Voici le témoignage éclairant d'une infirmière avec preuves écran à l'appui qui nous donne un aperçu des moyens utilisés en vue d'augmenter de façon factice les « cas » soi-disant positifs au Sras-CoV-2.
Test PCR Covid-19
© Inconnu
Imaginez, demain, une obligation d'isolement dans un camp sur la base d'une telle fraude... Écoutez bien le conseil qu'elle nous donne à la fin, au cas où vous soyez amené à devoir effectuer un test PCR (quel qu'il soit).

Pour rappel :
« les « seuils de cycle » (Ct) sont le niveau auquel le test d'amplification en chaîne par polymérase (PCR), largement utilisé, peut détecter un échantillon du virus Covid-19. Plus le nombre de cycles est élevé, plus la charge virale de l'échantillon est faible ; plus les cycles sont faibles, plus le virus était répandu dans l'échantillon initial. »
Ces cycles d'amplification successifs, peuvent aller, voire dépassent 40. Or, plus on augmente le nombre de cycles, plus on sera certain de trouver plus de quelque chose, et même une très faible charge virale donnera un résultat positif — à quelque chose qui ressemble à un coronavirus, puisque ces tests détectent des particules virales, des séquences génétiques, mais PAS le virus en entier. Selon Bernard La Scola dans une étude publiée dans la revue European Journal of Clinical Microbiology & Infectious Diseases, « il n'est plus possible de cultiver du virus in vitro lorsque le cycle d'amplification dépasse 34 ». Multiplier ces cycles nécessitent en outre de nombreuses étapes complexes et sujettes à des erreurs, des fautes de stérilité et des contaminations.

Rappelons aussi que c'est sur ces tests bidonnés que se fonde le gouvernement pour nous imposer des mesures liberticides et nous assigner à résidence. Alors répétons-le : médicalement (mais pas politiquement), les tests RT-PCR nasopharyngés sont plus que sujets à caution.

Rappelons encore que l'OMS admet que les tests RT-PCR à seuil de cycle élevé produisent des faux positifs pour le Covid-19.

Et que les tests antigéniques produisent encore plus de faux positifs que les tests RT-PCR. Le 17 décembre 2020, les autorités sanitaires françaises ont été alertées d'un nombre trop important de faux positifs concernant le test antigénique VivaDiag Test Rapide SARS-CoV-2 Ag, commercialisé par VivaDiag. La Direction Générale de la Santé a donc décidé la mise en quarantaine du produit dans les officines et tous les autres lieux distribuant le dispositif. Ce qui est détecté ne sert que la poursuite du récit mensonger d'une « pandémie » qui permet d'asservir les populations, victimes ignorantes d'un monstre tentaculaire.