Traduction : SOTT

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Ces grotesques théories du complot ne sont qu'un écran de fumée qui sert à masquer l'incroyable vérité !
Nombre d'événements parmi les plus marquants de notre histoire moderne (et ancienne) ont donné lieu à telle ou telle « théorie du complot ». C'est-à-dire que des gens ordinaires étaient insatisfaits de la version officielle des événements parce que tous les aspects, ou certains aspects, de cette version n'avaient tout simplement aucun sens, objectivement parlant. Malgré ce que tentent de nous faire croire les médias officiels à propos des « théories du complot », la plupart de ces théories se fondent sur les incohérences objectives de la version officielle. Mais remarquez que je dis « se fondent ». Le problème, avec les théories du complot, c'est que, tandis qu'elles donnent un aperçu plus pertinent d'un événement majeur, elle sont obligées de s'appuyer sur la théorie (en raison de la rétention délibérée des données opérée par les sources officielles) plutôt que sur les preuves concrètes (ce qui, dans ce cas, n'en ferait plus des « théories ») et donc, sont sujettes à des abus de la part de gens qui ont tendance à utiliser leur imagination pour compléter le puzzle, plutôt que les facultés critiques de l'esprit humain.

Comparé aux versions officielles d'autres événements similaires jugées invraisemblables par nombre de gens, le massacre de Sandy Hook a donné lieu à une véritable avalanche de théories du complot, et nombre d'entre elles ne sont fondées sur aucune preuve concrète.

Une grande majorité de commentateurs des médias alternatifs qui ont tenté d'enquêter de façon indépendante sur le massacre de Sandy Hook ont fait preuve de médiocrité et d'une grave irresponsabilité dans leur travail de journaliste. Parmi les théories les plus excentriques et infondées, on trouve l'allégation que des « acteurs » ont pris la place des parents et proches des victimes de Sandy Hook, et qu'aucun enfant n'a en fait été assassiné, parce que, d'après cette théorie, si cela avait été le cas, « pourquoi n'avons-nous vu aucun corps ? » J'ai déjà exposé les raisonnements fallacieux de quelques-unes de ces théories dans un autre article, mais il y a une théorie qui persiste, peut-être parce que son invraisemblance est moins manifeste, et nombre de gens la promeuvent comme LA preuve qui fait « voler en éclats » la version officielle et la qualifie de « hoax ».

La théorie en question est qu'un homme du nom de Christopher Rodia est le VÉRITABLE propriétaire de la Honda Civic noire qui a été identifiée comme la voiture de la mère d'Adam Lanza et qui a été trouvée sur le parking de l'école primaire de Sandy Hook. Le fondement de cette croyance erronée, à laquelle s'accrochent encore pas mal de monde, est la transmission audio de la police le matin du 14 décembre et qui détaille l'intervention de la Police du Connecticut lors du massacre.

J'ai obtenu contre une modique somme l'intégralité des fichiers audios originaux auprès du site Radioreference.com. Je les ai écoutés, et les éléments qu'ils contiennent ne peuvent mener qu'à une seule conclusion plausible : à savoir qu'il est peu probable que Christopher Rodia ait quoi que ce soit à voir avec le massacre de Sandy Hook, même si son nom et sa date de naissance sont mentionnés dans les transmissions.

Ce qui a apparemment échappé à pas mal de gens en quête de preuves d'un complot à Sandy Hook, c'est le fait que, dans les fichiers audio, figurent clairement des communications de la police qui n'ont rien à voir avec l'événement de Sandy Hook.

Les flux audios contiennent plusieurs communications d'officiers de la police d'État du Connecticut qui ne sont absolument pas intervenus à Sandy Hook et qui étaient simplement en train de faire leur boulot « normal », comme par exemple arrêter des gens sans raison et épingler des conducteurs pour excès de vitesse.

Le flux audio de la police du Connecticut la matinée du 14 décembre 2012 que nous a fourni Radioreference.com débute à 9:34 et continue pendant une heure, jusqu'à 10:34 - c'est-à-dire qu'il débute environ au moment où Lanza serait entré dans l'école, et dure une heure.

Je reproduis ci-dessous (avec mes commentaires) tous les extraits pertinents des communications émises pendant cette période. Elles incluent les « fameuses » références à la plaque d'immatriculation de la voiture de Nancy Lanza et à Christopher Rodia.

Si vous voulez télécharger cet enregistrement (qui est divisé en deux fichiers d'une demi-heure chacun), cliquez ici (première partie) et ici (deuxième partie), faites un clic droit, et sélectionnez « enregistrer sous ».

Premier segment audio : 9.34 - 10.04
  • À 00:15, un officier de police mentionne une « porte d'appartement » et dit : « il ne me répond pas oralement ». (Cela n'a probablement aucun rapport avec SH)
  • À 1:55, un officier de police est apparemment en train de lire à haute voix une plaque d'immatriculation, et fait une référence à « Camry », sans doute une référence au modèle de voiture Toyota Camry.
  • À 4:28, une femme policier dit : « on est dehors, on attend le feu vert pour entrer ». (Possiblement la première référence à SH).
  • À 5:15, la même femme policier dit : « c'est bouclé maintenant ». (Très probablement une référence à SH)
  • À 6:15, une femme policier dit : « Dickenson Drive, 12 Dickenson Drive. » (apparemment l'adresse de la caserne de pompiers à l'entrée du parking de l'école de SH, qui était la zone d'évacuation désignée, ET AUSSI l'adresse de l'école elle-même)
  • À 6:20, un officier de police dit : « la voiture répond, le tireur est apparemment encore en train de faire feu dans la zone de l'officier, 12 Dickenson Drive. »
  • À 6:47, un officier de police dit : « personnel prend la sortie 10, est sorti sur 34 et continue sur Riverside Road, Dickenson Drive, n'oublie pas de mettre ton gilet. »
Au cours des quelques minutes qui suivent, on entend plusieurs communications qui semblent provenir de policiers arrivant à l'école. À 8:39, par exemple, un policier demande « encore l'itinéraire, SVP », un autre donne alors l'itinéraire de l'école aux officiers de police qui se dirigent sur les lieux mais qui ne connaissent manifestement PAS le coin. C'est-à-dire que ce sont des officiers de police du Connecticut non basés à Newtown.
  • À 9:18, un officier de police dit : « J'ai pas encore Newtown en ligne ».
  • Un autre officier répond : « Contacte Newtown pour qu'on se coordonne avec eux ; ils veulent peut-être juste qu'on quadrille la zone. »
  • À 10:45, d'autres instructions sont données sur la sortie à prendre et l'itinéraire pour se rendre à l'école. Il s'agit clairement de communications entre policiers qui ne connaissent pas le coin. C'est-à-dire qu'ils ne viennent pas de Newtown.
  • À 11:49, un officier de police épèle une plaque d'immatriculation : « X-ray Libra Golf, 941. »
  • Et puis à 12:15, on entend une policière ou une répartitrice dire : « On a un blessé dans la salle n°9, nombreuses blessures par balles. »
  • Entre 13 et 14 minutes, d'autres instructions sont données pour se rendre à SH.
  • À 15:00, un policier dit : « négatif au niveau de la description, OK, des coups de feu ont été tirés il y a environ 3 min, c'est calme maintenant. »
  • Ensuite, d'autres instructions pour se rendre à l'école.
  • À 17:30, un policier dit : « tu peux revenir ici et nous apporter un formulaire de péage, stp ? » (de toute évidence une communication qui n'a AUCUN rapport avec SH).
  • À 18:18, un policier dit : « tu as un numéro de dossier pour ça ? » (cf ci-dessus)
  • Une voix féminine répond : « numéro 18264. » (cf ci-dessus)
  • À 18:38, un policier dit : « pas de violation, juste le même genre de plainte qu'hier sur le fait qu'il a oublié... » (cf ci-dessus).
  • À 19:15, un policier dit : « Newtown mentionne un suspect à terre, le bâtiment est maintenant dégagé ». (De toute évidence, une référence à SH)
  • À 20:23, un policier dit : « Dickinson 91 dans le parking de Liberty Way, aucun blessé mais airbag lattéral peut-être déclenché. » (De toute évidence, AUCUN rapport avec SH, mais gardez « Liberty Way » en tête.
  • À 20:45, un autre policier dit : « arrêt véhicule motorisé. » (Il faut que je vous explique celle-là ?)
  • À 21:58, un autre policier dit : « même endroit, 544 Xray Charlie Lima Connecticut 40. »
  • À 22:47, un autre policier dit : « signal limite de vitesse »
  • À 25:13, nouvelles instructions données aux policiers qui arrivent sur les lieux de la fusillade de SH.
  • À 26:24, un policier dit : « 33 quartier général, arrêt véhicule motorisé. » Le même agent répète : « arrêt véhicule motorisé »
  • Immédiatement après, une voix féminine dit : « 12 Dickenson Drive, Dickenson Drive. »
  • À 27:00, la même voix qui a dit « 33 quartier général, arrêt véhicule motorisé » à 26:24 dit : « 722 VHA, radar. » (De toute évidence, AUCUN rapport avec SH.)
  • À 28:56, un agent de police dit : « rue, près d'un parc, remorque concernée V87 278, charge non sécurisée." (De toute évidence, AUCUN rapport avec SH)
  • Au cours des minutes qui suivent, plusieurs communications intermittentes d'officiers de police intervenant à SH.
Le segment prend fin à 30:32.

Second segment audio 10.04 - 10.34
  • À 1:20, une femme (peut-être une répartitrice) dit : « répondez SVP, Liberty Way » [...] (Voir la référence au « parking de Liberty Way » dans le premier segment, ci-dessus).
  • À 1:39, un policier dit : « Connecticut 872 Y Yankee, E Echo, O Oscar, 872 YEO véhicule possiblement suspect. » (Ceci est la plaque d'immatriculation de la voiture de Nancy Lanza, la mère d'Adam Lanza).
  • À 2:04, un policier à la voix grave, manifestement PAS celui qui a énoncé le numéro de la plaque d'immatriculation 872 YEO, dit : « passe à euh... l'opérateur, permis enregistré en Floride et dans le Connecticut. Nom de famille, Rodia R.O.D.I.A, Christopher A. Date de naissance, euh, 6 août 1969. »
  • Au cours des 8 minutes qui suivent, on entend plusieurs communications, qui semblent toutes liées à SH : évacuation de personnes, zones d'évacuation, et policiers d'État du Connecticut qui reçoivent des instructions pour se rendre à l'école.
  • Et puis à 10:15, un policier dit : « 665 YRG. » Sans doute un autre appel émis par un policier d'État qui ne se trouve PAS à SH mais qui s'occupe de la circulation et qui énonce le numéro d'une plaque d'immatriculation.
  • À 11:34 et au cours des quelques minutes qui suivent, on entend d'autres instructions pour se rendre à l'école de SH.
  • À 15:34, un policier dit : « nous avons un gros furet ? Connecticut 258 Yankee Yankee Hotel, 258 YYH, Laser. »
  • Au cours des 6 ou 7 minutes qui suivent, les transmissions ne concernent que SH ; les zones d'évacuation, les gens qui sortent du bâtiment, etc.
  • À 22:02, un agent de police dit : « 763 Zula Rima Julliet, 763 TLJ Lucifer »
  • À 22:36, apparemment le même agent dit : « plaques du New Jersey, deux passagers, eh... je ne sais pas trop où exactement sur Stoneway, j'ai été coupé... »
  • À 25:12, apparemment le même agent dit : « Un gros van ? près de Stoneway 55 quand tu seras prêt. Jersey, Charlie 6 6 Bravo SS, New Jersey, Charlie 66 Bravo Sierra Sierra, il y a plusieurs hommes dans le van... »
  • À 27:10, un agent dit : « Ford Econoline, eh enregistré à l'agence de location de voitures Courier, Wayne, New Jersey. »
  • Un autre agent répond : « les passagers ne sont pas de l'État ils font un documentaire sur la chasse aux chouettes (?) à Canaan (?) »
Le reste des transmissions concerne principalement l'intervention de la police à SH.

Les deux communications mises en gras ci-dessus ont poussé nombre d'enquêteurs indépendants à croire qu'ils tenaient la preuve d'un « hoax ». Ils affirment que, pris ensemble, ces commentaires constituent la « preuve claire » que Christopher Rodia était le propriétaire de la voiture de Nancy Lanza. Mais pris dans leur contexte, on voit que les deux communications font partie d'un flux de communications de la police d'État du Connecticut la matinée de la fusillade de SH, communications qui incluent les interventions dans le cadre de la fusillade ET d'autres choses comme des mises à l'arrêt de véhicules par des agents de police NON impliqués dans l'intervention à SH. On voit que ces deux types de communications sont naturellement entremêlées... La conclusion rationnelle est donc que Rodia n'était qu'un des multiples conducteurs interpelés à bord de leurs véhicules par un agent de police du Connecticut quelque part loin de SH, comme le prouve le flux audio.

En outre, il semble clair d'après le flux audio que certaines des communications de la police d'État venaient d'assez loin et n'avaient rien à voir avec SH : la référence au « parking de Liberty Way », par exemple, renvoie très probablement au parking de Liberty way à Greenwich, Connecticut, qui se trouve à 70 km de SH. Le mot « Greenwich » est également mentionné par un répartiteur dans le flux, même si je ne l'ai pas inclus ici. Si vous voulez entendre ce mot, vous devrez vérifier par vous-même en écoutant le flux entier. Si vous le faites, vous ferez partie de cette petite minorité d'individus qui ont pris la peine de véritablement écouter le fichier dans son intégralité.

En guise d'indice supplémentaire que Rodia n'est pas le propriétaire de la Honda Civic, voici une copie de sa déclaration d'impôts fonciers, qui montre qu'il ne possède pas d'Honda Civic. Si c'était le cas, cela figurerait sur cette déclaration :

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Par conséquent, si quelqu'un peut m'expliquer comment un flic présent à SH a pu recevoir des détails personnels concernant Rodia à partir de la plaque d'immatriculation 872 YEO alors que Rodia ne possède pas de voiture portant cette plaque, je suis tout ouïe.

Et pour faire bonne mesure, voici la déclaration d'impôts fonciers de la femme de Rodia (ou peut-être est-ce celle de sa sœur, je ne me souviens plus). Elle ne possède pas non plus de Honda Civic :

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Les nombreux cyber-journalistes et « chercheurs » qui ont relayé cette histoire de « hoax de SH » et se sont fondés sur des indices fallacieux, à savoir que les parents étaient des « acteurs » ou que Christopher Rodia était le propriétaire de la Honda Civic, ont négligé d'utiliser leurs facultés d'analyse critique pour se lancer dans des recherches sérieuses, ou bien se sont contentés de répéter ces allégations afin d'attirer l'attention. Bien sûr, nous ne pouvons écarter la possibilité que quelqu'un, quelque part, encourage délibérément la dissémination de ces informations afin de faire passer quiconque émet des doutes sur la version officielle du massacre de SH pour un malade mental.

Le fait est que la version officielle des événements de SH regorge de questions non résolues - des questions sérieuses. En l'absence de toute clarification de ces questions qui sautent aux yeux, et en prenant en considération les problèmes posés par les versions officielles d'autres massacres similaires qui ont eu lieu dans le passé, sans parler de la quasi-certitude qu'une cabale élitique sévit aux USA depuis plusieurs décennies et a été impliquée dans plusieurs assassinats, il est tout à fait raisonnable de conclure, compte tenu de ces preuves collectives, qu'Adam Lanza n'était pas, lui non plus, un « tireur solitaire ».

Je comprends que les gens qui sont déjà bien au fait des preuves flagrantes de la duplicité de l'élite dirigeante ont peut-être tendance à accepter immédiatement tout indice pointant vers une nouvelle trahison de la part des élites. Mais dans notre monde moderne marqué par l'omniprésence de l'État de sécurité nationale et les techniques éprouvées de « contre-insurrection » qui sont appliquées aussi bien « à la maison » qu'à l'étranger, la prudence et le doute sont de mise, non seulement vis à vis des élites mais aussi de ceux qui, au premier abord, ont l'air d'être nos alliés.

Ma propre enquête sur ce massacre, enquête qui m'a permis de découvrir un grand nombre de « preuves » bidon quant au prétendu « hoax » de Sandy Hook, m'a fait nettement comprendre que ceux qui ont mis en œuvre cette opération particulière sont extrêmement puissants. Bien plus puissants que ce que la plupart des gens pourraient s'imaginer. Je ne doute pas (en raison de ce que je fais remarquer plus haut) que plus d'une personne était impliquée, mais je suis aussi obligé d'admettre que les auteurs du massacre de SH n'ont littéralement laissé AUCUNE preuve concrète de leur crime monstrueux. Considérez le niveau de contrôle requis pour laisser si peu de preuves lorsqu'on commet un crime aussi horrible que celui de SH. En outre, l'implication de tout cela est que les médias officiels étaient d'une certaine façon complices, ou du moins contrôlés et dupés. Le résultat, c'est qu'on a l'impression qu'il existe une « puissance, quelque part, tellement bien organisée, tellement subtile, tellement vigilante, tellement imbriquée, totale et omniprésente que les [hommes] feraient mieux de parler à mi-voix lorsqu'ils en disent du mal. 1

S'il y a quoi que ce soit à retirer du massacre de Sandy Hook, c'est la compréhension - fruit d'une analyse et d'un raisonnement minutieux - de la véritable nature des forces qui s'opposent à nous dès lors que nous nous engageons à lutter pour que la Vérité se fasse entendre dans un monde dominé par les mensonges, un monde où le meurtre gratuit d'enfants innocents fait désormais partie du « quotidien ».

Notes :

1: Extrait d'un discours de Woodrow Wilson :
« Depuis que je fais de la politique, la plupart du temps, les hommes me confient leurs opinions en privé. Certains hommes parmi les plus importants des États-Unis, dans le domaine du commerce et de l'industrie, ont peur de quelqu'un, ont peur de quelque chose. Ils savent qu'il existe une puissance quelque part tellement bien organisée, tellement subtile, tellement vigilante, tellement imbriquée, totale et omniprésente que les [hommes] feraient mieux de parler à mi-voix lorsqu'ils en disent du mal. Ils savent que l'Amérique n'est pas un endroit dont on peut dire, comme c'était le cas dans le passé, qu'un homme a la liberté de choisir sa propre vocation et de la poursuivre au maximum de ses capacités ; car aujourd'hui, s'il se lance dans certains domaines, il existe des organisations qui useront de moyens contre lui pour l'empêcher de monter une entreprise dont elles ne veulent pas ; des organisations qui veilleront à ce que l'herbe lui soit coupée sous le pied et à ce que les marchés lui soient fermés. Car s'il commence à vendre à certains détaillants, à n'importe lequel d'entre eux, le monopole refusera de vendre à ces détaillants, et ceux-ci prendront peur et n'achèteront pas les marchandises du nouvel entrepreneur. »
Tandis qu'il est clair que la « puissance » mentionnée par Wilson renvoyait à la puissance des entreprises qui, dans ce contexte, exercent un contrôle sur le « commerce et l'industrie », et à un « monopole » qui empêche les gens de choisir leur propre vocation entrepreneuriale, il est clair qu'il renvoyait également à une puissance qui outrepasse celui des « hommes les plus importants des États-Unis, dans le domaine du commerce et de l'industrie ». Une sacrée puissance, en somme.