Réalisée le lendemain de l'investiture de Donald Trump, une nouvelle expérience sociale du site TheRebel.media démontre à quel point les manifestants peuvent être ignorants et influencés aveuglement par de forces travaillant en sous-main.

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© InconnuEst-ce qu'on manifesterait pour le mauvais gars ?
Le site TheRebel.media, ouvertement opposé aux médias mainstream, a réalisé à Washington une expérience sociale auprès des participantes — et participants — de la « Women's March », manifestant pour les droits des femmes et contre tout « tout ce que Trump représente » au lendemain de l'investiture du 45e président des États-Unis.

Or, plusieurs manifestantes avaient une idée assez vague des « abus » contre lesquels elles protestent avec tant d'acharnement, quitte à imputer à Donald Trump des harcèlements sexuels à l'égard de Juanita Broaddrick et de Paula Jones, toutes les deux victimes de Bill Clinton.

« Le seul fait que nous ayons un président comme ça est très inquiétant. Compte tenu de sa réputation, personne d'autre n'aurait pu tirer son épingle du jeu. Voilà ce qu'on peut faire avec de l'argent »: voilà comment l'une des participantes a essayé tant bien que mal d'expliquer la « faute » de Donald Trump.

Ces allégations ont été vite reprises par d'autres manifestantes:

« C'est un prédateur, c'est un violeur. Je n'arrive pas à croire qu'on puisse penser que c'est normal que quelqu'un comme lui gouverne notre pays. »

Le moins qu'on puisse dire, c'est que certaines protestataires ne mâchaient pas leurs mots:

« C'est un crime et il doit être destitué! »

Et ont même proposé des solutions radicales pour y remédier:

« Je ne serais pas étonnée si on apprenait que c'est un violeur. D'ailleurs, je pense qu'il l'est. C'est dégoutant! À mon avis, en tant que pays protégeant les valeurs humaines, nous sommes tenus de faire avancer le processus de sa destitution. »

Plus de deux millions de personnes, surtout des femmes, ont participé samedi aux « Marches des femmes » organisées dans le monde pour la défense des droits civiques et contre Donald Trump.
D'après l'ONG Wikileaks, cette action a impliqué entre autres George Soros — l'un des plus importants donateurs d'Hillary Clinton — qui entretient d'étroites relations avec au moins 56 « partenaires » de la marche. Il s'agit, entre autres, de Planned Parenthood et du Conseil national de défense des ressources, structures connues pour leur opposition intransigeante envers le nouveau président des États-Unis Donald Trump, ou de MoveOn.org, organisation « farouchement pro-Clinton », et le National Action Network, salué par l'ex-locataire de la Maison Blanche Barack Obama.