OF THE
TIMES
« Ce qui s'est passé aux temps de Noé se passera de la même façon quand viendra le Fils de l'homme. A cette époque avant le déluge, les gens mangeaient et buvaient, se mariaient ou mariaient leurs enfants jusqu'au jour où Noé entra dans l'arche; ils ne se rendirent compte de rien jusqu'au jour où le déluge vint et les emporta tous. »
Ils sont rigolos ces boches...Comme ils ont raté leur 'solution finale' en laissant fuir leurs juifs indigènes vers les usa, la Suisse et...
L'humanité n'y échappera probablement pas, il va falloir passer entre les gouttes pour la plupart des survivants...Personne n'arrêtera cette...
La raison est que : "l'Anti-Defamation League considère le slogan : “Du fleuve à la mer” comme antisémite et un cri de ralliement propalestinien...
Non non, Israel n'est pas un état fasciste . La preuve, ... étant donné que c'est "la seule démocratie de la région" . De fait ils arrivent même a...
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Reculer ne signifie pas "retourner au Moyen Age". Il signifie : souffrir. Souffrir physiquement. Souffrir moralement. C'est le chemin du malheur contrairement à une marche en avant qui est une voie du bonheur. Chaque pas en arrière est une souffrance de plus dans la descente aux enfers de l'affliction.
Faire reculer le Terrien est une manoeuvre très délicate du fait d'un manque de visibilité et du refus de la souffrance qu'il engendre. Il se fait avec la plus grande prudence, en faisant très attention à ce qu'il ne finisse là son existence sur Terre, bloqué en travers du chemin ne pouvant plus ni avancer à cause de l'impasse qui bouche l'avenir, ni reculer parce qu'il ne veut plus endurer la souffrance.
Une marche en arrière n'est qu'une succession d'affliction, d'angoisse, de désespoir et de désolation. C'est l'inverse de la marche en avant, marquée par l'allégresse, la confiance et l'espoir. Nous ne sommes pas dans ce scénario. Nous à contre sens. En marche arrière. Chaque pas est de l'affliction. Le moindre signe de marche avant, le moindre sentiment d'espoir sont proscris. Le processus de recul est enclenché. le Terrien ne peut pas revirer de situation. Il doit aller au bout de la voie du malheur. L'avant, la voie du bonheur, est bouché par une impasse funeste. L'impératif est de sortir par la voie de la désolation. C'est le seul moyen de ne pas disparaître de la surface de la Terre. Une fois atteint le fond du fond de la souffrance, une fois sorti de cette impasse funeste, seulement à ce moment il pourra repartir en marche avant dans une autre direction.
Un recul est hautement risqué. Il y a danger de mort permanent. Ce n'est pas un chemin naturel. Ce n'est pas naturel de tant souffrir. Il doit donc se faire par étapes. Lentement. Prudemment. Chaque pas doit être validé par la population.
Les pas en arrière induit par la théorie de genre, le mariage pour tous, la Gay Pride, la sexualité dans les écoles primaires, etc. sont validés. Succèdent les grands pas du Coronavirus, validés eux aussi par le port du masque, par les tests et par la vaccination. L'objectif est de créer de la souffrance partout dans le monde et dans toutes les couches des sociétés humaines. Plus grandes seront les enjambées plus rapide sera la sortie du Terrien par le bas.
Toutes les couches de la société sont impliquées dans la manoeuvre du malheur.
Les vieux. Leur mort engendre peu de souffrance. "Ils sont mieux là où ils sont" entend t-on dans la société. "C'est une délivrance pour eux". "Ils ont bien vécus". La possibilité de récupérer leurs biens et la paix retrouvée une fois qu'ils sont partis engendrent plus d'avantage que d'ennui. Sans intérêt donc dans un chemin d'affliction.
Les enfants. Innocents sans défense, pris au piège dans les écoles. Il y a là du contenu pour reculer à grand pas.
Pour les autres, le Covid-19 s'applique à faire reculer à grandes enjambées. L'artifice est le confinement. La foulée est la destruction de l'économie. Confinement sans destruction de l'économie n'est que bourreau sans guillotine. C'est la destruction de l'économie l'objectif. C'est lui qui engendre du malheur. Le confinement mondial en lui-même n'a aucun intérêt dans la marche du malheur.
La destruction de l'économie n'est pas encore le bout du chemin de la désolation. Les gens souffrent, oui, le Terrien recule, ok, mais la nourriture arrive toujours en abondance sur les étals. Il y a encore là matière à reculer : La destruction de la distribution alimentaire et son corollaire de famine. Une famine mondiale. Inutile de compter sur son voisin. Il est dans le même état de manque que toi.
Le stade ultime de la souffrance du Terrien sera atteint. Non, les "500 millions restants" ne seront pas les esclaves des forces du mal. La nature de métamatière saura supprimer les forces maléfiques le moment venu quand elle n'aura plus besoin d'elles, quand le Terrien sera parvenu au bout du bout du chemin du malheur. Elles les remplacera par les forces du bien. Ces forces le feront changer de direction et le remettront en marche avant dans un chemin largement ouvert sur l'univers de matière, couronné par sa rencontre avec d'autres fratries humaines extraterrestres, ses cousines.