Le nombre de cas de fièvre hémorragique Ebola ne cesse de croître en Guinée et dans les pays limitrophes, une recrudescence due à la grande mobilité de la population, en particulier pour assister aux funérailles de leurs proches. Or c'est à ces occasions que le risque de transmission de la fièvre hémorragique est le plus important. L'organisation non gouvernementale Médecins sans frontières (MSF) lance un cri d'alarme face à une situation difficile à contenir.
© MSFDe nombreuses personnes entrées en contact avec le virus Ebola vivent dans des zones difficilement accessibles.
« L'épidémie est hors de contrôle, s'inquiète le docteur Bart Janssens, directeur des opérations de MSF. Avec l'apparition de nouveaux foyers en Guinée, en Sierra Léone et au Libéria, le risque d'une propagation à d'autres zones est aujourd'hui réel. » L'organisation constatait déjà il y a 20 jours, la difficulté à circonscrire les nouveaux cas sur un territoire nettement délimité. « La multiplication des zones touchées rend difficile la prise en charge des patients et le contrôle de l'épidémie. » Les enterrements représentent une des situations les plus à risque de transmission de la fièvre hémorragique Ebola. Comme les mesures de contrôle de l'infection ne sont pas appliquées, de nouveaux cas se font jour... à des dizaines de kilomètres puisque les proches viennent de loin pour honorer leurs morts.
« Nous avons atteint nos limites
, poursuit le docteur Janssens. Malgré [nos] moyens humains et matériels déployés dans les trois pays touchés (Guinée, Libéria et Sierra Leone, NDLR), nous n'avons plus la capacité d'envoyer des équipes sur les nouveaux foyers actifs. » En effet, pour effectuer le suivi des personnes ayant été en contact avec des malades, « nous devons en principe leur rendre visite tous les deux jours au moins », nous indiquait Marie-Christine Ferir, coordinatrice du programme d'urgence de Médecins sans frontières (MSF), le 3 juin dernier.
Or « parfois, il faut faire une heure de voiture puis deux heures à pied pour rejoindre les villages où vivent les personnes contacts ». De plus, la population ne collabore pas toujours avec les professionnels de santé. « Les communautés continuent d'être effrayées par une maladie totalement inconnue dans la région, et elles restent méfiantes à l'égard des structures de santé », précise MSF dans un communiqué. De ce fait, « Ebola n'est plus un problème de santé publique exclusivement guinéen, il touche l'ensemble de la région ouest-africaine »
.« L'
OMS, les autorités des pays touchés et des pays limitrophes doivent déployer des efforts à la hauteur de l'ampleur de cette épidémie, demande instamment le docteur Janssens. Il faut notamment mettre à disposition du personnel médical qualifié, organiser des formations à la prise en charge d'Ebola et intensifier le suivi des contacts et la sensibilisation auprès des populations. » Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, 567 cas dont 350 décès ont été recensés depuis le début de l'épidémie, en mars 2014.
Commentaire : Voir aussi :
« Il y a réellement des données suffisantes présentées dans le livre de Baillie pour soutenir la théorie que la Peste Noire était due à un impact par des débris de comète - similaires aux impacts sur Jupiter par les fragments de la comète Shoemaker-Levy en 1994. Quant à savoir comment ces morts sont survenues exactement, il y a nombre de possibilités : tremblements de terre, inondations (tsunamis), pluies de feu, produits chimiques libérés par les explosions à haute énergie dans l'atmosphère, y compris cyanure d'ammonium et d'hydrogène, et peut-être même des agents pathogènes nés de la comète. Si cela est arrivé aussi souvent que Baillie le suggère, cela peut arriver à nouveau. Et si, comme nous le suspectons, la Terre est inscrite pour un bombardement dans un avenir pas trop éloigné, il semble qu'il y a plus de façons de mourir dans un tel événement que d'être seulement frappé par un fragment de comète. »
« Il existe aussi une preuve scientifique plausible que quelques-unes parmi les nombreuses catastrophes et épidémies (y compris les relativement récentes) infligées à notre planète et à ses habitants furent le résultat du passage de comètes porteuses de maladies, qui se sont approchées et/ou ont impacté la Terre. »
« Dans un rapport commissionné par l'US Air Force, l'astronome britannique Victor Clube, auteur de The Cosmic Serpent et d'Hiver Cosmique, a succinctement résumé la doctrine fondamentale de la géopolitique :
« Nous n'avons pas besoin de la menace céleste pour dissimuler les intentions de la Guerre Froide, nous avons plutôt besoin de la Guerre Froide pour dissimuler les intentions célestes ! »
Non, Clube ne faisait pas référence à des extraterrestres ou à des vaisseaux spatiaux ; la « menace céleste » à laquelle il fait référence apparaît dans les cieux de la Terre lors des époques de tumultes et de bouleversement social qui sont liées à un sérieux déséquilibre dans l'évolution humaine. Elle induit aussi toutes sortes d'effets environnementaux bizarres, dont les moindres sont ces étranges sons du ciel et autres phénomènes électromagnétiques qui gagnent aussi en fréquence et en intensité. Inonder internet de désinformation à propos des chemtrails en a convaincu certains que les gouvernements peuvent maîtriser les forces les plus puissantes de la Nature. Pour les autres, il y a toujours le croquemitaine « terroriste » et le réchauffement planétaire dû à l'homme pour leur rappeler pourquoi ils ont besoin de Big Brother. »
Le virus Ebola est originaire du centre de l'Afrique, et le virus de souche « Ebola-Zaïre » qui affecte actuellement l'Afrique de l'Ouest a muté mais appartient à la même espèce que l'original découverte au Zaïre en 1976.
La question que l'on pourrait se poser est la suivante :
Si le lien existe entre la maladie/les symptômes et les déséquilibres de la psyché (voir
Gabor Maté,
Peter A. Levine), et s'il existe un lien entre les changements terrestres et la connexion anthropocosmique,
que nous disent les épidémies/pandémies sur l'état psychique du monde et de l'humanité ?Pour poursuivre sur le sujet, voir le troisième tome de la série
The secret History of the World :
Earth Changes and the Human-Cosmic Connection par Pierre Lescaudron et Laura Knight-Jadczyk, en attendant la version française.
Le livre est aussi disponible en format Kindle
ici.
Commentaire : Voir aussi :
La question que l'on pourrait se poser est la suivante :
Si le lien existe entre la maladie/les symptômes et les déséquilibres de la psyché (voir Gabor Maté, Peter A. Levine), et s'il existe un lien entre les changements terrestres et la connexion anthropocosmique, que nous disent les épidémies/pandémies sur l'état psychique du monde et de l'humanité ?
Pour poursuivre sur le sujet, voir le troisième tome de la série The secret History of the World : Earth Changes and the Human-Cosmic Connection par Pierre Lescaudron et Laura Knight-Jadczyk, en attendant la version française.
Le livre est aussi disponible en format Kindle ici.