Nos amis de SkyNews rapportent que Poutine a « humilié » le Japon en refusant le cadeau d'un chiot avant un sommet prévu avec le Premier ministre Shinzo Abe.
putin dogs
© InconnuFaire des prises de judo par le cou à des chiens adorables. Typique d'un monstre tel que Poutine.
Les connaisseurs de la culture et de la tradition japonaises savent qu'accepter avec bienveillance le don de chiots est un signe important de respect au Japon, et refuser un tel cadeau apporte la honte éternelle à toute votre famille et à vos ancêtres.

En 2012, Poutine avait eu assez de sages pour accepter une chienne, Yume, de la part du Japon. Qu'est-ce qui a changé au cours des quatre dernières années ? Est-ce que les grandes ambitions de Poutine dans la course à la domination mondiale lui font tourner la tête ? C'est la seule explication logique, parce que toute personne normale aurait accepté avec bienveillance un chiot en cadeau. Surtout quelqu'un comme Poutine, qui a énormément de temps libre pour éduquer de petits chiens à faire leurs besoins à l'extérieur et pas derrière le canapé, etc., etc.

Les experts disent maintenant que la seule façon d'éviter un conflit international majeur entre la Russie et le Japon est pour Poutine de se faire hara-kiri. Vous comprenez ? C'est pourquoi la Russie est si isolée :
Le gouvernement japonais avait prévu de présenter M. Poutine, bien connu pour être un amoureux de la race canine, à Akita, un mâle qu'il aurait « marié » à Yume, une femelle de la même race que le Japon a donnée au dirigeant russe en 2012.

Mais un législateur japonais a déclaré que la Russie avait refusé l'offre.

« Malheureusement, nous avons accusé réception de la réponse de nos homologues, et notre espoir de présenter un fiancé à Yume a été brisé », a déclaré Koichi Hagiuda, membre de la Chambre des représentants, dans un billet sur son blog vendredi.

Il n'a pas donné de raison pour le rejet.
La raison est évidente: la Russie n'a aucun respect pour le protocole diplomatique. Tout ce qu'elle veut, c'est la guerre, la guerre et encore la guerre.