Toutes personnes refusant de se soumettre à la vaccination pourraient se voir refuser l'accès au transport aérien, notamment, mais ce n'est qu'un début, puisque le ministre britannique des vaccins, Nadhim Zahawi, a également suggéré que les bars, restaurants, stades de sport et cinémas exigent bientôt de voir la preuve de vaccination avant d'autoriser les clients à y entrer.
Certificat de vaccination
© Inconnu
Selon le Daily Mirror, le ministre gallois de la santé, Vaughan Gething, a confirmé mercredi que
« les citoyens qui auront reçu le vaccin anti-Covid recevront une carte de vaccination de la taille d'une carte bancaire sur laquelle seront écrits à la main le nom du vaccin, la date de l'immunisation et le numéro de lot de chacune des doses administrées. Ces cartes serviront de rappel pour une deuxième dose et pour le type de vaccin, et elles donneront également des informations sur la manière de signaler les effets secondaires. »
En route pour le « Common Pass », un certificat numérique qui vérifie le statut vaccinal des individus, dont le concept est développé par le Forum économique mondial, qui a appelé à utiliser la pandémie comme une occasion de mettre en place « le Grand Reset ». Certaines compagnies aériennes — australiennes, sud-coréennes, néo-zélandaises — ont déjà indiqué qu'elles ne permettraient pas aux passagers de monter à bord des avions, en particulier pour les vols long-courriers, s'ils ne peuvent pas prouver qu'ils sont immunisés contre le coronavirus.

Ce que l'on a maintenant bien compris, et après le retrait de la loi sur la vaccination forcée au Danemark, c'est que les États n'auront pas à rendre obligatoire la vaccination — notamment anti-Covid, mais d'autres suivront très certainement ; il leur suffit d'imposer aux entreprises et aux prestataires de services la responsabilité d'exiger une preuve de vaccination. Les différents gouvernements donneront ainsi l'illusion à leurs populations de ne pas intervenir directement dans cette obligation vaccinale. On peut aussi en conclure que les voyages et toute forme de vie sociale normale devenant pratiquement impossibles sans vaccination, tous ceux qui refuseront de se faire vacciner pourraient de facto se retrouver dans une situation de confinement permanent.

Rien n'est toutefois gravé dans le marbre, et en dépit du fait que les élites mondialistes appuient sur tous les boutons en même temps pour garder un contrôle qu'il pensent détenir ad vitam æternam, ils font, dans leur hubris, fi des symptômes grandissants d'une crise majeure imminente que présente aujourd'hui notre planète :
« Dans Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique, nous démontrons une nette corrélation entre les crises au niveau humain/sociétal et les catastrophes naturelles de grande ampleur. Dans le passé, les périodes de déclin social généralisé et de chaos environnemental signalaient la fin d'un cycle de civilisation. Aujourd'hui, la question n'est donc plus de savoir si notre civilisation va s'effondrer d'une manière ou d'une autre, mais comment elle va s'effondrer : quelles catastrophes, d'origine cosmique ou humaine, vont porter le coup fatal ?

Selon cette perspective, il n'est sans doute pas prématuré de commencer à réfléchir à un nouveau monde, un monde meilleur, un monde conçu par et pour les personnes de conscience ; un monde qui pourrait perdurer, à la place de notre système actuel conçu par et pour les individus pathologiques, système qui semble destiné à s'effondrer sous le poids de sa propre oppression. »

Source : Le postimpérialisme : esquisse d'un nouvel ordre social
Ou alors, les élites mondialistes connaissent les changements majeurs à l'approche et en tiennent compte : ils peuvent très bien chercher à les « masquer » — sans mauvais jeu de mots — par tous les moyens, y compris une fausse pandémie :
« Confrontées à maintes reprises par le passé à la perspective de la fin du monde, les élites nationales se sont souvent retrouvées dans l'obligation de réprimer la panique publique — pour découvrir, trop tard, que les moyens habituels de contrôle échouent souvent. [...] Il semble aujourd'hui que l'histoire se répète : il a fallu l'ère spatiale pour raviver la voix platonicienne de la raison, mais elle émerge cette fois dans une tradition moderne anti-fondamentaliste, anti-apocalyptique, au sein de laquelle les gouvernements pourraient, comme auparavant, ne pas pouvoir exercer de contrôle... Les cyniques — ou sophistes modernes — diraient en d'autres termes que nous n'avons pas besoin de la menace céleste pour masquer les intentions de la guerre froide ; nous avons plutôt besoin de la guerre froide pour masquer les intentions célestes ! »

Source : « Le danger des boules de feu et des comètes pour la civilisation »