Maintenant que de nombreux États et nations ont partiellement ou totalement levé leurs restrictions de confinement, les tests d'anticorps contre le Covid vont devenir un enjeu majeur. Alors que nous entrons dans un nouveau chapitre du long livre de l'Opération Coronavirus, les autorités tentent de mettre en place des tests généralisés basés sur la détection des anticorps — ainsi que sur la recherche des contacts ou la surveillance. Le moment est venu de vous informer sur ce que sont les tests de détection des anticorps contre le Covid et sur leur fonctionnement, parce que les enjeux sont importants. Les autorités prévoient de défendre ou de violer vos droits et libertés en fonction des résultats — et surtout de l'interprétation des résultats — de ces tests.
Test d'anticorps Covid
© InconnuLes tests d'anticorps Covid sont sujets à des faux positifs et à toutes sortes d'interprétations, ce qui ouvre la porte à leur utilisation comme outils de contrôle.
En vérité, nous possédons tous le droit à l'autonomie corporelle personnelle et à la souveraineté médicale, et être contraint de subir un tel test est en soi une violation de nos droits souverains fondamentaux. Cependant, quel que soit le choix que vous faites personnellement à cet égard, il est crucial de comprendre comment ces tests fonctionnent et ce que les résultats signifient, parce que — soyez-en assuré — les résultats seront utilisés contre vous si l'histoire passée est un indicateur quelconque de l'intention des conspirateurs du Nouvel Ordre Mondial.

Théorie des anticorps

Avant de passer au test Covid, commençons par quelques définitions. Un anticorps est une protéine sanguine que votre corps produit pour contrecarrer un antigène spécifique. Un antigène est une toxine ou une autre substance étrangère que l'organisme reconnaît comme un envahisseur. Les anticorps se combinent chimiquement avec des substances que l'organisme reconnaît comme étrangères dans le cadre d'une réponse immunitaire saine.

De manière typique, l'industrie médicale — rappelons que la médecine occidentale est la médecine Rockefeller — a confondu anticorps et immunité, en affirmant que des titres (ou niveaux) élevés d'anticorps montrent une forte immunité. Cependant, il s'agit d'une erreur d'un point de vue matérialiste, dans lequel tout doit être mesuré, combinée à un but lucratif — les vaccins produisent des anticorps, donc si l'établissement médical peut vous convaincre que anticorps = immunité, alors les vaccins confèrent une immunité, sans poser de questions.


La vérité, c'est que l'immunité est bien plus mystérieuse qu'une simple mesure de certaines substances dans le sang. L'immunité a une forte composante bio-énergétique qui ne peut pas être mesurée ! Voici quelques citations tirées du site web whale.to :
« Un test titre ne mesure pas et ne peut pas mesurer l'immunité, car l'immunité à des virus spécifiques ne repose pas sur des anticorps, mais sur des cellules mémoires, que nous n'avons aucun moyen de mesurer. Les cellules mémoire sont ce qui incite le système immunitaire à créer des anticorps et à les envoyer pour lutter contre une infection causée par le virus dont il « se souvient ». Les cellules mémoire n'ont pas besoin de « rappels » sous forme de revaccination pour continuer à produire des anticorps. » ~ Science, 1999 ; « La mémoire du système immunitaire n'a pas besoin de rappels [de vaccins - NdT ] »

« Le sophisme de cette [théorie des anticorps] a été exposé il y a près de 50 ans, ce qui n'est guère récent. Un rapport publié par le Medical Research Council intitulé « A study of diphtheria in two areas of Great Britain, Special report series 272, HMSO 1950 » [ « Une étude de la diphtérie dans deux régions de Grande-Bretagne » - NdT] a démontré que de nombreux patients atteints de diphtérie avaient des taux élevés d'anticorps circulants, alors que de nombreux contacts qui sont restés parfaitement sains avaient des taux d'anticorps faibles. » ~ Magda Taylor, Parent informé

« Ce n'est pas parce que vous donnez un vaccin à quelqu'un, et que vous obtenez peut-être une réaction aux anticorps, que cela signifie quoi que ce soit. Les seuls vrais anticorps, bien sûr, sont ceux que vous obtenez naturellement. Lorsque nous injectons des vaccins, nous interférons avec un mécanisme très délicat qui agit selon son propre mécanisme [qui] fonctionne très bien avec une nutrition adéquate. Si en tentant de déclencher un processus dont la nature s'occupe très bien toute seule le corps d'une personne est ainsi endommagée, on lui cause en fait toutes sortes de problèmes et nous ne pensons pas que cela fonctionne. » ~ Glen Dettman Ph.D., interviewé par Jay Patrick, et cité dans The Great American Deception, Let's Live, 1976, p. 57 [« La grande supercherie américaine, Il est temps de vivre », ouvrage non traduit en français - NdT]

« De nombreuses études sur l'efficacité du vaccin anti-rougeole portent sur leur capacité à stimuler une réponse des anticorps — séroconversion ou séro-réponse. Une réponse d'anticorps n'équivaut pas nécessairement à une immunité... le niveau d'anticorps nécessaire pour une immunité efficace est différent chez chaque individu... l'immunité peut être démontrée chez des individus ayant un niveau d'anticorps faible ou non détectable. De même, chez d'autres individus ayant des niveaux d'anticorps plus élevés, il peut ne pas y avoir d'immunité. » ~ Trevor Gunn BSc
Ensuite, découvrons une citation du Dr Stefan Lanka, dont j'ai souligné les points de vue dans « Deep Down the Virus Rabbit Hole - Question everything » [Dans les profondeurs du virus - Remettez tout en question - NdT] :
« Je suis absolument sûr qu'en médecine, aucun test d'anticorps n'a de signification absolue. En particulier dans le cas du test de dépistage des anticorps du VIH, il est clair que les anticorps qui sont détectés dans le test sont présents chez tout le monde. Certaines personnes en ont des concentrations plus élevées, d'autres des concentrations plus faibles, mais ce n'est que lorsque vous atteignez un niveau d'anticorps très élevé — beaucoup plus élevé que dans tout autre test d'anticorps — que vous êtes considéré comme « positif ». C'est une contradiction dans les termes car dans les autres tests d'anticorps, plus votre niveau d'anticorps est faible, plus votre risque d'infection symptomatique est élevé. Mais dans le cas du VIH, on dit que vous n'êtes « positif » que lorsque vous avez atteint un niveau d'anticorps très élevé. En dessous de ce niveau, on dit que vous êtes négatif. »

~ Interview de Stephan Lanka, 1995
D'anciens échantillons de sang contiennent des anticorps contre le Covid

Sachant cela, voyons maintenant comment ils appliquent au Covid la théorie des anticorps. Tout au long de cet article, je citerai le récent article de David Crowe intitulé « Antibody Testing for Covid-19 » [Test d'anticorps contre le Covid-19 - NdT]. Crowe souligne de nombreuses hypothèses majeures concernant les tests d'anticorps contre le Covid. Il faut commencer par les tests qui donnent des résultats positifs. La question est la suivante : comment savoir si ces anticorps ont été acquis récemment ou s'ils existent depuis des années ? Il n'y a aucun moyen de le savoir. S'ils les ont depuis des années, que prouve le test d'anticorps ? Rien. Crowe écrit :
« Dans une étude néerlandaise, près de 14 % du sang conservé provenant d'anciens dons a été testé positif, et dans la validation des tests Cellex et Chembio, 4,4 % et 3,6 % — respectivement — des anciens échantillons étaient positifs. Le modèle d'anticorps idéalisé est basé sur la date de l'infection comme point de départ, mais cette date n'est jamais connue avec certitude. Quand bien même une personne a pu entrer en contact avec une autre teste positive à l'ARN Covid-19 à une date donnée, cela ne garantit en aucune façon que cette date était celle de l'infection, étant donné qu'avant le confinement, des personnes ont apparemment pu être infectées en jouant dans le parc, en mangeant au restaurant, en marchant dans la rue, en assistant à un concert ou en participant à toute autre activité désormais interdite. Lorsque des enquêtes sur les anticorps sont effectuées, la grande majorité des personnes dont le test est positif ignoraient totalement avoir été précédemment contaminées, et il leur est impossible de préciser à quelle date cette contamination a eu lieu.

Mais un problème bien plus important est que le chiffre obtenu est impossible à valider. Lorsque 1,5 % des volontaires de Santa Clara ont été testés positifs, on a supposé que c'était vrai. Cette « véracité » affirme que toutes ces personnes ont été positives à l'ARN à un moment donné dans un passé récent. Mais il n'existe absolument aucune preuve de cela. La « vérité » suppose que toutes les personnes étaient négatives aux anticorps contre le Covid-19 avant la période présumée de séropositivité de l'ARN. Mais aucune preuve n'existe pour étayer cette hypothèse. »
Les faux positifs des tests anticorps du Covid

Un deuxième problème avec le test du Covid est celui des faux positifs. Tout comme le test PCR a conduit à un taux de faux positifs de 80 % dans le diagnostic réel du Covid, les tests d'anticorps contre le Covid peuvent également conduire à des faux positifs, ce qui signifie que le test découvre que vous avez des anticorps contre le Covid dans votre système lorsque vous y testé êtes négatif. Manifestement, quelque chose ne va pas avec un test censé ne détecter que les anticorps d'une maladie particulière, et qui détecte ensuite ces anticorps chez les personnes qui n'ont pas cette maladie ! écrit Crowe :
« D'autres problèmes liés aux tests d'anticorps incluent un nombre important d'échantillons testant des anticorps positifs provenant de personnes testées négatives à l'ARN Covid-19 (bien que certaines aient eu des symptômes similaires au Covid), sans aucune preuve qu'elles aient jamais été infectées. Dans une étude chinoise, le taux de positivité sur des personnes qui n'ont probablement jamais été infectées était de 25 %. »
Les anticorps ne sont pas précis

Le fait que les tests anticorps contre le Covid recherchent des anticorps qui ne sont peut-être même pas spécifiques au Covid représente encore un autre problème ! Crowe écrit :
« [...] différents fabricants ont trouvé un pourcentage significatif d'échantillons positifs aux anticorps contre le Covid-19, lesquels échantillons ne contenaient notoirement aucun Covid-19 ; on y trouvait par contre d'autres virus, bactéries ou mycoplasmes, et ces échantillons provenaient dans certains cas de personnes atteintes de maladies auto-immunes, ce qui indique que les anticorps ne sont pas spécifiques. Par exemple, les échantillons suivants étaient positifs à 10 % pour l'hépatite B, 33 % pour le virus respiratoire syncytial (VRS), 10 % pour des auto-anticorps, et 17 % pour des streptocoques. »
J'encourage les lecteurs à lire l'article de Crowe dans son intégralité car il constitue un excellent résumé des problèmes liés aux tests d'anticorps contre le Covid. En attendant, revenons sur le sujet des anticorps, du système immunitaire inné, du système immunitaire adaptatif, etc.

Les anticorps ne sont développés par votre système immunitaire que si sa première ligne de défense est défaillante

Rappelez-vous : l'immunité innée (non spécifique) vient en premier. L'immunité humorale, adaptative, à médiation par anticorps (spécifique) vient en second lieu, et est également appelée « immunité acquise ». Jon Rappoport a écrit un article sur l'étude de Crowe : « COVID: David Crowe's brilliant new paper takes apart antibody testing » [COVID : Le remarquable nouvel article de David Crowe démonte les tests d'anticorps - NdT]. J'ai été impressionné par les nombreux commentaires qui suivent l'article, et j'en ai reproduit plusieurs ici.

Le commentaire qui suit est de Tim Lundeen :
« L'un des principaux problèmes (mentionné de manière périphérique dans cet article) est que vous ne développez des anticorps que lorsque votre système immunitaire inné ne peut pas éliminer une infection. Ainsi, 60 à 85 % des personnes sont capables d'éliminer les coronavirus en utilisant leur système immunitaire inné et ne développeront JAMAIS d'anticorps. Le système immunitaire inné est votre générique, il fonctionne contre n'importe quelle infection. C'est la première ligne de défense. S'il ne peut pas éliminer totalement une infection, alors le système immunitaire adaptatif entre en jeu, fabrique des anticorps, puis les anticorps éliminent l'infection. Il existe un certain nombre d'endroits où un grand nombre de personnes ont été exposées au coronavirus dans un espace confiné : les navires de croisière, les navires militaires et les centres pour sans-abri. Dans tous ces endroits, 60 à 85 % des personnes massivement exposées n'ont montré AUCUN ARN de coronavirus, c'est-à-dire que leur système immunitaire inné a éliminé le coronavirus, elles étaient immunisées contre lui. Ils n'ont donc pas développé et ne développeront jamais d'anticorps. »
Le suivant est de PFT :
« Une chose que les gens ne comprennent pas. Tout le monde n'a pas besoin d'anticorps ou n'en produit pas lorsqu'il est infecté. Les anticorps sont produits par le système immunitaire adaptatif, qui constitue en fait votre dernière ligne de défense contre les agents pathogènes et elle prend une à deux semaines pour se mobiliser. La première défense immunitaire est le système inné composé de nombreuses cellules et molécules qui inhibent la réplication virale et détruit ses composantes. Elles se coordonnent également avec le système immunitaire adaptatif qui envoie des signaux pour mobiliser et fournir des informations sur l'emplacement et la nature de l'agent pathogène. Si le système inné élimine rapidement l'infection, les signaux de danger ne sont plus émis et le système immunitaire adaptatif est désactivé et ne répond plus, de sorte qu'aucun anticorps ou très peu d'entre eux sont produits —
en dessous des limites de détection. Ainsi, alors que les taux d'anticorps peuvent au sein de la population se situer entre 20 et 40 %, un nombre inconnu de cette même population est également immunisé de fait et parce qu'elle dispose d'un système immunitaire inné plus efficace.

Le système immunitaire adaptatif a deux composantes. Les réponses humorales et cellulaires. La première produit des anticorps produits par les cellules B. La seconde utilise les cellules T. Les cellules T auxiliaires sont en fait importantes pour activer les cellules B afin qu'elles produisent des anticorps et des cellules T cytotoxiques. Les lymphocytes T régulateurs [Tregs - NdT] empêchent une réponse immunitaire excessive, et les cellules T cytotoxiques qui sont activées constituent de véritables mécanismes de défense. L'immunité cellulaire est importante pour réellement détruire les cellules infectées. Les anticorps ne tuent pas mais marquent seulement l'appel à la destruction d'une cellule infectée ou l'empêchent d'infecter une cellule non infectée. Bien que les deux soient importants lorsque le système immunitaire inné a besoin de leur aide, beaucoup pensent que l'immunité cellulaire est la plus importante et qu'elle a aussi une mémoire qui n'est pas si bien comprise. »
Les factotums du Nouvel ordre mondial pourraient utiliser les tests Covid à des fins malveillantes

Les tests d'anticorps sont clairement et à de nombreux égards défectueux, ce qui au — « nom de la science » — ouvre la voie à leur utilisation — comme tant d'autres choses — dans le but de réaliser des programmes hautement destructeurs. Il s'agit d'une question d'interprétation, qui est une forme de perception. J'ai déclaré avec insistance à de nombreuses reprises que nous sommes en pleine guerre des perceptions. L'Opération Coronavirus vise à gérer la perception, en commençant par contrôler la perception qu'ont les gens de la véritable nature des virus et des maladies. La perception est très importante dans l'interprétation des résultats.

Par exemple, les autorités pourraient prétendre que les personnes positives aux anticorps doivent être isolées, mises en quarantaine et soumises à des règles absurdes et non scientifiques — distanciation sociale, port de masque, etc. — parce que les anticorps sont la preuve qu'elles sont à ce moment-là infectées ou malades. D'un autre côté, les autorités pourraient prétendre que les personnes positives aux anticorps sont maintenant immunisées et en bonne santé, puisque les anticorps montrent qu'elles ont déjà eu le Covid et l'ont vaincu avec succès ; mais aussi que les personnes négatives aux anticorps doivent elles être surveillées et craintes, car sans les anticorps, elles ne sont pas immunisées et pourraient être contaminées et transmettre le virus à d'autres personnes — et qu'elles constituent donc « une menace pour tout le monde » et autres absurdités de ce genre. Un troisième exemple est que les autorités pourraient prétendre que si le nombre de personnes positives aux anticorps reste inférieur au niveau de « l'immunité collective » — environ 90 % — alors nous devons imposer la vaccination obligatoire — un programme à l'ordre du jour de l'Organisation mondiale de la santé depuis longtemps — pour « protéger la santé publique » — et autres absurdités de ce genre. La capacité à manipuler la signification des résultats est infinie.


Jon Rappoport lui-même a écrit pendant des décennies sur le manque de logique lorsqu'il s'agit de l'interprétation des tests d'anticorps. Cette citation fait référence aux tests de détection des anticorps contre le VIH :
« Jusqu'à ce que les tests de dépistage du sida prennent réellement leur essor au milieu des années 80, on supposait généralement que la présence d'anticorps chez un patient signifiait une bonne santé. Le patient avait été en contact avec un germe, avait développé une réponse immunitaire et le germe avait été neutralisé.

Il n'existait certainement pas de consensus sur le fait que des anticorps signifiaient systématiquement une maladie présente ou future. En d'autres termes, si des millions de personnes en Chine avaient rencontré des virus H5N1 (grippe aviaire) et présentaient des anticorps contre ces virus, on pourrait s'attendre à ce qu'elles restent en bonne santé. Sauf qu'avec le début de la recherche sur le sida, tout a été chamboulé.

Les personnes testées et déclarées séropositives — ce qui signifie qu'elles avaient des anticorps contre le virus — étaient, disait-on, malades ou en passe de l'être. Nous voici donc face à un autre niveau de canular en matière de dépistage du sida. Pourquoi les gens subissaient-ils un test de dépistage des anticorps contre le VIH ? Pourquoi cette méthode fut-elle supposée comme significative ? Pourquoi la présence d'anticorps contre le VIH n'était-elle pas considérée comme un signe de santé ?

Des millions de personnes dans le monde entier ont été soumises aux tests Elisa et Western Blot HIV — qui ont tous deux pour seul objectif de trouver des anticorps contre le VIH. Pourquoi ces tests ont-ils été élevés au rang de détecteurs de maladies actuels ou futurs ?

Alors que j'écrivais AIDS Inc.: Scandal of the Century en 1988, j'ai eu une conversation très intéressante avec un médecin des National Institutes of Health américains [institutions gouvernementales des États-Unis en charge de la recherche médicale et biomédicale - NdT]. Il m'a confié que lorsqu'un vaccin contre le VIH serait soumis à des tests pour être ensuite mis à la disposition du public, chaque personne ayant reçu le vaccin recevrait une lettre spéciale qui indiquerait qu'elle avait reçu le vaccin. La lettre préciserait aussi que si, à un moment quelconque, la personne était testée pour le VIH et qu'elle s'avérait être positive — ce qui signifiait qu'elle avait des anticorps contre le VIH — cela ne devait PAS être considéré comme un signe de maladie présente ou future. Dans ce cas, la personne était en fait immunisée contre le VIH, parce qu'elle aurait « reçu » ses anticorps du vaccin.

J'ai failli tomber de ma chaise. J'ai dit : « Laissez-moi comprendre. Si une personne développe naturellement des anticorps contre le VIH, on lui dit qu'elle est malade maintenant ou qu'elle va tomber malade. Mais si ses anticorps — les mêmes anticorps — contre le VIH proviennent d'un vaccin, on lui dit qu'elle est immunisée contre le virus. » Le médecin ne m'a pas donné de réponse claire. Cette contradiction explosive a été soigneusement ignorée par la presse grand public et par l'ensemble du réseau des établissements de lutte contre le sida. Selon les normes conventionnelles (pas les miennes), le but d'un vaccin est de conférer une immunité à un germe en produisant dans le corps des anticorps contre ce germe. C'est l'essence et la norme d'un « bon vaccin ». Et pourtant, dans le cas de la recherche sur le sida, tout cela a été mis sens dessus dessous. Soudain, être séropositif signifiait : le patient a des anticorps contre le VIH et c'est un signe qu'il va devenir très malade et très probablement mourir. Pour résumer : non seulement les deux tests de détection des anticorps contre le VIH (Elisa et Western Blot) ne sont pas fiables pour trouver les vrais positifs, par opposition aux faux positifs, mais l'IDÉE ENTIÈRE d'utiliser la présence d'anticorps comme un signe indubitable de maladie présente ou future est sans fondement. »

[1988/2006] La fraude massive derrière les tests du VIH par Jon Rappoport
Il a également écrit dans un article plus récent sur les tests d'anticorps du Covid :
Chicago Tribune, 3 avril : « Un nouveau type différent de test pour les coronavirus est en train d'être mis au point, qui aidera de manière significative dans la lutte pour endiguer la pandémie de Covid-19, selon les médecins et les scientifiques. Le premier test dit sérologique, qui détecte les anticorps contre le virus plutôt que le virus lui-même, a reçu l'approbation d'urgence jeudi de la Food and Drug Administration américaine. Le test sérologique consiste à prélever un échantillon de sang et à déterminer s'il contient les anticorps qui combattent le virus. Un résultat positif indique que la personne a eu le virus dans le passé et qu'elle est actuellement immunisée. »
...

Vous avez bien tout compris ? Un test positif signifie que le patient est maintenant immunisé contre le virus et peut sortir et retourner au travail. NBC News le 4 avril a une vision quelque peu différente : « David Kroll, professeur de pharmacologie à l'université du Colorado qui a travaillé sur les tests d'anticorps, a expliqué que les anticorps [un test positif] signifient que « votre système immunitaire [s'est] souvenu du virus au point de fabriquer ces anticorps qui pourraient inactiver toute infection virale future. Ce que le test ne peut pas faire, c'est vous dire si vous êtes actuellement atteint d'un coronavirus, si vous êtes contagieux, si vous êtes totalement immunisé — et si vous pouvez reprendre vos activités sociales en toute sécurité. Parce que le test ne peut pas être utilisé comme un test de diagnostic, il devrait être combiné avec d'autres informations pour déterminer si une personne est malade du Covid-19. » Non, ce n'est vraiment pas un test de diagnostic, il ne dit pas si le patient est immunisé et peut retourner au travail. Excusez-moi, quoi ?
...

Et voilà, nous y sommes. Le commentaire officiel à propos du test Covid issu de sources formelles. C'est oui, c'est non, et c'est peut-être. Les responsables de la santé publique peuvent dire ce qu'ils veulent sur les tests d'anticorps : un résultat positif signifie que vous êtes immunisé, que vous avez une infection, que vous marchez sur la Lune en mangeant un hot-dog.

En général, avant 1984, un test d'anticorps positif signifiait que le patient avait acquis une immunité contre un germe. Après 1984, la science a été complètement inversée ; un résultat positif signifiait que le patient « avait le germe » et n'était pas immunisé. Aujourd'hui, avec le Covid-19, si vous ne faites que lire les gros titres, un test positif signifie que le patient est immunisé ; mais si vous lisez quelques paragraphes, un test positif signifie que le patient est peut-être... peut-être pas... immunisé. Peut-être infecté, peut-être pas. Peut-être malade, peut-être pas. Et, en plus de tout cela, les tests d'anticorps sont connus pour être faussement positifs, en raison de facteurs qui n'ont rien à voir avec le virus testé.
Conclusion

Ainsi, alors que le monde se précipite sur les tests d'anticorps contre le Covid et la recherche des contacts, il est toujours utile d'examiner les bases du récit officiel, car il s'avère sans aucun doute qu'il est construit sur des mensonges et de la propagande. Un taux d'anticorps élevé n'est pas synonyme d'immunité, et peut signifier n'importe quoi selon l'interprétation qu'on en fait. Nous savons que le plan prévoit des certificats numériques et des passeports d'immunité. Ces passeports d'immunité seront-ils basés sur des tests d'anticorps — peu fiables — avant le lancement d'un vaccin Covid ? Restez vigilants et remettez en question tous les aspects de cette stratégie planifiée.

À propos de l'auteur : Makia Freeman est la rédactrice en chef du site de médias alternatifs/information indépendante The Freedom Articles et chercheuse principale à ToolsForFreedom.com. Makia est sur Steemit et FB.
Source de l'article initialement publié en anglais le 18 juin 2020 : The Freedom Articles
Traduction
: Sott.net

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Poursuivons au-delà de l'article qui précède...

Qu'en est-il de la réelle résistance face au Sras-Cov-2 ?

Une étude suggère que 60 % des personnes y résistent naturellement et que le virus lié à la maladie nommée Covid-19, peut-être cinq fois plus répandu qu'on ne le pensait, et donc cinq fois moins mortel. L'étude, menée par une équipe de scientifiques à l'hôpital universitaire de Zurich, a par ailleurs révélé que les anticorps spécifiques au Sras-Cov-2 n'apparaissent que dans les cas les plus graves, soit environ 1 sur 5.

Les auteurs en déduisent que les anticorps sont inexplicablement absents de la majorité des cas légers de Covid-19. Mais, étant donné l'inexactitude connue des tests de diagnostic et les tendances bien documentées à un sur-diagnostic par observation clinique, une autre explication possible semble être que l'absence d'anticorps est due au fait que les sujets n'ont jamais été infectés par le Sras-Cov-2 et que leurs symptômes « légers » de type refroidissement sont dus à un autre agent pathogène, comme... le rhume.

Dans un premier temps, l'OMS avait estimé que l'IFR du virus pouvait atteindre 3,4 %. Les modélisations basés sur ces chiffres se sont toutefois révélés extrêmement imprécis. En effet, le taux de mortalité par infection du Covid-19 se situe entre 0,07 et 0,20 %, ce qui correspond à la grippe saisonnière. Dans un article précédent, nous portions à l'attention du lecteur cette récente déclaration de l'université d'Oxford :
« En tenant compte de l'expérience historique, des tendances des données, du nombre accru d'infections dans la population au sens large et de l'impact potentiel d'une mauvaise classification des décès, on obtient une estimation présumée du taux de mortalité par infection du Covid-19 qui se situe entre 0,1 pour cent et 0,41 pour cent. »
Une autre étude réalisée le mois dernier a montré que jusqu'à 60 % des personnes pourraient être partiellement résistantes au Sras-Cov-2 sans jamais y avoir été exposées.
« Il est important de noter que nous avons détecté des cellules T CD4+ réactives au Sras-Cov-2 chez ~ 40 à 60 % des personnes non exposées, ce qui suggère une reconnaissance des cellules T à réaction croisée entre les coronavirus du rhume en circulation et le Sras-Cov-2. »
En d'autres termes, un grand nombre de personnes peuvent être immunisées ou résistantes à ce virus parce qu'elles ont déjà été infectées par d'autres coronavirus.

Cela n'est peut-être pas surprenant, étant donné la relation étroite entre la plupart des coronavirus, mais c'est un indicateur supplémentaire que ce virus, connu pour être inoffensif dans la grande majorité des cas, n'est ni particulièrement unique ni particulièrement dangereux. Les preuves continuent de s'accumuler quant à l'exagération massive des estimations initiales du danger que représente ce virus.

N'oublions pas non plus que les personnes infectées par le Covid-19 qui sont asymptomatiques (c'est-à-dire la plupart d'entre elles) ne propagent PAS le Covid-19, pas plus qu'il n'existe de propagation du virus dans les espaces collectifs (magasins, restaurants, coiffeurs, etc.), ni non plus dans les espaces extérieurs. Ajoutons que les masques sont inutilesvoire dangereux — et qu'une distanciation sociale de deux mètres n'est pas effective. Aucune donnée scientifique ne vient étayer ces mesures. Quant au confinement, c'est une telle aberration que nous en subirons les effets délétères pendant des dizaines d'années et ces effets causeront plus de morts et de destruction que le Covid-19 lui-même.
Virusocratie
© Inconnu
Nous vivons aujourd'hui dans un monde dominé par un Coronavirus : la « Virusocratie »

Nous sommes égarés dans une simulation, à la recherche de la « vérité » et de la réalité. On peut le faire entre autres en s'emparant des mots et en les analysant. Les mondialistes adorent utiliser les mots comme des armes et les épeler, voire les marteler. Ce sont des hypnotiseurs. Ils inventent à dessein de nouveaux mots, et nous forcent à les utiliser et à les ressentir. Des mots comme « Coronavirus » et « distanciation sociale », ou encore « Covid-19 », « testé positif », « vaccins » ou « sauver le monde ».

Les mondialistes écrivent des codes. Ils codent les « virus » et leur donnent une identité militarisée de type jeu vidéo. Dans ce jeu vidéo, toutes vos libertés ont été supprimées et il faut faire preuve de gratitude et de servitude. Le code viral l'emporte sur toutes les autres formes de politique. Rien ne peut le contrer. Surtout pas la « science ». Ce virus constitue aussi une métaphore générale à propos de la « désinformation » propagée, à savoir tout ce qui est extérieur à leurs doctrines religieuses, et non reconnaissable par la virologie classique.

Le code, les scénarios possibles, le mysticisme et la superstition sur la façon dont le virus se propage, ne doivent pas être remis en question. C'est une forme de socialisme environnemental post-mondialiste devenu maléfique qui exige que tout un chacun se soumette à une chance égale d'être tué par un virus. Si les mondialistes sont obsédés par la « propagation » et les « virus », c'est parce qu'ils veulent mettre un terme à toutes les formes de communication et d'échange d'informations qui menacent leur Nouvel Ordre Mondial.

Cette « Virusocratie » n'existe que grâce à la plus grande opération psychologique jamais utilisée sur des milliards d'individus au sein de laquelle la bonne science est évitée ou censurée, où les médias intimident les dissidents, dans laquelle les intérêts particuliers prévalent et où les médecins qui s'expriment sont qualifiés de « charlatans »... Et puisque nous parlons de charlatans :
« Le test PCR pour le Covid est aussi valable qu'un test de la Scientologie qui détecte votre personnalité et vous dit ensuite que vous devez lui donner tout votre argent. »

~ David Crowe, dans des propos rapportés auprès de Celia Farber