Enfant de la Société
Des radioamateurs auraient intercepté le signal du début de la guerre nucléaire aux USA, comme le relate The Drive.
Dans la nuit du 27 juin, les forces nucléaires américaines ont organisé un exercice militaire sur un éventuel déclenchement d'une guerre nucléaire.
Des bombardiers stratégiques B-52 Stratofortress et B-2 Spirit ont notamment décollé des bases aériennes de la côte de l'Atlantique et du Pacifique des États-Unis et s'en sont éloignés afin d'échapper à l'attaque nucléaire d'un ennemi.USAF B-2A's TIGER11 & 12 departed Whiteman AFB - Global Power mission.
Dans le même temps, des postes de commandement aérien ont également quitté la terre ferme, dont un avion destiné à l'évacuation d'urgence des plus hauts dirigeants du pays.
Outre la trajectoire, les radioamateurs sont parvenus à intercepter les conversations des pilotes des B-52 avec le commandement. La conversation s'est déroulée sans codage. L'équipage du bombardier avec l'indicatif d'appel Doom 61 a reçu deux fois depuis le sol un code composé de chiffres et de lettres. Pour éviter les erreurs lors de la réception, les lettres ont été dénotées par les mots: A - Alfa, C - Charlie, F - Foxtrot, etc. Il est possible de l'écouter ici.
C'était un rapport d'action d'urgence (EAM), précise The Drive, poursuivant que c'est un ordre codé destiné aux forces nucléaires américaines pour commencer à mettre en œuvre un scénario d'une frappe globale ou limitée.
Après avoir reçu un tel ordre dans les conditions d'une guerre réelle, le B-52 lance contre les cibles 20 missiles de croisière AGM-86B avec des ogives thermonucléaires.
« S'il est dit à l'équipage du bombardier portant des armes nucléaires: "Ce n'est pas un entraînement", tout est alors simple et cruel, le commutateur ouvre les portes de la soute, appuie sur le bouton et lance un missile », précis le média.
The Drive n'exclut pas que Washington pourrait vouloir montrer à l'aide des exercices en question sa puissance et la capacité de ses bombardiers à larguer des ogives thermonucléaires n'importe où.
Commentaire : On ne joue pas avec le feu mais certains aiment le faire.
Le Jour d'après (The Day After) est un téléfilm américain réalisé par Nicholas Meyer, diffusé en 1983 (1984 en France).
Le film met en scène une guerre fictive entre les forces de l'OTAN et du Pacte de Varsovie qui dégénère rapidement en un échange nucléaire à grande échelle entre les États-Unis et l'Union soviétique. Cependant, l'action se concentre sur les résidents de Lawrence, au Kansas et à Kansas City, Missouri, ainsi que plusieurs fermes familiales situées à proximité des silos de missiles nucléaires. ( Source )
Commentaires des Lecteurs
Tout ça, et jusqu'à preuve du contraire, reste du domaine de la communication et, à la rigueur, de l'intimidation. Au moins pour le moment.
Quant au langage de la peur, précisément, le tout est de ne pas en faire une montagne. La première guerre froide ça a été comme ça pendant 40 ans et que je sache il ne s'est rien passé (par contre il y avait des essais nucléaires qui eux ont laissé des traces), ce qui ne prouve certes rien. Mais ce n'était qu'un interminable brouhaha de manoeuvres, menaces, et ainsi de suite, jusqu'à ce que quelqu'un craque. On est dans de la guerre psychologique de l'ère technologique jusqu'à nouvel ordre.
Il y a également le "Jour d'après" version âge de glace!!
[Lien]
L'Armageddon ou le Remake de Sodhome et Gomore pour bientôt!!? Espérons qu'ils n'est à appuyer sur le "rouge", en ce moment c'est sur le "jaune"!!
Quel serait l'intérêt d'éliminer une partie de la population mondiale, leurs Esclaves!!?
Ah moins qu'il y est un trop grand nombre qui s'éveillent, un seuil critique atteint, devenant Incontrôlable!!
Ce qui est étrange c'est qu'un tremblement de terre s'est produit hier la ou se situe le G20 et bien du monde s'est que l' Argentine à son histoire bien particulière en lien avec le Nazisme , l' empire romain tjrs en vigueur, et ces nombreux bunkers sous-terrains ....!!
[Lien]
Ah les PEURS, du pain béni pour les Forces Obscures ici bas comme en haut!!!!!
Merci pour le partage Sott.