Santé et Bien-être
"Les chiffres se passent de commentaires", précise Europe 1 qui publie la lettre sur son site Internet. Les scientifiques de Réseau environnement santé (RES) se basent sur une étude danoise, publiée il y a un an, qui "mettait en évidence un taux plus élevé de naissance prématurée tardive (soit entre les 32e e et 36e semaines d'aménorrhée), proportionnel à la consommation de boissons gazeuses avec édulcorants".
L'étude, conduite par le Danois Thorhallur Halldorsson, publiée en 2010 dans l'American Journal of Clinical Nutrition, était consacrée à l'impact des boissons light ou sans sucre - c'est-à-dire contenant un édulcorant - sur près de 60 000 Danoises enceintes. Il est apparu que la consommation d'au moins une boisson gazeuse contenant un édulcorant par jour augmentait le risque d'une naissance avant terme de 27 %, 35 % si l'on en boit deux ou trois, 78 % quand c'est plus de quatre. L'impact est moindre quand les boissons sont non gazeuses, l'augmentation du risque allant de 11 à 29 %.
"LE DOUTE DEVRAIT PROFITER AU CONSOMMATEUR"
Pour les scientifiques, il est temps d'avertir les femmes enceintes de ce risque. "Vous avez déclaré, à propos de l'affaire du Mediator, que le doute devait désormais profiter au malade. Dans le cas présent, il nous semble que le doute devrait profiter au consommateur", concluent-ils leur courrier à l'adresse de M. Bertrand.
L'aspartame, édulcorant le plus utilisé au monde, se retrouve dans plus de 6 000 produits, du chewing-gum aux boissons allégées, dont plus de 500 produits pharmaceutiques. Selon le RES, 200 millions de personnes en consommeraient "régulièrement". Chez les enfants et les femmes en âge de procréer, l'absorption quotidienne est estimée entre 2,5 et 5 mg par kg de poids corporel. La dose journalière admissible établie par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) est de 40 mg/kg. L'EFSA a été invitée en mai par la Commission européenne à anticiper la réévaluation complète de la sécurité de l'aspartame en 2012.
Commentaire : L'aspartame n'est pas nocif que pour les femmes enceintes ! C'est un poison à éviter absolument.
Commentaires des Lecteurs
Le SUCRE et tous les produits contenant du sucre. C'est la correction la plus importante, et à faire en tout premier, car le sucre est l'aliment de base du candida.
ATTENTION, contrairement à des convictions bien répandues, IL N'Y A PAS DE "BON SUCRE"... le miel (même BIO) = c'est du sucre, le sucre de canne brun ("naturel") = c'est du sucre, le sirop d'érable = c'est du sucre...
et SURTOUT, ne pas chercher à remplacer le sucre par des édulcorants, quels qu'ils soient (aspartame ou autre), et inutile de demander "mais alors, par quoi remplacer le sucre ?" - on ne remplace pas le sucre.
Le goût exagéré du "sucré" n'est pas naturel, c'est un un goût "perverti", c'est une drogue... il faut simplement se défaire de cette dépendance, se "rééduquer"...
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Carburant noble, carburant indispensable, le SUCRE est à la fois le meilleur et le pire des aliments, à consommer avec la plus grande prudence...
Le glucose, qui est le sucre que le sang véhicule vers chacune des cellules de notre corps, est l'aliment privilégié et même exclusif de certains tissus, et en particulier du cerveau.
En effet, le cerveau ne peut utiliser aucune autre source d'énergie que le glucose. En son absence, il cesse immédiatement de fonctionner normalement, et il se détériore rapidement. Si la carence en glucose est prolongée, les dommages deviennent irréversibles, et si elle est profonde et n'est pas corrigée en urgence, le coma et la mort s'ensuivent.
Mais l'excès de sucre, qui de nos jours est beaucoup plus courant que la carence, est tout aussi dangereux, sinon plus car, beaucoup plus insidieux, l'excès de sucre est responsable d'un nombre incaculable de problèmes de santé...
Or dans notre société "moderne", nous consommons en moyenne de 10 à 20 fois plus de sucre que ce qui nous serait nécessaire... Nous consommons de plus en plus d'aliments "pré-préparés", conditionnés, les aliments ne sont plus "pensés", préparés, proposés pour leurs qualités nutritionnelles, pour leur valeur pour la santé, mais toujours, et de plus en plus, UNIQUEMENT avec des objectifs de "rentabilité"... le dieu "dollar" impose ses volontés... l'effort de l'industrie agro-alimentaire est porté sur l'attractivité des aliments proposés, sur leur apparence, et surtout sur le goût.
Du sucre est rajouté PARTOUT, car le sucre rend dépendant et fait vendre....
Le mal du sucre... Il est terrible.
Il est pétri de larmes, de sang, d'infirmités, de difformités et de morts. Son odeur est pestilentielle et lorsqu'elle monte à nos narines, elle nous donne un haut-le-coeur dont on ne se remet pas. On lui doit les pages les plus révoltantes de l'histoire post moyenâgeuse et ce n'est qu'à sa lueur que soudain cette histoire prend son véritable visage. L'illusion ne peut subsister : Ce n'est pas l'amour qui mène le monde et qui ne l'a jamais mené, c'est l'appétit, et dès la création de l'homme et jusqu'à ce jour, il fut et est encore la cause pitoyable de sa déchéance, de sa misère et de son retour à la poussière......
Le mal du sucre, ... c'est sept siècles de commerce, dans le monde entier, basé sur l'esclavage, le génocide et le crime organisé...
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En 1912, le docteur Robert Boesler affirme : «La fabrication moderne du sucre a entraîné des maladies complètement nouvelles. Le sucre du commerce n'est rien d'autre que de l'acide cristallisé. Si dans le temps passé le sucre était tellement cher que seuls les riches pouvaient se permettre de l'utiliser, cela était du point économique national, sans conséquence. Mais aujourd'hui quand, à cause de son bas prix, le sucre a entraîné la dégénérescence du peuple, il est temps d'exiger une mise en garde nationale. La perte d'énergie par l'usage du sucre au siècle dernier et au début de ce siècle ne pourra jamais être rattrapée car elle a laissé sa marque sur notre race. (...) Ce qui a été détruit par le sucre est perdu et ne pourra jamais être retrouvé.»
En 1925, le sucre est reconnu comme une cause importante de maladie et d'obésité.
Dans les années 40, on entend dire que le sucre est un aliment pour lequel l'individu développe "un goût excessif" et une véritable dépendance, et qu'il ne donne rien d'autre que des calories vides.
En 1950, on déclare officiellement qu'il est la cause majeure de la carie dentaire.
En 1960, on a les preuves qu'il diminue la résistance du corps aux maladies. On découvre également la relation étroite qui existe entre l'usage du sucre et les infections staphylococciques.
En 1970, le docteur John Yudkin déclare sans ménagements : «Premièrement, il n'y a aucun besoin physiologique pour le sucre. Tous les besoins de la nutrition humaine peuvent être complètement comblés sans avoir à prendre une seule cuillerée à thé de sucre blanc, de sucre brun ou de sucre brut, tel quel, dans les aliments ou dans les boissons.
Deuxièmement, si seulement une petite fraction de ce qui est déjà connu au sujet des effets du sucre devait être révélée et mise au compte d'un quelconque additif alimentaire, cet additif serait promptement interdit.»
En 1980, le docteur Abram Hoffer affirme que «le sucre produit une assuétude aussi grave que n'importe quelle autre drogue. La seule différence entre la dépendance envers l'héroïne et la dépendance envers le sucre est que le sucre n'a pas besoin d'être injecté, il peut être consommé immédiatement parce qu'il est disponible et il n'est pas considéré comme une plaie sociale. Cependant la puissance de la dépendance au sucre est aussi forte que la dépendance à l'héroïne»
Le docteur Hoffer conclut : «La dépendance au sucre cause des symptômes typiques aussi graves que ceux qui accompagnent le sevrage de n'importe quelle autre drogue» Il est, à la lumière de cette déclaration d'un médecin habitué aux désintoxications, facile de comprendre pourquoi, lorsque l'on parle du sucre, la majorité des gens réagissent avec violence et agressivité.
Ils se sentent douloureusement menacés dans leur toxicomanie puissante.
Il y a maintenant 400 ans que le mal du sucre livre notre race à la déchéance sociale, physique, morale et intellectuelle. Aujourd'hui, alors que le sucre attaque son pancréas et l'amène à une hypersensibilité qui l'entraîne à détruire le glucose du sang, alors que le café, le thé, les colas et le tabac épuisent ses surrénales qui ne réussissent plus à élever le glucose du sang, alors que la farine blanche et l'alcool affaiblissent son foie qui n'arrive plus à stocker correctement puis à relâcher le glucose dans le sang, pour l'homme de la fin du 20ème, le mal du sucre s'appelle : L' HYPOGLYCÉMIE.
Danièle Starenkyj, "Le mal du sucre" éditions Orion
Evolution approximative de la consommation de sucre dans les "pays évolués",
au cours des 300 dernières années, par personne et par an :
En 1700
2 kilos par personne et par an.
En 1800
8 kg.
En 1900
38 kg.
En 1933
48 kg.
En 1970
55 kg
et de nos jours, dans certains pays, cette consommation approche les 90 kg
Et de plus, ces chiffres ne prennent pas en considération la consommation supplémentaire de miel, mélasse, sirop d'érable, etc...
Au Canada, entre 1959 et 1967 (en 8 ans !),
les Esquimaux ont augmenté leur consommation de sucre de 11,8 kg à 47,3 kg.
En Afrique du Sud, entre 1953 et 1964 (en 11 ans),
les Zoulous ont augmenté leur consommation de sucre de 3 kg à 27 kg.
Le docteur Abram Hoffer nous rappelle la véritable signification de ces statistiques : «Au cours des 300 dernières années, la consommation de sucre dans le monde est passée de moins de 2,3 kg par an et par personne à plus de 46 kg par an et par personne. Et cela est un chiffre moyen calculé en incluant les bébés et les personnes qui, avec sagesse, ne consomment que très peu de sucre. Ce qui veut donc dire qu'un grand nombre de personnes consomment plus de 90 kg de sucre par an...
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est officiellement autorisée par l'UE
Le 17 novembre 2011 à 08h38
L'utilisation dans diverses denrées alimentaires d'extraits de stevia vient d'être autorisée par l'Union européenne. La plante, Stevia ribaudiana, qui pousse à l'état sauvage en Amérique du Sud, contient des édulcorants intenses naturels. Son pouvoir sucrant 300 fois supérieur au saccharose intéresse les industriels pour remplacer le sucre ou l'aspartame.
La Commission européenne a annoncé lundi l'autorisation à l'échelle de l'UE du recours à un édulcorant d'origine naturelle, la stevia, qui pourrait ainsi remplacer l'aspartame ou d'autres édulcorants dans les aliments ou lesboissons sans sucre.
Dans un communiqué, la Commission a annoncé avoir adopté « un règlement autorisant son usage dans diverses catégories alimentaires » , à la suite de l'avis favorable rendu par l'Agence européenne de sécurité des aliments (Efsa).
La stevia, nouveau remplaçant de l'aspartame ?
Cet édulcorant est tiré d'une plante, la Stevia ribaudiana, originaire d'Amérique du Sud et apparentée à la famille de plantes des astéracées, comme l'estragon et la camomille.
Cette autorisation entrera en vigueur le 2 décembre. Des yaourts, des céréales, des boissons, des chocolats ou des édulcorants pourront désormais contenir des extraits de stevia.
La Stevia ribaudiana contient des édulcorants naturels intenses, au pouvoir sucrant 300 fois supérieur à celui du saccharose. Une fois les feuilles séchées et réduites en poudre, on utilise la stevia pour sucrer des boissons par exemple. ©Wikipédia, DP
Dans un communiqué, le Conseil international de la stevia, qui représente l'industrie du secteur, applaudit cette décision. « L'ultime obstacle dans le processus de régulation a été levé », s'est réjouie Maria Teresa Scardigli, directrice exécutive de ce groupe industriel, tandis que son président, Carl Horn, a souligné que les produits étaient non seulement naturels, mais aussi « zéro-calorie ».
Les extraits de la stevia sont déjà très courants dans les produits en Asie, en Amérique du Sud et aux États-Unis, selon l'industrie du secteur.
source
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Les substituts du sucre à base d’aspartame causent des symptômes inquiétants allant de la perte de mémoire jusqu’à des tumeurs au cerveau. Mais en dépit de l’approbation par la FDA (Food & Drug Administration - organisme de certification et de contrôle des aliments et médicaments aux États-Unis) le plaçant au tableau des additifs alimentaires "sans danger", l’aspartame est l’une des substances les plus dangereuses jamais imposées à un public sans méfiance
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L’amère vérité sur l’aspartame et les exhausteurs de goût (Mono sodium de glutamate ou MSG, p1
L’amère vérité sur l’aspartame et les exhausteurs de goût (Mono sodium de glutamate ou MSG
) Extrait du Nexus Magazine, © 1995 par Mark D. Gold
Dans le mensuel “Blazing Tattles”, vous aurez des dossiers sur la pollution et votre santé, le climat, et les écosystèmes. De l’information pour les consommateurs, les médias ; les séquelles de la Guerre du Golfe et plus encore... Du travail sérieux !
L’aspartame est le terme technique pour les marques portant le nom de NutraSweet, Canderel, Equal, Spoonful et Equal-Measure. L’aspartame fut découvert accidentellement en 1965, lorsque James Schattler, un chimiste de G.D. Searle Company, était en train de tester un médicament antiulcéreux. L’aspartame fut autorisé pour les aliments secs en 1981 et pour les boissons gazeuses en 1983. Il fut au début approuvé pour les aliments secs le 26 juillet 1974, mais en raison d’objections émises par le Dr. John W. Olney, chercheur en science neurologique, et par l’Avocat général à la consommation, James Turner, en août 1974, et suite à des enquêtes sur les pratiques de recherche de G.D. Searle, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a dû retarder son approbation de l’aspartame (5 décembre 1974). En 1985, Monsanto a acquis G.D. Searle et sépara Searle Pharmaceuticals et The NutraSweet Company en filiales distinctes.
L’aspartame est, de loin, la substance la plus dangereuse sur le marché à être ajoutée aux aliments. L’aspartame est tenu pour responsable de plus de 75% des réactions défavorables aux additifs alimentaires dont il a été fait rapport à la FDA. Bon nombre de ces réactions sont très sérieuses, y compris des attaques d’apoplexie et la mort ainsi qu’il en a été fait récemment état dans un rapport de février 1994 du Department of Health and Human Services. (1) Quelques-uns des 90 symptômes répertoriés et énumérés dans le rapport comme étant causés par l’aspartame incluent : Maux de tête/migraines, étourdissements, crises d’apoplexie, nausées, engourdissements, spasmes musculaires, gains de poids, irritations cutanées, dépression, fatigue, irritabilité, tachycardie, insomnie, problèmes visuels, perte d’ouie, palpitations cardiaques, difficultés respiratoires, crises d’anxiété, difficultés d’élocution, perte du goût, goût de fer, vertige, perte de mémoire et douleurs articulaires.
Selon les chercheurs et les médecins étudiant les effets indésirables de l’aspartame, les maladies chroniques suivantes peuvent être causée ou aggravées par l’ingestion d’aspartame : (2) tumeurs au cerveau, sclérose en plaques, épilepsie, syndrome de fatigue chronique, maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer, retard mental, lymphome, malformations congénitales, fibromalgie et diabètes.
L’aspartame est composé de trois produits chimiques :
l’acide aspartique,
la phénylalanine
le méthanol
DKP
Le livre "Prescription for Nutritional Healing" de James et Phyllis Balch, range l’aspartame dans la catégorie des "poisons chimiques". Comme vous allez le voir, c’est exactement ce qu’il est.
L’ACIDE ASPARTIQUE (40% DE L’ASPARTAME)
Le Dr. Russell L. Blaylock, professeur en neurochirurgie à la Medical University of Mississippi, a récemment publié un ouvrage détaillant in extenso les dommages causés par l’ingestion excessive d’acide aspartique issu de l’aspartame. [Quatre vingt dix neuf pour cent du glutamate de mono sodium 9MSG est de l’acide glutamique. Les dommages qu’il cause sont également documentés dans le livre de Blaylock.] Blaylock fait mention de près de 500 références scientifiques afin de démontrer comment un excès d’acides aminés libres excitateurs tels que l’acide aspartique et l’acide glutamique dans notre alimentation sont cause de sérieux désordres neurologiques chroniques et d’une myriade d’autres symptômes aigus. (3)
RÉSUMÉ DE LA FAÇON DONT L’ASPARTAME (ET LE GLUTAMATE) CAUSE DES DOMMAGES
L’aspartame et le glutamate agissent comme neurotransmetteurs dans le cerveau en facilitant la transmission de l’information entre les neurones. Trop d’aspartame ou de glutamate dans le cerveau détruit certains neurones en autorisant l’invasion excessive de calcium dans les cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de radicaux libres qui tuent les cellules. La perte en cellules nerveuses qui peut être causée par le glutamate et l’aspartame en excès est la raison pour laquelle on les appelle "excitotoxines". Ils "excitent" ou stimulent la mort des cellules nerveuses.
L’acide aspartique est un acide aminé. Pris sous sa forme libre (non relié aux protéines), il élève d’une façon significative le niveau de plasma sanguin en aspartame et glutamate. L’excès d’aspartame et de glutamate dans le plasma sanguin, peu après l’ingestion d’aspartame ou de produits contenant de l’acide glutamique libre (précurseurs du glutamate), provoque une élévation du niveau de ces neurotransmetteurs dans certaines zones du cerveau.
La barrière sanguine du cerveau (Blood Brain Barrier [BBB]) qui normalement protège le cerveau d’un excès de glutamate ou d’aspartame, aussi bien que de toxines, 1) n’est pas complètement développée pendant l’enfance, 2) ne protège pas complètement toutes les régions du cerveau, 3) est endommagée par un nombre de conditions chroniques et aiguës et 4) permet l’infiltration d’un excès de glutamate et d’aspartame dans le cerveau, même lorsqu’elle est intacte.
L’excès de glutamate et d’aspartame commence lentement à détruire les neurones. La grande majorité (75%+) des cellules nerveuses d’une zone particulière du cerveau sont tuées avant même que les symptômes cliniques d’une maladie chronique ne soient décelés. Quelques unes des nombreuses maladies chroniques dont il a été démontré qu’elles sont causées par une exposition à long terme au dommage des excitotoxines comprennent : la sclérose en plaques, ALS, perte de mémoire, problème hormonaux, perte d’audition, crises d’épilepsie, maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson, hypoglycémie, démence du Sida, lésions du cerveau et désordres neuroendocrinaux.
Les risques encourus par les nourrissons, enfants, femmes enceintes, personnes âgées et les personnes avec des problèmes de santé chroniques causés par les excitotoxines sont grands. Même la Federation of American Societies For Experimental Biology (FASEB), qui minimise habituellement les problèmes et se conforme à la ligne de conduite de la FDA, a déclaré récemment "qu’il était prudent d’éviter l’utilisation de suppléments diététiques d’acide L-glutamique chez les femmes enceintes, les nourrissons et les enfants. L’existence d’une évidence d’effets secondaires potentiels endocrinaux, tels qu’une prolactine et une cortisolie élevée et des réponses différentielles entre hommes et femmes, suggéreraient également un lien neuroendocrinal et qu’un supplément d’acide L-glutamique devrait être évité par les femmes en âge de procréer et les individus atteints de désordres affectifs."
(4) L’acide aspartique de l’aspartame possède les mêmes effets délétères sur le corps que l’acide glutamique.
Le mécanisme exact des réactions aiguës à l’excès du glutamate et de l’aspartame libre est actuellement débattu. Ainsi qu’il en est fait état par la FDA, ces réactions incluent :
(5) Maux de tête/migraines, nausées, douleurs abdominales, fatigue (bloque l’entrée suffisante de glucose dans le cerveau), problèmes du sommeil, problème de vision, attaque d’anxiété, dépression et asthme/oppression respiratoire.
Une des plaintes commune chez les personnes souffrant des effets de l’aspartame est la perte de mémoire. Ironiquement, en 1987, G.D.Searle, le fabricant de l’aspartame, entreprit une recherche sur un médicament pouvant combattre les pertes de mémoire causées par les dommages dus aux acides aminés excitotoxiques. Blaylock est l’un des nombreux scientifiques et médecins intéressés par les dommages causés par les excitotoxines dus à l’ingestion d’aspartame et de MSG. Quelques-uns des nombreux experts qui se sont manifestés contre les dommages causés par l’aspartame et le glutamate incluent Adrienne Samuels, Ph.D., psychologue expérimental, spécialisée en recherche conceptuelle. De même, Olney, professeur dans le département de psychiatrie, School of Medecine, Washington University, neuroscientifique et chercheur et l’une des autorités les plus représentatives en matière d’excitotoxines. (Il informa Searle en 1971 que l’acide aspartique causait des trous dans le cerveau des souris). Également, Francis J. Waickman, Docteur en médecine, à qui a été attribué le Rinkel and Forman Awards et diplômé par le Conseil en pédiatrie, allergies et immunologie.
D’autres scientifiques concernés sont : John R. Hain, Docteur en médecine, Diplômé par le Conseil en pathologie de médecine légale et H.J. Roberts, M.D., FACP, FCCP, spécialiste du diabète et sélectionné par une publication médicale nationale comme "Le meilleur docteur aux États-Unis".
De même, John Samuels est concerné. Il compila une liste de recherches scientifiques suffisante pour montrer les dangers de l’ingestion excessive d’acide aspartique et glutamique libre. Et il y en a d’autres encore, nombreux, qui peuvent être ajoutés à cette longue liste.
PHÉNYLALANINE (50% DE L’ASPARTAME)
La phénylalanine est un acide aminé qui est normalement présent dans le cerveau. Les personnes souffrant du désordre génétique, phenylketonuria (PKU), ne peuvent pas métaboliser la phénylalanine. Ceci conduit à des hauts niveaux dangereux de phénylalanine dans le cerveau (parfois mortels). Il a été démontré que l’ingestion d’aspartame, particulièrement avec des hydrates de carbones, peut provoquer des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau, même chez des personnes ne souffrant pas de PKU. Ceci n’est pas une simple théorie, car de nombreuses personnes ayant mangé de grandes quantités d’aspartame au cours d’une longue période de temps et ne souffrant pas de PKU, ont été reconnues possédant des niveaux excessifs de phénylalanine dans le sang. Des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau peuvent amener une décroissance du niveau de sérotonine dans le cerveau, conduisant à des désordres émotionnels comme la dépression. Il a été démontré au cours de tests sur l’homme que les niveaux de phénylalanine dans le sang étaient accrus d’une façon significative chez les sujets humains ayant utilisé chroniquement l’aspartame. (6) Même une seule prise d’aspartame fait monter les niveaux de phénylalanine. Dans son témoignage devant le Congrès américain, le Dr. Louis J. Elsas démontra qu’une haute teneur en phénylalanine dans le sang peut se concentrer dans des parties du cerveau et est particulièrement dangereuse pour les nourrissons et les foetus. Il a également démontré que la phénylalanine est métabolisée bien plus efficacement par les rongeurs que par les humains. (7)
La prise en compte d’un cas de niveaux de phénylalanine extrêmement élevés provoqués par l’aspartame a été publiée récemment par le "Wednesday Journal" dans un article intitulé "An aspartame Nightmare" (un cauchemar à l’aspartame). John Cook commença par boire 6 à 8 boissons light par jour. Ces symptômes débutèrent par des pertes de mémoire et de fréquents maux de tête. Il continua par développer un besoin accru de boissons édulcorées à l’aspartame. Sa condition physique se détériora tellement qu’il connu des changements d’humeur importants et de violentes colères. Alors même qu’il ne souffrait pas de PKU, un examen sanguin révéla un niveau de phénylalanine de 80 mg/dl. Il dévoila également une fonction cérébrale anormale et une détérioration du cerveau. Après avoir interrompu sa consommation d’aspartame, ses symptômes se sont améliorés radicalement. (8)
Ainsi que Blaylock le souligne dans son ouvrage, les premières études mesurant l’accumulation de phénylalanine dans le cerveau étaient défectueuses. Les chercheurs qui la mesurèrent dans des régions spécifiques du cerveau et non la moyenne dans tout le cerveau notèrent des hausses significatives des niveaux de phénylalanine. Spécifiquement, les régions de l’hypothalamus, medulla oblongata et corpus striatum du cerveau avaient l’augmentation la plus importante en phénylalanine. Blaylock poursuit en soulignant que l’augmentation excessive de phénylalanine dans le cerveau peut causer de la schizophrénie ou rendre les personnes susceptibles de souffrir d’une attaque d’apoplexie.
Ainsi, une utilisation excessive, à long terme, de l’aspartame peut mener à une accélération des ventes des inhibiteurs à la sératonine tel que le Prozac et des médicaments pour contrôler la schizophrénie et les attaques.
MÉTHANOL (ALCOOL DE BOIS D’AKA/POISON) (10% DE L’ASPARTAME)
Le Méthanol/alcool de bois est un poison mortel. Certaines personnes peuvent se rappeler du méthanol comme étant le poison qui a été à l’origine de la perte de la vue, ou de la mort, de certains alcooliques "risque-tout". Le méthanol est graduellement libéré dans l’intestin grêle lorsque l’aspartame du groupe méthyle rencontre l’enzyme chymotrypsine.
L’absorption du méthanol par l’organisme est accélérée considérablement lorsque du méthanol libre est ingéré. Le méthanol libre est créé à partir de l’aspartame lorsqu’il est chauffé au-dessus de 30° centigrade. Ceci s’opère lorsque le produit contenant de l’aspartame est incorrectement stocké ou lorsqu’il est chauffé (par exemple, comme composant d’un produit "alimentaire" tel que le Jello). Le méthanol se décompose dans le corps en acide formique et en formaldéhyde. Le formaldéhyde est une neurotoxine mortelle. Une évaluation du méthanol établie par l’EPA déclare que le méthanol "est considéré comme poison cumulatif compte tenu de la faible proportion qui en est éliminée une fois qu’il est absorbé. Dans l’organisme, le méthanol s’oxyde en formaldéhyde et en acide formique ; chacun de ces deux métabolites sont toxiques." Il est recommandé une limite de consommation de 7.8 mg/jour. Un litre de boisson édulcorée à l’aspartame contient environ 56 mg de méthanol. Les gros utilisateurs de produits contenant de l’aspartame consomment jusqu’à 250 mg de méthanol quotidiennement ou 32 fois la limite fixée par l’EPA. (9)
Les symptômes d’un empoisonnement au méthanol sont des maux de tête, bourdonnement d’oreilles, dérangements gastro-intestinaux, faiblesse, vertige, frissons, trous de mémoire, engourdissement et douleurs fulgurantes des extrémités, troubles du comportement et névrite. Les problèmes les plus connus d’un empoisonnement au méthanol sont les problèmes de la vue comprenant vision embrumée, rétrécissement progressif du champ visuel, vision voilée, vision obscurcie, dommages rétiniens et perte de la vue. Le formaldéhyde est un cancérigène connu, il cause des dommages à la rétine, s’oppose à la reproduction de l’ADN et cause des malformations congénitales. (10)
Étant donné l’absence de certains enzymes clefs, les humains sont beaucoup plus sensibles aux effets toxiques du méthanol que les animaux. Par conséquent, des tests d’aspartame ou de méthanol sur des animaux ne reflètent pas précisément les dangers encourus par les humains. Ainsi que le souligne le Dr. Woodrow C. Monte, Directeur du Food Science and Nutrition Laboratory à l’Université de l’État de l’Arizona, « Il n’existe aucune étude sur les humains ou les mammifères pour évaluer les effets mutagène, tératogène ou cancérigène possibles conséquentes à l’administration chronique de l’alcool de méthyle. » (11)
Il se sentit tellement concerné en voyant les conclusions sur la sécurité demeurer sans solutions qu’il adressa une requête à la FDA réclamant une audition afin de discuter de ces résultats. Il demanda à la FDA de « ralentir la publication des conclusions concernant les boissons sucrées assez longtemps afin qu’il soit possible de répondre à quelques-unes des questions essentielles. Il n’est pas juste que vous laissiez tout le poids de l’authentification sur le petit nombre que nous représentons alors que nous possédons des ressources tellement limitées. Vous ne devez pas oublier que vous êtes l’ultime défense du public américain. Une fois que vous en aurez autorisé l’usage (de l’aspartame), il n’y aura littéralement plus rien que moi ou mes collègues ne pourrons faire pour inverser le processus. L’aspartame rejoindra alors la saccharine, les agents sulfites et Dieu sait encore combien d’autres composants contestables prescrits pour insulter la constitution humaine avec l’approbation du gouvernement. » (10) Peu de temps après, le commissaire à la FDA, Arthur Hull Hayes, Jr. approuva l’utilisation de l’aspartame dans les boissons gazeuses, puis il fut engagé par une société de relations publiques de la G.D. Searle. (11)
Il a été souligné que certains des jus de fruits et des boissons alcoolisées contiennent de petites quantités de méthanol. Il est important de se rappeler, cependant, que le méthanol n’apparaît jamais seul. Dans tous les cas, l’éthanol est présent, usuellement en plus grandes quantités. L’éthanol est un antidote à la toxicité du méthanol chez l’homme. (9) Les hommes des troupes de l’opération "Desert Storm" (guerre du Golfe) furent "régalées" avec de grandes quantités de boissons édulcorées à l’aspartame qui avaient été chauffées à plus de 30° centigrades par le soleil de l’Arabie Saoudite. Beaucoup d’entre eux en revinrent avec de nombreux désordres similaires à ceux trouvés chez des individus qui avaient été chimiquement empoisonnés par le formaldéhyde Le méthanol libre dans ces breuvages peut avoir été un facteur contribuant à ces maladies.
D’autres produits dérivés de l’aspartame tel que le DKP (voir ci-dessous) peut également avoir été un facteur.
En 1993, dans un acte qui peut être décrit comme "inconscient", le FDA approuva l’aspartame comme ingrédient dans un certain nombre d’articles d’alimentaires qui seraient toujours chauffés au-dessus de 30° centigrades.
DIKETOPIPERAZINE (DKP)
La DKP est un produit dérivé de la métabolisation de l’aspartame. La DKP a été impliquée dans l’apparition de tumeurs au cerveau. Olney a remarqué que la DKP, lorsqu’elle était nitro azotée dans l’intestin, produisait un composant qui était similaire au N-nitrosourea, un composant chimique puissant causant des tumeurs au cerveau. Certains auteurs ont dit que la DKP est produite après ingestion de l’aspartame. Je ne suis pas sûr que ce soit correct. Il est définitivement vrai que la DKP est formée dans des produits liquides contenant de l’aspartame au cours d’un stockage prolongé.
G.D. Searle a conduit une expérimentation sur des animaux pour vérifier la sûreté de la DKP. La FDA releva un certain nombre d’erreurs, y compris « des erreurs d’écriture, d’animaux mélangés, d’animaux à qui on n’administrait pas la drogue qu’ils étaient supposés prendre, de perte de spécimens pathologiques due à une mauvaise manipulation » et de nombreuses autres erreurs. (12) Ces procédures de laboratoires négligentes peuvent expliquer pourquoi les animaux servant aux tests et ceux servant de groupe contrôle avaient seize fois plus de tumeurs au cerveau que le nombre auquel on pourrait s’attendre au cours d’expérimentations de cette durée.
Par un tour du sort, très peu de temps après la découverte de ces erreurs d’expérimentation, la FDA utilisa des protocoles recommandés par G.D. Searle pour développer les standards industriels de la FDA pour les pratiques des laboratoires alimentaires. (11) La DKP a également été impliquée comme ayant causé des polypes utérins et des modifications du taux de cholestérol par le Dr. Jacqueline Verrett, toxicologue de la FDA, dans sa déposition devant le Sénat des États-Unis. (13) REFERENCES (1) Department of Health and Human Services, Rapport sur les effets contraires du système de surveillance des effets contraires, ( 25 et 28 février 1994).
(2) Compilé par des chercheurs, docteurs et experts des édulcorants artificiels pour Mission Possible, un groupe dédié à la mise en garde des consommateurs quant à l’usage de l’aspartame.
(3) Excitotoxines : The Taste That Kills, par Russell L. Blaylock, M.D.
(4) Safety of Amino Acids, Life Sciences Research Office, FASEB, FDA Contract n° 223-88-2124, Task Order N° 8.
(5) Département de la FDA chargé de la surveillance des réactions adverses.
(6) Wurtman et Walker, "Dietary Phenylalanine and Brain Function", réunions du premier meeting international sur la Phénylalanine diététique et la fonction du cerveau, Washington, D.C., 8 mai 1987.
(7) Audition devant le Committee On Labor and Human Resources du Sénat des Etats-Unis, première session sur l’examen des problèmes de santé et de sécurité du NutraSweet (aspartame).
(8) Compte-rendu de John Cook publié dans Informed Consent Magazine. "How Safe Is Your Artificial Sweetener" par Barbara Mullarkey, Septembre/octobre 1994.
(9) Woodrow C. Monte, PhD., R.D., "aspartame : Methanol and the Public Health", Journal of Applied Nutrition, 36 (1):42-53.
(10) Cour d’appel des USA du Circuit du District de Columbia, N° 84-1153 Community Nutrition Institute et le Dr. Woodrow Monte contre le Dr. Mark Novitch, Acting Commissioner de la FDA des USA (24/9/85)
(11) Main courante sur l’aspartame par Barbara Mullarkey, publiée dans Informed Consent Magazine, Mai/juin 1994.
(12) Brigade d’inspection de la FDA "Final Report of Investigation of G.D. Searle Company" (24 mars 1976)
(13) Déposition du Dr. Jacqueline Verrett, toxicologue de la FDA, devant la commission sénatoriale des USA sur le travail et les Ressources Humaines, (3 novembre 1987)
Extrait du Nexus MagazineVolume 2, 28 (Oct-Nov 95) et Volume 3, 1 (Déc. 95-Janv 96) © 1995 par Mark D. Gold, 35 Inman St, Cambridge, MA 02139, USA Tél. : (617) 497 7843, mgold@tiac.net
Page principale de Mark Gold sur l’aspartame (en anglais seulement) : [Lien]
Trop de sucre = attention Alzheimer
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