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© InconnuCe pays, relativement riche par rapport à ses voisins d’Asie du Sud, compte sur ces pluies saisonnières pour irriguer les terres et alimenter des barrages électrique
Après les coulées de boue au Brésil, les inondations phénoménales en Australie, en Chine et en Afghanistan (plus de 1.500 morts), c'est au tour du Sri Lanka, une île tropicale de 20 millions d'habitants, située au sud-est de l'Inde, d'être balayé par deux saisons de mousson, et de déplorer des victimes et d'importants dégâts, ayant causé au moins 14 morts depuis le mois de février.

En janvier, une première vague de fortes précipitations avait causé la mort d'environ 43 personnes et forcé 325.000 autres à fuir les zones inondées. Les eaux ont envahi les champs, les routes et les habitations de plus d'un million de personnes, dans l'est, le centre et le nord du pays, selon le Centre de gestion des catastrophes. Les autorités ont indiqué que la plupart des gens qui ont fui leur logement se sont réfugiés chez des proches qui vivent dans les hauteurs du pays.

A noter :

Le ministre de l'Agriculture, Mahinda Yapa Abeywardene, a dit craindre la perte de plus de 90 % de la récolte de riz du pays.