Les années 70, on s'en souvient encore lorsque le « co-sleeping » a été pointé du doigt par les psychanalystes... et voilà que le docteur sud-africain Nils Bergman de l'Université du Cap remet le sujet sur le tapis. Les nouveaux-nés devraient dormir avec leur mère juste après la naissance, et ce au moins jusqu'à sa 3ème année.
C'est bon pour le cœur du bébé, c'est bénéfique pour le développement de son cerveau mais également, il a besoin de la présence charnelle de sa maman pour le rassurer. Si les poupons dormaient mal dans leur berceau, c'était tout simplement parce qu'ils avaient besoin de leur mère près d'eux. Selon les affirmations du professionnel de la pédiatrie, le « co-sleeping » réduirait de 3 fois moins l'anxiété du petit-enfant sur le plan cardiaque. Le docteur Bergman conclut son analyse en soulignant que les accidents causés au bébé dans son sommeil, du fait de la proximité de la mère, n'expliquent en rien le fait de partager un lit avec elle. Dans son rôle de mère, elle doit prendre les précautions pour éviter le pire, telles que bannir les coussins trop grands mais aussi les jouets dangereux, sources principales du danger.
Commentaire : "Nos aïeux étaient de bien meilleurs parents que nous ne le sommes aujourd'hui", affirme la très controversée [controversée = qui ne va pas dans le sen de la "science" officielle - NdE] psychologue américaine Darcia Narvaez après ses trois essais consacrés à la comparaison entre les parents d'aujourd'hui et ceux de la préhistoire.
Les enfants parqués ça et là"Nos ancêtres avaient une bien meilleure idée de ce qu'est être parent que ce que nous en avons au 21e siècle. Nos pratiques actuelles, de laisser les bébés pleurer, de les caser dans des poussettes ou des sièges auto et de ne pas les faire promener ont engendré une brisure dans le coeur de générations entières", argumente Darcia Narvaez.
Epidémie de crainte"Nos jeunes sont envahis par une épidémie de peurs. Ils ne reçoivent pas les soins dont ils ont besoin, ils manquent d'affection, deviennent égoïstes. Ils témoignent moins d'empathie que ceux qui avaient jadis grandi dans des familles avec une vraie chaleur humaine".
Plus de câlins"Dans les groupes de chasseurs ou de cueilleurs d'autrefois, les enfants restaient dans les bras et portés où que soient les parents, ils étaient donc immédiatement réconfortés en cas de chagrin, profitaient de l'allaitement maternel des années durant et passaient le plus clair de leur temps à l'extérieur. Sans compter les bons soins prodigués par la famille élargie, la communauté, soit d'autres papas et mamans qui s'occupaient de l'enfant, et avaient une bonne influence sur la conscience parentale. Les enfants n'étaient jamais battus, mais soutenus et cajolés grâce à l'entourage de la maman".
Moralité"Notre sens moral est formé depuis l'enfance. Mais les parents du 21e siècle gâchent cela pour assouvir leurs envies, répondre à leur bien-être, atteindre leurs buts. La chaleur humaine qu'offraient nos aïeux à leurs enfants avaient le mérite d'apaiser l'esprit du bébé au moment où sa personnalité et son appréhension du monde se forment".
Hyperactifs"Des études démontrent maintenant que les enfants qui ne jouent pas assez à l'extérieur développent des problèmes d'hyperactivité et mentaux. Le bien-être de l'enfant a dégringolé aux Etats-Unis ces cinquante dernières années", explique encore la psychologue.
Source :
7sur7.be
Commentaire : "Nos aïeux étaient de bien meilleurs parents que nous ne le sommes aujourd'hui", affirme la très controversée [controversée = qui ne va pas dans le sen de la "science" officielle - NdE] psychologue américaine Darcia Narvaez après ses trois essais consacrés à la comparaison entre les parents d'aujourd'hui et ceux de la préhistoire.
Les enfants parqués ça et là
"Nos ancêtres avaient une bien meilleure idée de ce qu'est être parent que ce que nous en avons au 21e siècle. Nos pratiques actuelles, de laisser les bébés pleurer, de les caser dans des poussettes ou des sièges auto et de ne pas les faire promener ont engendré une brisure dans le coeur de générations entières", argumente Darcia Narvaez.
Epidémie de crainte
"Nos jeunes sont envahis par une épidémie de peurs. Ils ne reçoivent pas les soins dont ils ont besoin, ils manquent d'affection, deviennent égoïstes. Ils témoignent moins d'empathie que ceux qui avaient jadis grandi dans des familles avec une vraie chaleur humaine".
Plus de câlins
"Dans les groupes de chasseurs ou de cueilleurs d'autrefois, les enfants restaient dans les bras et portés où que soient les parents, ils étaient donc immédiatement réconfortés en cas de chagrin, profitaient de l'allaitement maternel des années durant et passaient le plus clair de leur temps à l'extérieur. Sans compter les bons soins prodigués par la famille élargie, la communauté, soit d'autres papas et mamans qui s'occupaient de l'enfant, et avaient une bonne influence sur la conscience parentale. Les enfants n'étaient jamais battus, mais soutenus et cajolés grâce à l'entourage de la maman".
Moralité
"Notre sens moral est formé depuis l'enfance. Mais les parents du 21e siècle gâchent cela pour assouvir leurs envies, répondre à leur bien-être, atteindre leurs buts. La chaleur humaine qu'offraient nos aïeux à leurs enfants avaient le mérite d'apaiser l'esprit du bébé au moment où sa personnalité et son appréhension du monde se forment".
Hyperactifs
"Des études démontrent maintenant que les enfants qui ne jouent pas assez à l'extérieur développent des problèmes d'hyperactivité et mentaux. Le bien-être de l'enfant a dégringolé aux Etats-Unis ces cinquante dernières années", explique encore la psychologue.
Source : 7sur7.be