L'ovation d'un SS au parlement canadien n'a pas fini de faire des vagues. Il faut se rendre à l'évidence : les Bandéristes règnent au Parlement canadien. Depuis plusieurs années, il y a unanimité, un consensus multipartite : scander le slogan « Slava Ukraini » est les rallie tous de ralliement : Conservateurs, Néo-démocrates, Bloquistes et surtout Libéraux de Justin Trudeau.
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D'où ça vient ? En effet, des fascistes ukrainiens mènent le bal à ce sujet depuis très longtemps. Ils sont financés notamment par le gouvernement canadien en vertu de la politique du multiculturalisme, et en particulier le Congrès ukrainien du Canada. Ce sont eux qui ont érigé des monuments à la mémoire de Nazis à Oakville et à Edmonton. Ils ont donné une médaille à Jaroslav Hunka en 2017.

Chrystia Freeland, ministre des Finances du Canada et vice-première ministre, est le produit de ces organisations ukrainiennes, en plus d'être la petite fille d'un propagandiste nazi connu de tous : Michael Chomiak.

Elle persiste à dire qu'il était un réfugié et non pas un nazi exfiltré par les services américains et canadiens. Elle refuse de désavouer son grand-papa.

Elle jouit d'une entente non écrite de tous : Aucun parlementaire ni aucun grand média canadien ne demande à Chrystia Freeland de rendre des comptes et de dire clairement qu'elle s'oppose à tout ce que son grand-père représentait.

Tout le monde le sait, mais personne n'en parle.

Où est-ce que ça nous mène ? À embrasser les Nazis et bandéristes.

Exemple : le chef d'État-major de la Défense canadienne, Wayne Eyre, a été photographié sur la même rangée que l'ex-membre du Waffen SS, Jaroslav Hunka (à deux pas de lui). Il applaudissait à tout rompre. Or il refuse de s'excuser de l'avoir ovationné. Les Forces armées canadiennes entraînent le bataillon Azov, en Ukraine, qui lui, est ouvertement dirigé par des Néo-Nazis.

Ce même Chef d'État-major, Wayne Eyre, et le ministre de la Défense, Harjit Sajjan ont été interpellés directement dès 2021 par les Friends of Simon Wiesenthal Center for Holocaust Studies, qui exigeait une enquête sur la décision canadienne de former militairement des néo-nazis. Non seulement ils n'y ont pas répondu, ils ont intensifié le programme de formation des néo-nazis.

Tout ce beau monde ovationne un membre du Waffen SS. Après tout le monde dit : on ne savait pas, on n'en savait rien.

Nous sommes les dindons de la farce en raison de cette entente non écrite.

Les grands médias et commentateurs demandent au gouvernement : Avez-vous offert des excuses à Zélensky, au peuple ukrainien ? Or, ils savent que ni Zélenskiy, ni le gouvernement ukrainien n'ont demandé d'excuses. Pourquoi en demanderaient-ils quand ils ont déjà réhabilité nazis et bandéristes en érigeant des monuments et en renommant des rues en leur honneur.

La Pologne, elle, a demandé des excuses. Elle n'en a pas reçu.

La Pologne connaît la division galicienne du Waffen SS. NOTER : ce n'est pas la Division ukrainienne du Waffen SS, mais la Division galicienne. La Pologne sait ce qu'ils ont fait.

On fait un amalgame propagandiste en faisant un équivalent Russie=URSS. Erreur : Entendez-vous ou voyez-vous le mot Russie dans l'URSS. Non ! Staline était géorgien ; Krouchtchev était ukrainien ; Léonid Brejnev était ukrainien ; Anastase Mikoïan était arménien...

L'ex-président de la Chambre des communes a dit de Hunka : « il se battait contre les Russes ». Erreur : il se battait contre l'Union soviétique, donc contre la vaste majorité des Ukrainiens, car les Ukrainiens étaient d'héroïques combattants soviétiques qui ont aidé à battre les Nazis.

Mais le Canada s'égare de ce qui se passe réellement : Zélenskiy est de plus en plus isolé de ses voisins.

Alors que les voisins de l'Ukraine s'éloignent d'elle (Pologne, Slovaquie, Hongrie), le Canada continue, tête baissée.