Nous présentons un travail de recherche critique de la vérité, sans prétendre la détenir de façon absolue. Si des journalistes dignes de ce nom faisaient ce travail, nous n'aurions pas à le faire...

enfant, balcon, suspendu

Commentaire : Mise à jour du 03/06 : La rambarde du balcon est une grille faite de barres en fer plates horizontales avec d'autres barres verticales soudées derrières. Il n'y a pas de vitre. On la voit sur cette image de C News lors de l'interview du voisin :

vitres striées
Une autre photo :
balcon immeuble rue Max Dormoy
© AFP
Donc l'enfant ne se tient pas dans le vide comme le dit la vidéo, il s'agrippe, mais c'est assez incroyable surtout qu'il remonte.


proéminence dos
harnais de sécurité
mise en scène

Commentaire : En fait sur l'autre vidéo on voit que "le voisin" semble penché, en déséquilibre sans les pieds qui touchent par terre. On voit d'ailleurs à la fin de la vidéo qu'il descend. Donc il n'était peut-être pas forcément évident pour lui, malgré sa musculature évidente, de soulever le poids de l'enfant. Par contre la femme aurait pu l'aider en le tenant.

pieds



Commentaire : En fait selon la version "définitive" des journalistes, l'enfant serait tombé d'un seul étage. Ce qui enlève toutefois peu à l'impression que c'est invraisemblable.


association militante

Commentaire : Est-ce que l'affirmation comme quoi "le voisin fait partie d'une association militante pour la défense des sans-papiers" est vraie ? Quelle est cette association ?



A propos de la chute :


Quelle est la vitesse d'un corps en chute libre à une hauteur H donnée ?

Mettons H = 6 m, soit grosso modo la hauteur de deux étages. L'objet a donc un mouvement rectiligne uniformément accéléré par la gravité, la formule qui permet d'obtenir sa vitesse est donc v = √ (2*g*h). Avec g = 9.81 et h = 6 m (c'est la distance parcourue lors de la chute, soit deux étages = 6 m).

On obtient donc une vitesse de 10.85 m/s, soit encore v = 39.06 km/h.

La chute d'un corps de 6 m de haut équivaut donc à projeter ce même corps à près de 40 km/h contre un mur en béton.

« Lorsque l'on tombe de trois mètres et que l'on s'accroche à une barre, située donc trois mètres plus bas que le départ de la chute, l'énergie doit être encaissée par le travail mécanique exercé par les bras. Si le dépliement des bras au cours de l'arrêt se fait sur une longueur de 1 m, les bras doivent supporter quatre fois le poids du corps. Si ce dépliement se fait sur une longueur de 50 cm, les bras au cours de l'arrêt de la chute sept fois le poids du corps. Le tout sans que les mains glissent. C'est un peu ce que font les gymnastes aux barres fixes.
Si la chute est d'une hauteur de 6 mètres, et selon l'amplitude du dépliement des bras au cours de l'arrêt, 1 mètre ou 0.5 mètre, la force encaissée par les bras est de 7 fois le poids du corps, ou 13 fois le poids du corps. »

Conclusion : la version officielle est donc scientifiquement impossible. L'enfant ne peut en aucun cas être tombé d'une hauteur de 6 m et s'être rattrapé à la rambarde, c'est mathématiquement et physiquement impossible, ses bras et ses mains n'auraient pas survécu à l'impact. Macron tient donc son Théo. Florence Vivès. »