Ce n'est pas la première fois que les êtres humains carnivores-méchants sont pointés du doigt, mais ils le sont de plus en plus. Une nouvelle étude comparant l'empreinte environnementale des viandes Bio et des viandes dites « conventionnelles » — pour les scientifiques, ce terme est plus « acceptable » pour les masses que celui pas-beau-pas-ragoûtant « d'élevage industriel » — a récemment été publiée dans Nature Communications, et il s'avère — comme c'est « bien commode pour certains » comme nous le verrons plus loin — que selon cette étude, l'empreinte environnementale des viandes Bio ne serait pas moins élevée que les autres. La viande biologique est donc aujourd'hui attaquée pour sa soi-disant empreinte environnementale. Le grand cirque continue...
Vache de Salers
© InconnuVache de Salers
Cette étude indique ainsi que les productions Bio et non Bio auraient un impact identique sur l'environnement notamment pour le bœuf et le mouton. L'étude met aussi en avant le fait que l'empreinte environnementale des élevages de porcs dits « conventionnels » se révèle être plus importante que celle des élevages en agriculture biologique, et que les poulets issus de la filière non Bio auraient pour leur part moins d'impact sur l'environnement que leurs homologues Bio.

Parcourons dans un premier temps la description de cette étude effectuée par Breizh-Info dans leur article publié le 26 décembre, et nous reviendrons ensuite sur des considérations plus générales.
« Pour expliquer cette empreinte environnementale pour ce qui est de l'élevage conventionnel, les auteurs de l'étude expliquent que les principales émissions proviennent du fumier et du méthane produit par les vaches et moutons. L'équipe de chercheurs a aussi déterminé l'impact de la nourriture administrée aux animaux, à savoir le bilan carbone des céréales ou encore le fait que ces dernières soient en lien avec la déforestation, comme cela peut être le cas en Amérique du Sud.

Mais, si ces premières conclusions ne constituent pas réellement une nouveauté, celles au sujet de l'élevage biologique sont particulièrement rudes pour ce dernier. En effet, la publication souligne que, si les animaux élevés en bio ne sont pas nourris avec du fourrage importé mais souvent avec de l'herbe, cela a aussi pour conséquences le fait qu'ils produisent moins de viande et grandissent moins rapidement. Ce qui occasionne en contrepartie davantage d'émissions de gaz à effet de serre de la part de ces bêtes avant qu'elles ne soient abattues.

Avec cette mise à l'index de la viande produite y compris par la filière biologique, l'équation devient sérieusement compliquée à résoudre pour les carnivores. Difficile de ne pas y voir une chasse aux consommateurs de viande en bonne et due forme quand, dans le même temps, l'étude met aussi l'accent sur le faible impact environnemental des cultures végétales, en conventionnel comme en biologique par rapport à la production de viande.
Coût climatique de la viande
© Pieper et al., NatureLe coût climatique est le même pour la viande conventionnelle et la viande Bio
Par ailleurs, les chercheurs à l'origine de l'étude n'y vont pas par quatre chemins quant à leurs préconisations : ils suggèrent directement aux responsables politiques d'imposer des taxes sur la viande afin que, selon eux, les prix imposés aux consommateurs reflètent le coût environnemental réel des élevages.

Outre la culpabilisation des consommateurs de viande, ces scientifiques souhaitent ainsi leur faire payer leur supposée responsabilité dans le changement climatique de la planète. En allant acheter un morceau de bœuf chez votre boucher, serez-vous alors prêts à payer celui-ci beaucoup plus cher en compensation de votre implication indirecte dans une tempête ou une inondation de l'autre côté du globe ? Si cette idée loufoque peut prêter à sourire, elle fait pourtant son chemin dans certains milieux scientifiques et politiques.

Plus surprenant encore, les chercheurs en question ont aussi établi le niveau des hausses de prix nécessaire pour couvrir le « coût climatique » de la consommation de viande. Ils préconisent d'augmenter de 40 % les prix de la viande conventionnelle dans les magasins, et de 25 % ceux de la viande biologique. Si les auteurs de l'étude ont basé leur calcul sur la production alimentaire allemande, ils considèrent que ces résultats seraient similaires dans tous les pays de l'Union européenne.

Avec de telles conclusions, c'est donc une nouvelle attaque contre la consommation de viande qui est menée tandis que de nombreux éleveurs, notamment en Bretagne, ont réalisé des efforts considérables ces dernières années afin de transformer leur exploitation du mode conventionnel au biologique. »
Monde connecté
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Considérations plus générales


L'Ère du Covid n'a qu'un seul but et l'« écologie » a bon dos, mais ça c'est désormais évident : depuis qu'elle est devenue politique, l'écologie est aussi devenue totalitaire. Connaissant la main-mise des lobbies d'Agro-Pharma exercée depuis des années sur les — et/ou avec l'aide des — gouvernements, il ne fait presque aucun doute que cette taxe sera appliquée très prochainement. Les relations familières et d'intérêts désormais avérées entre le politique et l'industrie mondialiste préparent l'enfer pour les populations. Ils aimeraient — et s'y attellent — nous forcer à acheter de la viande artificielle qui contient d'énormes quantités de glyphosate et des produits qui visent à « remplacer les aliments nutritifs et sains par des créations de laboratoire génétiquement modifiées qui sont présentés comme saines et durables, ce qu'elles ne sont évidemment pas ».

Rappelons-nous que le philanthro-capitaliste Bill Gates exerce une influence majeure sur la technologie et la médecine — et sur les vaccins en particulier — mais qu'il dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale :
« La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement par le financement de projets et la mise en forme de l'expertise, mais aussi par le financement des plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole. Ce rôle de la Fondation Bill & Melinda Gates dans la prise de décisions politiques basées sur son modèle technologique de développement agricole dont elle est propriétaire est souvent négligé... »
Rappelons-nous que le Forum économique mondial prône, aidé par le livre écrit par son directeur Klaus Schwab, ce qui suit :
« la sécurité alimentaire mondiale ne sera atteinte que si les réglementations sur les aliments génétiquement modifiés sont adaptées pour refléter la réalité selon laquelle la manipulation génétique offre une méthode précise, efficace et sûre pour améliorer les cultures. »
Ils veulent mettre en place un régime alimentaire qui vise à
« réduire la consommation de la population mondiale en viande et en produits laitiers jusqu'à 90 % dans certains cas, et à la remplacer par des aliments fabriqués en laboratoire, des céréales et de l'huile. »
Il s'agit aussi au passage d'un marché juteux et d'une prise de contrôle par les entreprises mondialistes du système alimentaire, aidés par des soi-disant études « scientifiques », un domaine aujourd'hui corrompu jusqu'à la moelle. Ces mêmes « scientifiques » corrompus aident à « définir, discuter et faire avancer les questions clés de l'agenda mondial ».

Rappelons aussi que leur date butoir de 2030 pour la mise en place de leur Grande Réinitialisation n'est en rien arbitraire mais a tout à voir avec l'Agenda 2030 qui suit l'Agenda Santé 2020 :
« L'Agenda 2030 fera le lien entre toutes les dimensions du développement — y compris la santé — et l'environnement, la prospérité et toutes les interventions et politiques nécessaires pour la population. »
Rappelons enfin que la Grande Réinitialisation est supposée être globale :
« Ses organisations partenaires comprennent les plus grands acteurs de collecte des données, des télécommunications, de l'industrie de l'armement, de la finance, des produits pharmaceutiques, de la biotechnologie et de l'industrie alimentaire.

Les plans du Forum économique mondial pour la « réinitialisation » de l'alimentation et de l'agriculture comprennent des projets et des partenariats stratégiques qui favorisent les organismes génétiquement modifiés, les protéines fabriquées en laboratoire et les produits pharmaceutiques et chimiques industriels comme solutions durables aux problèmes d'alimentation et de santé. »
Tous ces plans concoctés de longue date ont un seul but majeur : le contrôle d'autant d'éléments de la vie planétaire que possible, par tous les moyens qu'ils jugeront bons d'utiliser — en passant par l'ingénierie sociale et la fenêtre d'Overton plus qu'abondamment utilisées depuis neuf mois dans les medias de masse et par les hommes et les femmes politiques pour faire accepter aux masses l'inacceptable et leur faire croire que les « miraculeux vaccins » nouvelle génération leur offriront la Liberté de retourner à leur vie d'avant.

Il n'y aura pas de retour à la « normale ». Il y aura d'autres confinements, en France le 3e est pour dans quelques jours, ailleurs il est déjà en place. On peut même avancer qu'il pourrait y avoir en 2021 au moins deux ou trois autres confinements-mesures-coercitives qui achèveront de mettre l'économie par terre ce qui permettra dès lors de lancer le grand chambardement-chaos qu'ils appellent Grande Réinitialisation en vue d'installer leur Nouvel ordre mondial. La question à un million d'euros : « Y parviendront-ils ? »