Joe Biden est devenu depuis le 20 janvier, le 46e président des Etats-Unis après une élection présidentielle qui s'est déroulée dans un contexte pour le moins inédit. Les crises sanitaire et économique liées au Covid-19 ont mis un coup d'arrêt au bilan de Donald Trump et les forces politiques et médiatiques du Système-État profond se sont liguées pour positionner à la Maison Blanche le duo de progressistes des démocrates, Joe Biden-Kamala Harris.
Trump Biden
Les derniers événements, entre « l'intrusion » au Capitole le 6 janvier faussement attribué aux Trumpistes et le refus de Donald Trump de participer à la cérémonie d'investiture, laissent un goût amer à un mandat qui s'achève avec de lourdes suspicions d'injustice et de fraudes électorales certainement sans précédent dans l'histoire des États-Unis. Les premières orientations politiques de Joe Biden l'État profond étaient déjà claires à travers son discours d'investiture, et de fait, on les connaissait avant tant les quatre années au pouvoir de Donald Trump ont mis des bâtons dans les roues dudit État profond.

Au programme de Joe Biden diligenté-manœuvré par l'État profond : légalisation de 11 millions de clandestins, gel de la construction du mur à la frontière mexicaine, et déclarations cosmétiques pour rejoindre les Accords de Paris sur le climat et remettre en place le financement de l'Organisation Mondiale de la Santé, c'est Bill Gates-Picsou qui va être content ! La constitution du gouvernement, placée sous le signe d'une apparente diversité — dont l'idéologie est tout sauf diverse, étant donné qu'ils sont tous placés là où ils sont pour servir les intérêts d'une bande de psychopathes — illustre également les élans sociétaux que ce mandat s'apprête à embrasser — et qui embraseront probablement les États-Unis et le reste du monde occidental avec eux, les chefs d'État européens (l'Allemagne en premier lieu) étant tous inféodés à l'Union européenne, elle-même inféodée à l'élite mondialiste psychopathe.

De son côté, Donald Trump emporte avec lui une partie des Étasuniens, ulcérés par l'arrivée au pouvoir dans des circonstances obscures de Joe Biden et de Kamala Harris, et conserve le soutien d'une partie du camp des Républicains. En quoi et de quelle manière le phénomène Trump pourrait-il se transformer ? L'ancien président pourrait-il viser un retour pour 2024 ? Gérald Olivier, chercheur à l'IPSE, journaliste spécialiste de la politique américaine, répond à toutes les questions posées pr TVLibertés.


Sources de l'article : Breizh-Info & Chaîne officielle TVLibertés