Comment: N'oublions pas que la politique vaccinale actuelle nous dénie le droit de prendre les décisions que nous pensons être justes à propos de notre corps et de notre santé. Si notre conscience et nos connaissances nous dictent quelque chose qui va à l'encontre des règles établies par d'autres, que ces règles ont pris la forme de lois contraignantes et que ces lois sont suivies par le plus grand nombre, par un raisonnement frauduleux issu de fausses informations et de conceptions mensongères de la réalité, nous voilà obligés de faire ce que nous ne voulons pas faire : injecter dans notre organisme des substances qui peuvent compromettre son fragile équilibre. Notre corps, de fait, ne nous appartient plus : il appartient à l'État et à son administration qui ont aussi tout pouvoir de le sanctionner, de le priver de sa liberté.

On voudrait nous faire croire que les vaccinations, c'est un peu comme le code de la route : des règles à respecter, pour notre propre sécurité et celle des autres. Bien sûr, il n'en n'est rien. C'est même tout l'inverse, et c'est en suivant les dogmes imposés par une minorité que notre liberté, notre conscience et parfois notre vie nous sont arrachées :
« À moins que nous n'incluions la liberté thérapeutique dans notre Constitution, le temps viendra où la médecine s'organisera d'elle-même en une dictature clandestine. Restreindre l'art de guérir aux seuls médecins, et dénier des privilèges équivalents aux autres, constituera la Bastille de la science médicale. Toutes lois d'une telle nature sont antiaméricaines et despotiques. »

- Attribué au Dr Benjamin Rush,

Signataire de la Déclaration d'Indépendance

vaccination
© Inconnu
Chaque enfant doit être vacciné pour le plus grand bien de la société, disent les partisans de la vaccination et les parents qui ne vaccinent pas leurs enfants leur font courir des risques. L'état devrait exiger que les risques vaccinaux soient partagés équitablement par tous parce que les bénéfices pour la majorité l'emportent sur la minorité des enfants qui en subissent les effets secondaires. En bref, quand il s'agit de vaccinations obligatoires la fin justifie les moyens.

Ceux qui s'interrogent sur la pertinence des vaccinations de masse, tant sur le plan individuel que collectif répliquent que les risques n'ont jamais été évalués scientifiquement, alors que certains enfants sont susceptibles d'encourir de hauts risques de dommages, y compris de décès. En effet les vaccinations de masse sont équivalentes à des expérimentations médicales réalisées sur des enfants qui pourraient être génétiquement prédisposés à telle ou tel problème de santé. En outre, il semble évident que ceux qui choisissent de vacciner ne devraient rien avoir à craindre de ceux qui font le choix de ne pas vacciner - si, comme on l'affirme les vaccins sont effectivement protecteurs.


Comme les officiels de la Santé ont choisi de traduire la science et la médecine en textes légaux, le débat public fait ressurgir des questions ayant trait à l'éthique et qui avaient été abordées après les jours sombres de la seconde guerre mondiale. Bien que les expérimentations médicales saugrenues systématiquement réalisées dans les camps de concentration au cours de l'Holocauste relèvent d'une toute autre histoire, il n'en reste pas moins que les principes universels d'éthique débattus au cours du procès de Nuremberg n'en restent pas moins pertinents.
Est-ce que l'état possède l'autorité morale d'exiger que des citoyens donnent leur vie contre leur volonté pour des pratiques que ce même état a jugé correspondre au plus grand bien ?
Oliver Holmes, juriste à la Cour Suprême des États-Unis a, en 1927, appliqué une éthique utilitariste pour justifier la stérilisation d'une femme retardée mentale, en disant que « le principe qui s'applique à la vaccination obligatoire est suffisamment large pour pouvoir inclure la résection des trompes de Fallope.»

Une dizaine d'années plus tard, Hitler devait mettre en œuvre les principes d'une éthique utilitariste dans ses formes les plus extrêmes et les plus tragiques. Dans une série d'articles remarquables publiés dans le numéro de Novembre 1996 du Journal de l'Association Médicale Américaine, des spécialistes de l'éthique et des juristes ont décrit la manière dont des médecins au service de l'état allemand se sont servis, avant et pendant la deuxième guerre mondiale, de raisonnements utilitaristes pour justifier le sacrifice d'un petit nombre d'individus au profit du bonheur et du bénéfice théorique du plus grand nombre. Des expérimentations scientifiques sur des individus, y compris l'injection de vaccins expérimentaux, furent justifiées sous le prétexte qu'elles permettaient l'avancement de la science médicale pour le plus grand bénéfice de l'humanité.

Le Tribunal de Nuremberg qui, au cours des séances de 1946-47, a jugé les médecins nazis pour crimes contre l'humanité, a discrédité l'utilitarisme pseudo-éthique, comme étant essentiellement immoral. C'est du Procès des médecins de Nuremberg qu'est né le Code de Nuremberg. C'est au sujet de ce Code de Nuremberg que le Professeur de l'Université de Yale, médecin et expert en matière d'éthique, le Dr Jay Katz a écrit :
« Le progrès de la science doit explicitement, sinon implicitement s'incliner devant le principe qui protège l'inviolabilité de l'individu. Les droits de l'individu à une totale auto détermination et autonomie doivent passer avant tout. Les progrès de la science peuvent peut-être en souffrir, peut-être même, dans certains cas devenir impossibles, mais c'est le prix à payer. »
Dans un autre article le Dr Katz déclarait que les juges du tribunal de Nuremberg, bouleversés par ce dont ils avaient eu connaissance, envisageaient un monde dans lequel les hommes et les femmes libres pourraient, après avoir reçu une information sûre, prendre leurs propres décisions, bonnes ou mauvaises, et non subir celles que l'état, la science ou de la médecine leur imposeraient, sans être parfaitement informés.


Comment: Une population parfaitement informée à propos des vaccins, un peu comme une population parfaitement informé quand à la véritable nature de ses dirigeants... autant parler d'un monde sans vaccins et sans politiciens. Presque inconcevable.


Le tout Premier Principe du Code de Nuremberg est ainsi exprimé : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. »

Le Code de Nuremberg qui traite plus spécifiquement de l'utilisation d'êtres humains en recherche médicale a été adopté sur un plan international et a été suivi en 1964 par la Déclaration d'Helsinki. Il est considéré comme la « Règle d'Or » de l'éthique médicale et comme la base même du droit à un consentement libre et éclairé par rapport à tout ce qui concerne les pratiques médicales comportant des risques de dommages.

Aujourd'hui, les patients jouissent des protections qui sous-tendent le consentement libre et éclairé quand ils subissent des interventions chirurgicales, des tests ou quand ils prennent des médicaments comportant des risques de dommages ou de décès. Mais les vaccinations ont été exclues des normes régissant le consentement éclairé.
Si l'état est incapable de déterminer quels individus sont à risque, soit génétiquement, soit autrement, et qu'il y a des risques de voir la santé endommagée ou même qu'il y a des risques de décéder à la suite de vaccinations, n'est-on pas en droit de déduire que ces dernières deviennent de facto des expérimentations médicales, ainsi qu'une application immorale de l'utilitarisme ?
Le philosophe Hans Jonas nous rappelle qu'un état peut avoir le droit de demander à un individu de se présenter comme volontaire pour mourir dans le but de ce qui a été défini par lui comme étant le bien commun, mais rarement, voir jamais l'état n'a le pouvoir de l'ordonner. Il a conclu :
« N'oublions jamais que le progrès est un objectif optionnel et non un engagement inconditionnel. Son avancement en particulier, tout obligatoire qu'il soit, ne comporte rien de sacré... »
La société serait en fait bien menacée par l'érosion de ces valeurs morales. La perte de ces valeurs qui pourrait être causée par une poursuite trop impitoyable du progrès scientifique, risquerait de rendre futiles ses triomphes les plus éclatants.