuriser et réguler l'espace numérique ».

Pour rassurer le troupeau, ce projet vise à filtrer les arnaques, qui sont légion sur le Net, et à protéger les mineurs des sites pédophiles. On serait tentés d'applaudir, mais le nombre de pédophiles nichés au sommet de notre société qui bénéficient d'une immunité totale nous fait douter de l'entreprise.

Pour vérifier cette assertion, on vous invite à relire les deux publications de Faits & Documents. En outre, SREN va punir les harceleurs en ligne. On sent que la fin de l'anonymat sur les RS est proche, puisque Macron en parle de plus en plus.

Pour protéger les gosses des sites pédos, et même des sites pornos, il y aura un système de vérification d'âge. Alors on va vous expliquer : actuellement, vous cliquez sur « J'ai plus de 18 ans », et hop, en avant dans le super espace du fion. Pour éviter cette barrière que n'importe quel imbécile peut sauter, on se dirige vers un scan de la carte d'identité, et là c'est moins drôle. De plus, chez les technos de la Macronie, on laisse traîner l'idée d'interdire les VPN. Ce qui a fait rigoler les petits malins :


Le clan au pouvoir au Château - la bande des Trois, à savoir Bornstein, Brigitte et Kohler, on exclut Macron parce qu'il est juste le porte-parole -, s'il touche à la liberté d'expression sur le Net sous prétexte de protéger les enfants, dont il n'a rien à foutre, risque de faire monter son opposition. Notre petit doigt nous dit que si l'Internet est fliqué à mort, l'opposition virtuelle se retrouvera dans la rue, et le pays sera ingouvernable. Mais on peut se tromper.

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En attendant, là encore sans surprise, sous la demande expresse des associations (suivez notre regard), SREN va renforcer la répression contre les opposants à la tyrannie macronienne :
Le texte renforce, par ailleurs, les sanctions des personnes condamnées pour haine en ligne, cyber-harcèlement ou d'autres infractions graves (pédopornographie, proxénétisme...). Le juge pourra prononcer à leur encontre une peine complémentaire de suspension ou "peine de bannissement" des réseaux sociaux pour six mois (voire un an en cas de récidive). Le réseau social qui ne bloquerait pas le compte suspendu encourra une amende de 75 000 euros.

Pour mieux se protéger contre la désinformation de médias étrangers frappés par des sanctions européennes (tels que Sputnik ou Russia Today France), l'Arcom pourra enjoindre à de nouveaux opérateurs de stopper sous 72 heures la diffusion sur internet d'une chaîne de "propagande" étrangère. En cas d'inexécution, elle pourra ordonner le blocage du site concerné et infliger une amende pouvant aller jusqu'à 4 % du chiffre d'affaires de l'opérateur.
Traduction : seule la propagande macronnienne - c'est-à-dire européiste, mondialiste, progressiste — sera autorisée ! On va tout droit vers un monopole de l'information, et un chaos généralisé. Bonne chance aux députés Renaissance qui vont se coltiner la colère des Français dans leur circonscription. Mais eux, la bande des Trois n'en a rien à battre non plus : ils sont de la chair à canon oligarchique.