The economist
« La menace mortifère ce n'est pas le retour sur le devant de la scène des armes atomiques, des risques de guerre, non, c'est la taxe sur les métaux !

Les kleptos et leurs porte paroles ne reculent devant aucune hyperbole ! Ces gens perdent le sens de la mesure.

Attention la menace est mortelle comme une grenade. La guerre au Yémen, les vraies guerres en cours ne sont pas mortelles, on en parle par euphémismes quand on en parle, mais des tarifs sur l'importation de métaux sont mortels !

Je pense que les excès desservent ceux qui les commettent. La réputation des médias est désastreuse, ce qui est un triste constat car ils sont essentiels, constitutifs de la démocratie.

Les hyperboles sont clivantes, elles divisent. Elles mettent en colère ; soit le mouvement continue et on va vers une progression encore plus forte des sentiments anti establishment soit l'establishment reprend en mains, durcit, renforce les contrôles, multiplie les punitions et on entre dans un monde de répression qui évolue vers le fascisme même plus soft.

Mon hypothèse est la seconde voie car je constate que l'on est consciemment dans la provocation dans tous les domaines qui touchent à la sensibilité des gens qui ne participent pas à la Grande Alliance des kleptos. On favorise le raidissement. »