OF THE
TIMES
Tous les dix ans environ, les États-Unis doivent attraper un petit petit pays minable et le jeter contre le mur, juste pour montrer au monde que nous sommes sérieux.
Diminution vitesse de rotation du globe terrestre couplé aux apprentis sorciers de cette civilisation, déstabilisation croute terrestre ,...
Ça et aussi les charniers découverts à l'hôpital Nasser de gaza me dépriment....Le monde est écoeurant. Tout donne envie de tuer les responsables,...
Le jour ou les Palestiniens en ont eu vraiment marre, ils sont allés dans le désert, à une rave party :)
Pour ceux qui ne la connaissent pas : On a demandé à un penseur : "Que pensez-vous des progrès de l'intelligence artificielle ? Êtes-vous...
Voyez, ouvrez bien les yeux et votre esprit . Tout est montré et tout est clair . Réagissez, même si cela semble difficile ou impossible . Bientôt...
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Commentaires des Lecteurs
Des gens comme Castaner, ne sont pas le fond du problème, il ne sont jamais que les boutons disgracieux - certains diraient même les pustules purulentes - d'un corps et d'un visage ravagé par une maladie hideuse à côté duquel l'empereur de Starwars serait presque avenant.
Le problème, c'est comme vis a vis de la psychopathie, on croit avoir à faire à des gens sains, et du moins on les pense comme tel, parce qu'un soit disant principe de réalité nous interdit de les considérer autrement mais on a faux sur toute la ligne. C'est nous qui leur attribuons notre humanité, c'est de l'anthropomorphisme. On se fait avoir à tous les coups parce que je ne sais pas ce qu'ils sont mais je suis bien convaincu qu'ils ne sont pas nous et qu'à ce point-là, çà ne peut pas être que culturel. Par contre, leur présence est symptomatique de notre maladie à nous, qui est un relent d'archaïsme, ou peut-être le résultat d'une subtile programmation, qui nous fait, en tout cas, un impérieux besoin qu'il y ait un chef à la meute.
Pourtant, ce qui nous reste de peuples premiers est là pour nous montrer qu'une communauté humaine, même réduite, même simple, c'est bien plus qu'une meute.
Je crois que ce qui se joue actuellement, c'est bien plus qu'une revendication sociale, bien plus qu'une rivalité politique : c'est fondamentalement existentiel et çà a trait à ce qu'est un être humain et comment il est bien qu'il vive.
Ce système a créé un labyrinthe où enfermer et perdre toutes les vraies valeurs et les principes, piliers civilisationnels, pour neutraliser l'opposition, par l'abrutissement, l'ingénierie sociale, la consommation, le détournement des bons sentiments, le pillage du bien commun, etc. Mais la guerre contre cette folie inepte n'est pas perdue, car d'abord ce système se voue lui-même à sa perte par son absurdité fondamentale, sa négation d'un certain ordre "naturel" vers lequel tend toute organisation biologique et humaine. Le problème étant qu'un mouvement de balancier va s'amorcer et n'amènera pas forcément meilleur (je pense notamment à une dystopie autoritaire autour d'une pseudo-écologie détournée de son sens fondamental). Il faut donc rester vigilant, cultiver la lucidité, l'intelligence, et agir sans tomber dans l'activisme (attitude qui est toujours immanquablement récupérée et détournée par le système, jusqu'à présent).
Il est vrai aussi qu'on ne peut pas juste accuser nos zélites. La masse a aussi sa part de responsabilité dans la situation, mais par chance, elle a aussi la possibilité de se ressaisir de ses choix et de son existence, bien que cela soit rendu très difficile par la somme écrasante des conditionnements sociétaux pourris qui lui ont été imposés depuis la petite enfance... noeud du problème, sans doute. Comme vous le sous-entendez, la révolution qui se prépare est de nature profondément anthropologique, mais nul ne sait ce qu'il en sortira.
Il me semble que la première chose à clarifier pour soi-même c'est la vanité qu'il y a à vouloir s'opposer à ces vastes processus car n'importe quel idéal ou idéologie ne pourra jamais interférer avec cela. Ce sont des rythmes naturels qui, une fois enclenchés, sont inéluctables , sauf à vouloir, comme Frankenstein créer du vivant avec des matériaux morts.
Un pourrissement est un processus qui ne peut aller que dans un sens. Il n'y a rien à sauver là-dedans, il faut juste porter notre regard sur le nouveau qui nait. C'est le grand symbole bouddhique de la fleur de lotus qui pousse dans les marais fangeux.
Il est vrai qu'appliquer cette vision à l'humanité est quelque peu inconfortable, mais il y a pourtant une forme de sagesse et de salvation à exercer notre discernement sur ce mode. Je crains que rien ne sert de parler d'avenir avec quelqu'un qui est déjà emporté par le flot de boue, car ce qu'il est ne sera pas de cet avenir-là et çà ne peut avoir aucun sens pour lui car la force du mouvement l'emporte (dans tous les sens).
J'aurais tant aimé les sauver ! Plus jeune, je m'en faisais presque une vocation, et puis vient l'âge de l'acceptation et du lâcher-prise sur cette passion à changer le monde. Je ne pratiquerai pas d'acharnement thérapeutique à l'égard d'un monde qui meurt. Je me tiendrai sur la berge et regarderai le fleuve passer et puis je m'en irai m'occuper de mon jardin.
Pour ma part j'ai choisi de me focaliser sur ce que j'appelle mes "appartenances" au sens large. Cela concerne en premier lieu ce qui nous lie avec la Vie avec un grand "V". Chez moi, je l'avoue, çà va très au-delà de la fraternité qui devrait me lier à mes soit-disant frêres et soeurs humains. Je souffre effectivement depuis ma plus tendre enfance d'un complexe de petit canard noir ou de Jonathan le goéland si l'on veux, mais le meilleur que j'ai reçu dans ma vie ne m'est pas particulièrement venu de mes contemporains, donc, je ne me sent pas éternellement redevable non plus.
Je ne suis pas un ingrat pour autant et je sais reconnaître le génie humain, ou la simple beauté d'un coeur vrai; et je m'efforce de leur faire honneur à ma façon, en essayant déjà de ne pas trop me déplaire à la lumière de ces beaux êtres. Le reste se fait tout seul, selon les circonstances, on est dans l'impro puisque nous ne choisissons pas les circonstances.
Premièrement il ne sert à rien d'insister pour "réveiller" / ouvrir les yeux de quelqu'un qui ne veut pas voir, tout ce que vous ferez sera perdre vôtre temps et susciter de l'énervement, agacement voir plus extrême chez la personne que vous voulez réveiller, le fait étant que vous lui rapportez une vision du monde qui entre en contradiction avec la vision qu'il s'est forgé ou qu'on lui a inculqué.
Il n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Et il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
Le détachement / non attachement / relativisation, est prôné à toutes les sauces dès lors que l'on s'intéresse un temps soi peu à la spiritualité ou au new age. Le piège ici est que ce détachement, ce renoncement ne doit pas être une incitation à la passivité qui reviendrait à se cantonner à un simple rôle d'observateur sans prise aucune sur sa réalité extérieure. Le but de ce détachement est de prendre du recul vis à vis des situations quotidiennes dans nos vies afin de pouvoir appréhender la réalité d'une manière plus globale.
Sans ce détachement c'est comme si on se contentait de contempler le monde à travers une paire de jumelles, une longue vue ou des œillères ces façons de voir qui restent néanmoins utiles (à l'exception peut-être des œillères) ne sont pas aptes à pouvoir rendre compte d'une situation de manière globale prérequis indispensable afin de pouvoir se faire un avis sur une situation donnée le contexte est également très important.
La Conscience est également très importante essayez de faire le plus possible les choses de manière consciente car c'est la Conscience qui sépare l'humain de l'animal, sans conscience nous ne sommes guère plus que des animaux certes un peu plus sophistiqués.
- Exercices d'expansion de la conscience de Gregory Petrovitch Grabovoï: [Lien] (des versions pdf doivent-être trouvables sur internet)
Quelques citations du Kybalion (étude sur la philosophie hermétique de l'ancienne Égypte et de l'ancienne Grèce): Dans un souci de compréhension on pourrait assimiler LE TOUT à la force créatrice/de vie agissant au sein de l'/des Univers.
Nous sommes tous interconnectés humains, animaux, insectes, végétaux, minéraux, planètes, systèmes solaires, galaxies, univers.
On peut considérer cela comme si chaque élément énoncé dans la phrase précédente constituait un neurone d'un gigantesque cerveau dont les proportions sont telles qu'ils nous est impossible de l'appréhender dans son ensemble à l'exception près qu'à la différence d'un cerveau classique ces neurones ne sont pas interconnectés de manière physique.
Vouloir changer le monde extérieur sans vouloir se changer soi est donc impossible: imaginez que vous êtes face à un miroir et que vous chercher à modifier le reflet que celui-ci vous renvoie de vous-même à moins d'induire le changement à vôtre niveau par exemple en souriant vous ne parviendrez pas à modifier vôtre reflet quel que soit les efforts que vous fournirez.
Le principe est d'induire le changement par l'exemple en se transformant soi afin de rayonner le changement que vous voulez voir se produire, petit à petit, vous atteindrez/"contaminerez" les autres neurones qui se mettront à leur tour à rayonner d'une manière plus conforme à vos attentes.
Pour te représenter la "guerre duelle" qui se livre actuellement de manière simple, tu peux imaginer la Terre comme étant une énorme balance qui aurait un plateau pour le bien et un plateau pour le mal.
En ce qui concerne la dualité bien/mal c'est juste une histoire de commodité et afin de simplifier la compréhension. En réalité, il existe une infinité de plateaux (pôles) duels qui s'opposent en permanence, mais ceux qui nous préoccupent vraisemblablement le plus en tant qu'humains, sont ceux qui sont maladroitement appelés Bien et Mal. Définition problématique car les notions de bien et de mal peuvent grandement varier d'un individu à l'autre.
Bref revenons-en à la Terre avec ses plateaux de balance. Chaque action qui tombe sous la catégorie "Bien" vient s'ajouter au plateau correspondant et il en va de même pour celles qui tombent sous la catégorie "Mal". Ce qui fait que la balance penche d'un côté (ou qu'un pôle pèse plus qu'un autre) est uniquement la somme de toutes les actions qui viennent s'y ajouter (ou le renforcer).
Arrivé à ce stade tu te demande peut-être en quoi ces plateaux ou pôles te concernent de près ou de loin dans ta vie de tous les jours. Les pôles sont les côtés opposés d'un même axe, ce qui veut donc dire que les pôles représentent la même chose mais à des degrés différents. Prenons un guidon de vélo par exemple: la barre représente l'axe et tu as un pôle Droite et un pôle Gauche si tu agis sur le pôle droit tu vas à droite idem pour la gauche.
Une polarité donne donc une direction qui peut-être perçue comme évolution ou involution en fonction de ce qu'elle représente.
Maintenant si on reprends la Terre que l'on considère cette fois comme un véhicule, les plateaux (pôles ou polarités) exprimant une dualité agissent sur son gouvernail en lui donnant la direction à suivre ce qui détermine en même temps le chemin de son évolution.
Là où la représentation devient difficile c'est qu'il existe une infinité de directions et de polarités et que tout est relié car le tout ne forme qu'un. En partant de là, si je prends l'axe duel sur lequel s'exerce la violence j'aurais donc d'un côté la violence et de l'autre la non-violence. La violence est généralement perçue comme étant quelque chose de mal cette polarité a donc un effet sur le plateau du "Mal".
Sur cette base je peux donc dire qu'il est inutile d'agir violemment en opposition à quelque chose car cela va nourrir cette polarité du mal plus qu'autre chose et qu'il vaut mieux régler le(s) problème(s) en agissant sur leur polarité opposée ce qui amènera un changement plutôt que de lutter violemment contre, ce qui ne fera que leur donner plus de poids tout en alimentant une mauvaise polarité.
Ce qui suit mis en parallèle avec le commentaire précédent peut occasionner quelques "déclics":
Ce à quoi l'on résiste persiste - Samadhi
La seule chose qui permet à l'homme de vivre, c'est l'acte. - Jean-Paul Sartre
La seule chose qui permet au mal de triompher est l'inaction des hommes de bien. Edmund Burke
Le problème du refus de l'individu de faire le choix de créer sa propre réalité est presque similaire à la citation qui précède à la différence près qu'étant doté du libre arbitre l'individu s'il le souhaite peut créer une réalité bonne ou mauvaise suivant ses actes, consciemment ou inconsciemment (inaction, passivité, programmation mentale venant de l'extérieur). La réalité dépend donc des polarités qui sont alimentées.
Ma vision en bref pour changer ce monde de fou:
reconstruction de l'être sur des bases saines et solides, instruction, accumulation de connaissances, de savoir mis en parallèle de la sagesse et de la raison dans le but de l’élévation de l'être. Pour ensuite aller retransmettre le savoir, les connaissances acquises là où elles sont le plus nécessaires et le plus fortement demandés.
Ceci pour contribuer à l'amélioration de la situation de l'ensemble.
D'autres lectures qui pourront intéresser:
Michael Talbot - L'Univers est un hologramme: [Lien]
WINGMAKERS' MYTHOLOGY: The Story of the Central Race - Its origins, relationships, metaphysics & explorations : [Lien]
(à ne pas forcément prendre pour argent comptant dans sa totalité mais contient quelques développements intéressants)
Désolé pour le pavé mais même avec ça je ne suis pas sûr d'avoir complètement fait le tour en même temps le sujet est des plus vastes et certaines des notions voire principes sont difficilement explicables (de manière simple) en usant de mots.
@Loxosceles:
Tu as raison au sujet de la responsabilité. Dans tout ce qu'il se passe sur Terre, nous avons tous une part de responsabilité, après c'est à des degrés divers et variés suivant son implication personnelle et ses propres actions, le tout étant de reconnaître et d'accepter cette part de responsabilité sans pour autant la transformer en culpabilité qui deviendrait alors quelque chose de nuisible.
Exemple très terre à terre et politiquement orienté, mais c'est pour faire comprendre : j'ai des gens qui votent Macron dans mon entourage. Je leur dis régulièrement ce que je pense de Macron, ce qu'il représente, la véritable place qu'il a dans l'échiquier politico-idéologique du moment présent, quand l'occasion se présente (je ne cherche pas à lancer délibérément une querelle sur ce genre de sujet), sans chercher à les brusquer, mais sans trop lisser les choses non plus. J'utilise aussi leurs tendances humanistes pour leur faire bien comprendre qu'ils votent contre leurs propres intérêts et celui du plus grand nombre. Et puis je laisse le sujet glisser vers autre chose sans insister, je n'essaye pas de convaincre, je donne juste un argument un jour, un autre trois semaines plus tard, etc. Je ne sais pas si ça marche, mais ça ne crée pas d'opposition, cela leur laisse donc le loisir, s'ils y sont disposés, d'y réfléchir entretemps. J'aurais pu choisir un autre exemple moins polémique, mais je trouve que Macron est une figure de ce contre quoi il faut s'élever et qui est généralisé dans l'occident globalisé. Mais quel que soit le sujet : juste planter des graines, les gens en feront ce qu'ils en veulent.
Rien à redire ou ajouter d'important sur le reste. Et bien sûr que le sentiment de culpabilité, si typique de l'occident, est essentiellement néfaste, et à l'origine de beaucoup de conflits par chez nous.
Après je n'ai pas abordé ce point, car ne m'étant pas penché sur le sujet d'éveiller les gens, les diverses possibilités à disposition n'ont pas effleuré mon esprit, hormis celles auxquelles j'aurais pu éventuellement réfléchir. Ouch ça pique à la lecture désolé à vrai dire je dois en avoir deviné quelques unes mais j'ai pas vraiment la motivation de les poster maintenant.
Ce qui n'a pas eu l'attention de l'Esprit, ne peut-être connu par la Conscience.
hé bien non, car des animaux on bien conscience d'eux même.
Charabia:
Là où la représentation devient difficile c'est qu'il existe une infinité de directions et de polarités et que tout est relié car le tout ne forme qu'un.
Charabia: La réalité dépend donc des polarités qui sont alimentées.
Charabia: Maintenant si on reprends la Terre que l'on considère cette fois comme un véhicule, les plateaux (pôles ou polarités) exprimant une dualité agissent sur son gouvernail en lui donnant la direction à suivre ce qui détermine en même temps le chemin de son évolution.
Il est également possible que tu aies l'impression de lire, voir beaucoup de charabia tout simplement parce que tu n'as pas le background (expériences, connaissances, savoir, clés) nécessaires à leur compréhension ou que tu n'est tout simplement pas près pour les comprendre.
C'est le propre de l'hermétisme (qui signifie scellé, fermé entre autres signification) qui a trait aux sciences occultes (dans le sens caché).
Les animaux sont capables d'avoir des émotions la Conscience elle est typiquement humaine, l'Esprit de chaque espèce animale sous sa forme archétypale peut par contre lui présenter certains des apanages de la Conscience car cet Esprit est en lien direct avec le reste de l'ensemble.