Des prélèvements ont été effectués dans un étang de Dax, où ont été retrouvées 5 tonnes de poissons morts. Les résultats des analyses devraient être connus ce jeudi.

Des milliers de poissons ont été retrouvés morts depuis lundi dans un étang de Dax, dans les Landes. L'origine de cette mortalité soudaine, rapportée par Sud Ouest , reste pour l'heure inconnue. Des prélèvements ont été effectués et les résultats des analyses devraient être connus ce jeudi. Selon la préfecture et la société de pêche de Dax, au moins cinq tonnes de poissons ont déjà été sortis des eaux noirs de l'étang de l'Estey, situé entre l'Adour et le quartier de l'hôpital, au nord de la cité thermale.

Depuis quatre jours, une quinzaine de bénévoles de la société de pêche de Dax et une dizaine d'agents municipaux s'affairent, épuisettes en main, dans cet étang artificiel d'environ 4 hectares. Une forte odeur «de sédiments et de vase» est perceptible. «Le phénomène ne fait que s'amplifier», déplore Jean-Claude Suzan, président de la société de pêche, dans Sud Ouest.

Des prélèvements ont été effectués dans un étang de Dax, où ont été retrouvées 5 tonnes de poissons morts. Les résultats des analyses devraient être connus ce jeudi.

Des milliers de poissons ont été retrouvés morts depuis lundi dans un étang de Dax, dans les Landes. L'origine de cette mortalité soudaine, rapportée par Sud Ouest , reste pour l'heure inconnue. Des prélèvements ont été effectués et les résultats des analyses devraient être connus ce jeudi. Selon la préfecture et la société de pêche de Dax, au moins cinq tonnes de poissons ont déjà été sortis des eaux noirs de l'étang de l'Estey, situé entre l'Adour et le quartier de l'hôpital, au nord de la cité thermale.

Depuis quatre jours, une quinzaine de bénévoles de la société de pêche de Dax et une dizaine d'agents municipaux s'affairent, épuisettes en main, dans cet étang artificiel d'environ 4 hectares. Une forte odeur «de sédiments et de vase» est perceptible. «Le phénomène ne fait que s'amplifier», déplore Jean-Claude Suzan, président de la société de pêche, dans Sud Ouest.

Plusieurs hypothèses

Anguilles, mulets, carpes, gardons et autres silures sont poussés dans des trous à l'aide de tractopelles et recouverts de chaux vive. «400 kilos de carpes et 200 à 300 anguilles, plus quelques brochets ont tout de même pu être sauvés», raconte Jean-Claude Suzan. Elles ont été remises à l'eau dans le fleuve voisin.