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Billets changeant de main devant un caducée à tête de mort
Traduction : Sott.netL'éditeur de JAMA qualifie la recherche médicale frauduleuse de « cicatrice sur le corps moral de la science ». Mais cela ne représente seulement qu'une partie d'un système plus vaste de fraude médicale.
La science médicale est remplie de fraudes. À la Mayo Clinic, dix années de recherche qui devaient permettre d'utiliser le système immunitaire pour lutter contre le cancer sont perdues en raison d'études frauduleuses et de recherches ultérieures fondées sur ces résultats frauduleux.
Le retrait de publications scientifiques dans le domaine médical n'a jamais été aussi élevé. Quoiqu'il ait été mentionné que les erreurs étaient une cause trois fois plus fréquente que les fraudes, on peut sérieusement se demander si de simples erreurs sont la raison principale. Après tout, ces études sont évaluées par un comité de lecture. Elles sont sensées avoir subi un examen méticuleux. Mais est-ce la réalité ?
Bien évidemment, comme les lecteurs de Gaia Health l'ont constaté à de nombreuses reprises, la réalité est que dans la plupart des recherches médicales les incohérences sont flagrantes. Souvent, un simple examen de l'étude, au lieu de la prendre pour argent comptant, démontre que les conclusions ne sont pas étayées par les preuves.
Pourtant, ces mêmes études sont citées comme preuve de l'efficacité de médicaments et de procédures. Même après que les publications aient été retirées, l'impression qu'elles ont produite ne disparaît pas. Les recherches fondées sur ces publications ont déjà été définies et sont en cours d'expérimentation.
Les médecins détestent modifier leurs pratiques sur la foi d'études erronées. Les changements sont plus faciles suite au plébiscite de nouveaux médicaments et procédures plutôt qu'au discrédit des anciens. Songez simplement aux médecins qui continuent à prescrire des bisphosphonates pour une maladie qui n'existe pas, l'ostéopénie (pré-ostéoporose), et les hormones de substitution pour une autre maladie imaginaire, la ménopause - ou même la routine consistant à prescrire des médicaments contre la fièvre qui se révèle presque toujours contre-productive.
Une meilleure détection des erreurs explique-t-elle le retrait de publications scientifiques ?Certains journaux médicaux affirment qu'ils détectent mieux les erreurs, ce qui implique qu'il n'y a pas vraiment d'augmentation des publications frauduleuses. Cette explication ne résiste tout simplement pas à l'examen. Ils n'expliquent pas comment ils ont amélioré leur capacité à détecter des erreurs. En d'autres termes, cette déclaration faite par les augustes journaux médicaux est totalement infondée.
Pire, certains affirment que le progrès des logiciels de détection de plagiat explique l'augmentation du retrait de publications. Mais en quoi la détection de plagiats explique-t-elle les études frauduleuses ?
La raison est simple, ils trouvent plus d'études frauduleuses, parce qu'ils les cherchent. Non pas en raison de leur contrôles internes mais parce que des scandales de fraudes ont été relayés par les médias de masse.
Pourquoi tant de fraude dans les études médicales ?On peut gagner énormément avec une étude frauduleuse si on ne se fait pas attraper. La raison est simple. Selon Richard Horton, éditeur du
Lancet :
Une seule publication dans le
Lancet et vous obtenez une chaire et des financements. C'est votre passeport pour le succès.
Ce n'est qu'une histoire d'argent. Lorsque vos recherches sont publiées dans un grand journal scientifique, votre avenir est assuré. La plupart des membres des comités de lecture mènent leurs propres recherches. C'est pour cela qu'on les appelle « pairs ». Ils veulent être en mesure de publier. Par conséquent, ils ne sont pas particulièrement enclins à aller au-delà de commentaires négatifs superficiels. Manifestement, ils ne veulent pas se mettre à dos les auteurs car eux aussi publient ou espèrent publier leurs recherches.
L'évaluation par les pairs est une farce. La seule évaluation qui fasse sens est celle établie par des critiques indépendants et professionnels. Pourtant, pendant des décennies, on nous a présenté l'évaluation par les pairs comme la solution parfaite pour déterminer la légitimité d'une publication. Ce processus n'est pas contesté, alors qu'un rapide examen démontre qu'il permet de manière quasiment certaine que des travaux frauduleux soient présentés comme scientifiquement fiables.
La fraude est une cicatrice pour la scienceRichard Horton déclare que ce type de fraude « est une cicatrice sur le corps de la science » C'est certainement vrai. Combien de patients en ont-ils subi les préjudices ? Nous ne le saurons probablement jamais comme illustré par ces exemples :
* *Vioxx l'antalgique qui provoque des crises cardiaques
* Les énormes failles dans les études sur les statines qui masquent leurs effets secondaires, sans parler de leur manque d'efficacité
* Les études sur les antidépresseurs et les antipsychotiques qui ont également masqué les effets secondaires et le manque d'efficacité.
* Les études malavisées sur le sel qui continuent à prétendre que l'on doit recommander un apport réduit en sel alors que c'est l'inverse qui est probablement vrai. Dans la plupart des cas, il existe un lien direct entre la consommation de sel et le taux de mortalité. Plus l'apport en sel est faible, plus la mortalité est élevée, comme démontré dans une bonne étude publiée dans JAMA
Même le système sensé contrôler la fraude dans les études avant leur publication est corrompu, comme montré dans
cette opération d'infiltration. La fraude est systémique, du début des essais cliniques qui sont financés directement et indirectement par les grands laboratoires pharmaceutiques jusqu'à la compétition entre les chercheurs qui veulent faire leur premier million et aux journaux qui acceptent des études frauduleuses, en se cachant derrière un système d'évaluation par les pairs manifestement biaisé, et qui sont financés presqu'en totalité par les publicités des laboratoires pharmaceutiques, et aux médecins qui choisissent d'accepter aveuglement ce que disent les études publiées dans les journaux scientifiques car c'est la solution de facilité, ça les met hors danger et ça leur ramène aussi des patients.
Signifier la corruption inhérente à la médecine conventionnelleSelon la médecine conventionnelle, son existence est justifiée par le principe des preuves. Au contraire, cela démontre que la médecine conventionnelle n'est absolument pas fondée sur des preuves. La plupart des traitements issus de la médecine moderne ne reposent sur aucune base solide, ce qui devrait être évident lorsqu'on observe l'incidence des maladies chroniques en constante augmentation.
Jetez un œil aux maladies résistantes aux médicaments, qui sont en train d'exploser et sont bien plus virulentes que les maladies classiques. Ou penchez-vous sur l'allégation fallacieuse selon laquelle les vaccins ont permis d'éradiquer des maladies, alors qu'un examen rationnel des preuves montre que la véritable cause n'est pas la médecine moderne mais une alimentation adaptée, de l'eau de bonne qualité, et de bons systèmes d'assainissement. Voyez l'émergence de ce
nouveau type de coqueluche, 10 fois plus virulente que la souche classique et causée par le vaccin lui-même, alors que l'on blâme ceux qui n'ont pas été vaccinés.
Même lorsqu'il y a des succès apparents, on découvre souvent qu'ils sont éphémères et induisent des problèmes plus graves que ceux qu'ils ont apparemment résolus.
Nous rentrons effectivement dans le meilleur des mondes de la médecine conventionnelle. Malheureusement, ceux qui devront être courageux sont les patients car ils devront disposer de toutes leurs ressources et de toute leur résilience pour éviter de n'être rien de plus que les récipiendaires de ce que la pseudo science qu'est la médecine moderne réussira à recracher.
Quoique le commentaire du Dr Horton selon lequel les études frauduleuses sont « une cicatrice sur le corps moral de la science » soit juste, l'entière vérité est bien plus navrante. L'intégralité de la médecine conventionnelle est devenue une cicatrice sur la psyché et
le soma des êtres humains.
... sur les antipyrétiques (médicaments contre la fièvre)
Je n'ai plus voulu donner d'antipyrétiques à mes enfants quand j'ai compris qu'ils contenaient des additifs, dont l'aspartame.
J'ai donc du lutter contre ma peur pour eux et les veiller des nuits entières pour me rendre compte que leur maladie durer moins longtemps sans traiter la fièvre.
Ce n'est qu'en suite que j'ai découvert que la fièvre était utile et tenait un rôle important dans le processus d'activation du système immunitaire, elle est un moyen de défense naturelle de notre organisme, peu de gens le savent...prendre des antipyrétiques est devenue tellement banal...grâce à nos sacrés saints docteurs et pharmaciens... foi aveugle, quand tu nous tiens !
Voilà un extrait de l'article wiki sur la fièvre:
"La fièvre est l'élévation de la température corporelle chez un être à sang chaud par dérèglement du « thermostat » central. Il s'agit généralement d'une réaction de défense contre une agression interne (par exemple une infection) appelée à activer certains mécanismes immunitaires et anti-inflammatoires".
"Traitement:
Puisque, comme dit plus haut, la fièvre est un mécanisme de défense du corps contre une agression interne (par exemple une infection) appelée à activer certains mécanismes immunitaires et anti-inflammatoires. IL NE FAUT PAS tenter de la faire baisser de façon brutale en se découvrant ou de façon chimique. Il faut s'enfouir sous les couvertures. Sauf dans le cas ou la température arrive autours de 40°C, dans le cas ou il s'agit d'un enfant en dessous de trois ans, ou d'une personne âgée. Les enfants en dessous de trois ans et les personnes âgées ne régulent pas leur température, ils sont des cas à part.
Le corps dépense de l'énergie pour faire monter la température, se découvrir c'est l'obliger à dépenser plus d'énergie pour tenter d'obtenir une température adéquate avec la défense de l'organisme.
La fièvre peut persister tout le temps de l'infection.
Aux alentours de 40°C, des vessies de glace peuvent être appliquées il faut découvrir le patient et ne pas l'enfouir sous les couvertures. Ce niveau de température représente un danger pour l'organisme et notamment pour le cerveau.
Pour un enfant de moins de trois ans, pour les personnes âgées, il faut découvrir le patient et consulter un médecin."