Selon un épidémiologiste de Harvard, le régime chinois ne rend probablement pas compte de la véritable ampleur de l'épidémie de coronavirus.
Des touristes chinois portent des masques de protection durant leur visite du Temple du Ciel, qui est resté ouvert pendant la fête du Nouvel An chinois et du Festival du printemps à Pékin, en Chine, le 27 janvier 2020. (Kevin Frayer/Getty Images)
Les craintes d'une épidémie rampante s'intensifient après que la maladie infectieuse ait touché la plupart des régions de la Chine et se soit propagée à plus d'une douzaine de pays dans le monde.
Selon les chiffres officiels, le virus de type pneumonie infecte des milliers de personnes et tue des dizaines d'autres,
mais les experts affirment que le nombre total d'infections est largement supérieur à celui rapporté par le régime communiste.Dans une étude récente de l'Imperial College de Londres, les chercheurs ont constaté que "la transmission interhumaine auto-entretenue" est la "seule explication plausible de l'ampleur de l'épidémie à Wuhan".
Les chercheurs ont déclaré que chaque individu infecté pouvait en infecter 2,6 autres en moyenne et que les autorités devraient bloquer la transmission de plus de 60 % des cas pour contenir l'épidémie.
Une
autre étude que des experts britanniques et américains ont publiée le 23 janvier, actuellement en phase de prépublication, situe le nombre de reproductions à environ 3,8, bien qu'il ait été révisé ultérieurement à 2,5.
Avec un taux de reproduction de 3,8, la Chine devrait contrôler 72 à 75 % des transmissions pour empêcher la propagation du virus - "une tâche presque impossible, en verrouillant toute la ville", a déclaré Michael Lai, un biologiste moléculaire américain de
l'Academia Sinica de Taiwan.La Chine a mis 17 villes en quarantaine, a reporté les ouvertures d'écoles et a prolongé la semaine de congé national du Nouvel An lunaire jusqu'au 2 février, afin de tenter de freiner la propagation de la maladie.
Malgré ces efforts, 5 millions de personnes ont quitté l'épicentre du virus à Wuhan avant que le verrouillage ne prenne effet le 23 janvier.Les experts de l'étude préliminaire ont estimé que moins de 10 % des infections ont été identifiées à Wuhan jusqu'à présent."Si l'épidémie se poursuit sans relâche à Wuhan, nous prévoyons qu'elle sera bien plus importante d'ici le 4 février", ont écrit les chercheurs, qui prévoient que plus de 190 000 infections se produiront d'ici là dans la seule ville de Wuhan.
Selon eux, de grandes épidémies pourraient également se développer dans de grandes villes comme Shanghai, Pékin, Guangzhou, Chongqing et Chengdu.
Le 25 janvier, le Centre de contrôle et de prévention des maladies de Guangdong
a estimé le taux de reproduction à 2,9, affirmant que la maladie "pourrait présenter un risque de pandémie plus élevé que le SRAS" - une vaste épidémie originaire du sud de la Chine de 2002 à 2003, qui a officiellement tué environ 800 personnes dans le monde.
Risque de pandémie"Je dirais qu'il existe un risque de pandémie très élevé", a déclaré le Dr Eric Feigl-Ding, épidémiologiste à l'université de Harvard, citant les conclusions du rapport du CDC chinois.
Selon lui, le risque est exacerbé par le fait que des patients asymptomatiques propagent le virus sans le savoir.
Le ministre chinois de la santé, Ma Xiaowei, a déclaré aux journalistes le 26 janvier que
le coronavirus, contrairement au SRAS, est infectieux pendant sa période d'incubation, qui peut durer jusqu'à 14 jours - ce qui signifie qu'il peut être transmis même lorsque la personne infectée ne présente aucun symptôme.Une étude publiée le 24 janvier dans
The Lancet a identifié un patient atteint de coronavirus, âgé de 10 ans, qui ne présentait aucun symptôme avant une inspection médicale. Deux autres patients de la même étude ne présentaient pas de signes de fièvre.
Ces résultats ont fait craindre que les mesures de dépistage actuelles, qui contrôlent la température du corps, ne soient pas efficaces pour détecter la maladie.
Récemment, deux patients de Wuhan ont passé des contrôles de dépistage en France et n'ont montré des signes d'infection qu'un et cinq jours plus tard, respectivement.
M. Feigl-Ding a déclaré que cette caractéristique du coronavirus "rend le confinement beaucoup plus difficile" que dans le cas du SRAS, qui n'était pas infectieux pendant l'incubation.Il a également suggéré que de nombreux chiffres officiels sur les infections et les décès sont basés sur des données qui ne sont pas à jour, en raison de l'existence probable d'un "retard" administratif.Entre les 25 et 26 janvier, le nombre de patients a augmenté de 50 %, passant de 2 000 à 3 000 environ. Il y a eu un certain nombre d'occasions où les décès n'ont été signalés qu'au moins un jour plus tard, ce qui rend difficile pour les personnes extérieures d'évaluer la situation réelle, a-t-il dit.
L'important retard dans les cas en attente de tests suggère "qu'il y a beaucoup de cas suspects qui ne sont pas confirmés", a déclaré M. Feigl-Ding. "Quand il y a un retard dans les tests, tout est retardé, ce qui affecte le modèle de prédiction de tout le monde".
Il a déclaré qu'il s'attendait à ce que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) déclare très prochainement une situation d'urgence mondiale. La semaine dernière, l'OMS n'a pas hésité à qualifier l'épidémie d'urgence sanitaire mondiale.
Le 26 janvier, l'organisation a évalué le niveau de risque de l'épidémie comme étant "très élevé" en Chine et "élevé" à l'échelle internationale. Le 27 janvier, les centres américains de contrôle et de prévention des maladies ont recommandé aux voyageurs d'éviter tout "voyage non essentiel" en Chine.
Un virus "résistant"Les autorités chinoises ont détecté quatre générations de propagation du virus à Wuhan - ce qui signifie qu'une personne qui a contracté le virus à partir de sa source d'origine non humaine, a infecté une personne, qui a infecté une autre personne, qui a ensuite infecté une troisième personne.
Des cas de deuxième génération ont également été détectés en dehors de Wuhan. Ce phénomène indique que le virus est "résistant", selon Lai.Lorsqu'un virus se réplique chez un nouvel hôte, il est généralement affaibli, donc le fait qu'il survive jusqu'à la quatrième génération suggère que le coronavirus de Wuhan s'est "bien adapté chez l'homme", selon M. Lai.Selon Lai, les virus à ARN - des virus dont le matériel génétique est constitué d'ARN plutôt que d'ADN - comme le coronavirus de Wuhan et le SRAS, ont un "taux de mutation élevé", qui leur permet de "changer de propriétés très rapidement".
A titre d'exemple, dans l'étude de Lancet, les séquences d'ARN isolées chez 6 patients d'un même foyer sont différentes les unes des autres, a-t-il noté. Lai a déclaré qu'il avait observé dans ses recherches précédentes "l'apparition fréquente de recombinaisons d'ARN entre différentes souches de coronavirus", signe de l'évolution du virus.
Une telle nouvelle "n'est peut-être pas très bonne à entendre ; elle suggère la difficulté de contenir ce virus", a déclaré M. Lai.Traduction Sott.net - Source : The Epoch Time
Affirmer que les zoto-rit-tait disent toute la very-tais allons allons depuis quand de pres ou de loin qui que soit a part des cas tres rares a pu d'une maniere parfaitement saine et désinteressée essayer d'exprime cette petite lueur diffuse incertaine fragile propre a chacun de cette abstraction que la plupart non seulement se targue de detenir pour tenter de dominer aussi bien leur semblables que le monde autour qui leur echappe autant que leur absence de connaissance elementaire sur eux memes.
Et qu'ils fassent crever les autres ils en sont victimes eux memes ces tristes individus et pas les derniers !
une petite histoire a mediter sur la psychose la peur qui est parfois pire que le danger quand il est present mais d'abord quand il prend la place de l'observation et de la bonne reaction qui doit en decouler ou la mauvaise peu importe :
mort de trouille contre survivant par sa cuite ?
Un homme fut enfermé par mégarde dans l'une de ces salles frigorifiques en cours de refection probablement et ou generalement le thermometre n'est pas a l'interieur . Vite terrifié a l'idée de finir comme un morceau de barbaque congelée ce pauvre individu s'assis dans un coin et commenca a raconter pour sa posterité , sur un bout de papier son calvaire , avec les symptomes progressifs du froid , du malsaise progressif , somnolence ...etc
je pourrait detailler pour les voyeurs sadiques ,NIETOS , car je sais de koi je cause j'ai failli trepasser de cela plus d'une fois a -15 seulement dans une voiture en panne une autre fois dans la rue en plein Paname en hiver il y quelques années plus rigoureux ( selon les epoques !) je vais pas leur offrir leur adrenaline malfaisante tout de même gratis en plus avec toute la destestation que tout le monde a pu constater pour la difference
le plus triste c'est ce qui arrive tous les ans dans l'indifference generale ou particuliere a bien des gens quand ils ne se rejouissent pas carrement en croyant peut etre echapper eux memes a la faucheuse ?
Comme si le fait d'etre SDF s'attrapais comme la grippe ou le virus mortel du labo d'a coté ? et la difference ?
pas de gros bleme ca ne s'attrape pas a moins d'y consentir ou d'etre assez demeuré pour assimiler le premier credo surtout le pire et d'en faire desormais le pro-fete en malfaisance le plus souvent !
Syndrome de la peur combinée a la pretention et l'idiotie crasse , la grande normalite ordinaire des bien pansant un peu nantis
la petite marchande l'allumette raconté par un poete au nom de toutes ces victimes essayent de briser ce mur de déni !
revenons a notre bonhomme certainement impregné de sa normalité craintive du conformisme et du credo enseigné mortel en fin de compte comme vous allez le voir :
Quelques heures plus tard son pauvre coeur s'arreta de battre et le lendemain ses collegues decouvrir son cadavre apres avoir pu constater que la temperature de ladite salle n'etais pas descendue en réalité en dessous de 10 °C et le relaté terrifiant autant qu'ediiant sur le fait d'avoir cru mourir de froid pour succomber a la peur de cet fin pas tres agreable ( comme si aucune fin puisse l'etre pour une creature organique quelque soit son mortel credo illusoire !)
L'installation frigorifique etais en panne ...
Dans un autre pays plus pauvre ou plus proche de la vie avec ses hauts et ses bas , un autre homme fut piegé dans un autre salle avec l'installation parfaitement aussi efficace que la temperature deja pas inhabituelle dans ces contrées lointaines ,ce qui n'arrive que rarement par ici .
Par chance etas stockée dans cet espace des cartons de d'alcool , alors notre homme sans se poser de question inutiles ouvrit une ou deux fioles pour en prendre connaissance peu a peu du contenu en oubliant des lors le contenant dans laquel il etais piégé . Le temps passa et le lendemain on le retrouva en train de dormir d'une cuite magistrale( qui somme toute de Brest a New york en passant par presque la totalité du monde dit civilisé n'a rien d'exceptionnel,) mais parfaitement vivant et meme pas trop inquiet d'avoir pu survivre a - 30 degrés durant 24 heures au moins mais sans en faire un vromage trouillesque , l'installation aurait pu etre en panne il faisais deja glacial à l'exterieur