Nicolas Vidal - Fabrice Di Vizio
Nicolas Vidal - Fabrice Di Vizio
Maitre Fabrice Di Vizio (avocat d'un collectif de 600 médecins qui porte plainte contre certains membres de l'exécutif pour la gestion de la crise du coronavirus) était l'invité de Putsch. Il a réagi à l'allocution du Chef de l'Etat. Il a également révélé quelques nouvelles informations sur la polémique des masques : "C'est un gouvernement de menteurs en qui je n'ai aucune confiance"

Quelques extraits :
« Nous avons une guerre paraît-il mais dans cette guerre il manque un discours de guerre et un chef de guerre nous avons un discours de petits chefs de petits fonctionnaires qui effectivement ne sais pas ce qu'il dit n'a aucune connaissance de la réalité du terrain. »

« Monsieur Véran très bien, vous nous avez dit que vous avez commandé les masques, votre directeur général de la santé nous dit autre chose, on n'y comprend plus rien dans les dates alors donnez-nous la preuve - la sommation interpellative qu'on avait délivrée - donnez nous la preuve que ces masques ont bien été achetés, commandés, c'est un droit qu'on a la communication à partir de là il n'y a plus problème. Si vous les avez commandés bon ben on s'en débrouillera. Aucune réponse. On a saisi le comité des droits de l'homme de l'ONU à titre de médiation aucune réponse. Bon ben c'est que monsieur Véran n'a pas commandé les masques
« Vous vous rendez compte qu'il y a 28 plaintes qui ont été déposées contre le gouvernement. Je crois que c'est un record historique ! 28 plaintes tellement cette gestion elle est mauvaise. »

« Si monsieur Macron, général en chef des armées, sait mieux que tout le monde, bah alors il n'est qu'à se débarrasser d'eux, des conseils scientifiques, ça nous fera des impôts en moins, il n'a qu'à se débarrasser de tout le monde et prendre les décisions lui-même. Sauf que ça ne va pas, parce que ses décisions, il n'en répond pas pénalement. »

« On voit bien qu'ils font des schémas, mais ces gens sont hors sol, ils sont déconnectés du réel. On peut pas d'un côté fermer les écoles en premier en expliquant, j'ai encore les déclarations, que les enfants sont des vecteurs de contamination, et dire le 11 mai, on va les renvoyer tous à l'école. Qu'est ce que c'est que cette histoire ? Mais qu'est ce que c'est que cette histoire ? »

« C'est la double peine. D'un côté on a une incurie totale depuis le départ, une inconscience depuis le départ, et aujourd'hui on se rend compte, comme on n'a rien préparé, bah c'est le bordel, et comment on gère un bordel, en créant un bordel supplémentaire. Je suis désolé, c'est de l'inconscience caractérisée, caractérisée. »

« On est sur un mensonge d'état depuis le départ. J'étais le seul à le dire, j'étais le seul à les qualifier de menteurs. Voilà que maintenant effectivement on a la preuve formelle. »

« On a décidé de sacrifier toute une génération qui ne compte pour rien, rappelez-vous ce qu'a dit le président de la République. Il a dit, il y a quelques années, il y a quelque temps : "Dans les gares on y rencontre ceux qui ne sont rien". Et bien voilà, aujourd'hui on a on a effectivement une manifestation tangible de ce que représentent les personnes âgées pour notre gouvernement et pour être bien aimé président ; ils ne sont rien. Ces gens ne sont rien parce qu'ils ne sont pas productifs, parce que ce sont des gens qui ne sont pas des actifs et qui n'apportent pas de richesses à la société. Et donc comme ils n'apportent plus de richesses et bien à ce moment-là on peut les sacrifier. C'est ça la vérité et c'est indigne. Et pour ça effectivement il faudra qu'ils nous répondent pénalement autant que pour le reste sinon voir plus. »