OF THE
TIMES
La plupart des hommes et des femmes grandiront pour aimer leur servitude et ne rêveront jamais de la révolution.
Sans aller jusque-là, harmonie, et en restant les pieds bien sur terre, la partialité, c'est tout simplement ce qui fait l'empathie, et là où il...
En enfer les âmes sont en feu, en ébullition, donc impossible d'être impartial. C'est comme les termes résilience, féministe, lgbt etcccc, la...
Cette discussion sur l'opposition contrôlée m'a vraiment ouvert les yeux. Il est troublant de penser à la façon dont la manipulation et la...
Moi je trouve qu'on a tout à fait le droit d'établir des distinctions au niveau des morts, quelque soit le conflit. Parler d'assassins dans le...
D'après ce que j'avais compris, ces mutilations apparues en 1967 coïncideraient avec les accords de 1954-55 entre Eisenhower et certains races ET...
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Le 14 juillet 1903, à Fort Crampel, en Oubangui-Chari, un administrateur des colonies, George Toqué, et un commis des affaires indigènes, Fernand Gaud, décident de faire exécuter Pakpa, ancien guide, en lui attachant une dynamite autour du cou.
Au procès, les accusés rappellent qu’ils ont déclaré avant cette action épouvantable :
« Ça a l’air idiot ; mais ça médusera les indigènes. Si après ça ils ne se tiennent pas tranquilles ! ».
Gaud dira à son procès qu’il voulait faire constater autour de lui l’étrangeté de cette mort :
« Ni trace de coup de fusil, ni trace de coup de sagaie : c’est par une sorte de miracle qu’est mort celui qui n’avait pas voulu faire amitié avec les Blancs. » (propos rapportés par Félicien Challaye, qui accompagna Brazza dans sa mission d’inspection).
Ils sont condamnés à des peines légères (à cinq ans de réclusion), mais le scandale est tel qu’il conduit au lancement d’une enquête administrative, enquête dont sera chargé Brazza, et qui sera à l’origine de son dernier voyage au Congo.
On savait s'amuser à l'époque... (sic)