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Un rassemblement s'est tenu jeudi 17 octobre au Palais de Justice de Paris, en soutien à l'humoriste Dieudonné, qui a fait appel de sa condamnation à payer 20 000€ d'amende pour sa chanson « Shoananas ». Le verdict final ne sera rendu que fin novembre, Dieudonné risquera alors 20 jours de prison ferme, peine qui a été requise contre lui, s'il ne s'acquitte pas d'une amende de 12 000€...

Un fait notable s'est déroulé ce jour, et il convient de constater que celui-ci a été censuré par l'AFP. L'agence de presse de référence des médias français a rédigé un communiqué faisant état de « l'irruption d'individus « encagoulés ». Or, les militants qui sont venus semer le trouble dans le Palais de Justice étant des membres de la Ligue de Défense Juive, et possédait un signe distinctif qu'il était impossible de rater, leur fameux symbole du poing serré sur fond jaune...

ITélé avait un caméraman présent, qui a filmé une partie de la scène. A la fin de la séquence, nous lui avons demandé s'il pensait que ces images seraient diffusées... « Ce n'est pas moi qui décide » a-t-il répondu, d'un air dépité.

Les militants furent repoussés par les gendarmes, encouragés par une Marseillaise chantée par des soutiens à Dieudonné, peu enclins à entrer dans le cycle de la violence. En réponse, les membres de la LDJ, comme pour montrer leur allégeance à Israël, se mirent à entonner l'hymne israélien en plein Palais de Justice de Paris.

De plus, la LDJ a revendiqué cette opération sur sa page Facebook...
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Pourquoi les médias se bornent-ils alors à qualifier les militants de la cause sioniste juive d'individus « encagoulés » ?


Varg Vikernes, qui passait à la 17e chambre ce jour là, a lui aussi glissé sa quenelle en solidarité avec Dieudonné :


A lire le compte-rendu de Diktacratie : Quenelles en cour d'appel !

Pour en savoir plus sur les inspirations et les méthodes de la LDJ :