Macron l'a presque dit, mais j'extrapole : Croix de bois croix de fer, si je meurs j'irai en enfer ; un jour peut-être, mon conseil scientifik examinera la possibilité cosmique que les masques ridicules qui vous ont fait perdre la face cessent de polluer nos égouts zékolos, ainsi que notre RF sans arts ni culture dont il importe d'éradiquer l'esprit résiduel et nettoyer les courageux survivants...

masque papillon
Merci, merci, ô grand Masquailleur !

Le mot masque n'a pas d'origine latine, ni celtique ni germanique ni arabe. En Occitanie, l'ancien mot masco, supposé pré-indoeuropéen, fleure le grigri énigmatique, vaguement diabolique.

Voyons ce qu'en dit le site Recherches Entrecroisées :
« La racine mask- est à l'origine de trois groupes de mots avec les sens :

1. sorcière, p.ex. à Alès : masquo « femme vieille, laide et méchante ; fille espiègle » ; en Auvergne masque « prostituée ». Marseille masco « papillon tête de mort, dont la venue est prise en mauvais augure ».
2. noircir avec de la suie, p.ex. anc. français maschier « feindre ; cacher » ; occitan mascoutá « cacher le défaut d'une marchandise » ; (...) mascara « fard de cils ».
3. masque, p.ex. masque « fard » ; masquer « cacher » ; languedocien mascarado « troupe de gens déguisés et masqués »
Don Juan dans une œuvre de Barbey d'Aurevilly traite de « petite masque » (petite coquine, petite fadette) une fillette qui ne l'aime pas car il est le séducteur de sa mère. Que dit-il d'elle ?
« La petite masque qui avait un si joli sourire pour tout le monde repliait son sourire pour moi, fronçait âprement les sourcils, et, à force de se crisper, devenait, d'une petite masque, un vrai masque ridé de cariatide humiliée ».
« Le meilleur régal du diable, c'est une innocence » en déduit Barbey. Un innocent, c'est parfois aussi un simplet qui gobe tout ce qu'on lui dit. Dans les montagnes de l'Hubac, on ajoute :
« Être emmasqué, c'est être ensorcelé par un génie malfaisant qui s'acharne sur soi quoi qu'on fasse, et s'emploie le plus souvent lors de parties de cartes ou de boules qu'on n'arrive pas à gagner. »
Il est clair que le masque forcé sur les foules ne sert pas à filtrer des virus, est même nuisible en extérieur. C'est une chambrette à gaz individuelle, de l'avis des connaisseurs. Alors pourquoi nous l'impose-t-on depuis un an ?

Blachier, l'ange annonciateur de sa sainteté Véran, répond à la télé, avec son éternelle assurance tous risques, à peu près ça : l'exécutif aurait l'air complètement khon, s'il se résolvait à vous laisser respirer librement, tout soudain. Khon c'est à dire susceptible de rendre des comptes pour haut degré de conterie, avec dommages et intérêts subséquents. Et l'exécutif n'aime pas ça. Donc vous le gardez en pleine face, le slip. Pas de panique. Progressivement, avec douceur, on vous l'ôtera à la découpe, si vous êtes bien sages et bien inoculés.

Prévoyez donc, et ce n'est pas du blachier − quand nous en serons au joli temps des prunes − une permission audacieuse venant de leurs Excellences saniterrifiques d'exhiber par morceaux votre face indécente. Cet étévous découvrirez votre menton. À l'automne la lèvre inférieure. En hiver la supérieure avec restriction-sourire détaillée en dix points par une attestation à fournir, et interdit de montrer les dents. À la saint-glinglin une narine débloquée ; puis deux quand les poules auront assez caqueté..., mais attention : pas d'inspiration intempestive, brutale et trop oxygénée, sinon ...

Enfin, d'ici 2024, l'élastique restant pourra se porter sur le cou, en collier, simple ou dentelé, décoré, mignon, de toute couleur, mais obligatoire. Qu'on puisse vous achever au lacet, puisque vous êtes une bande de riens. La procédure à tâtons démascatoire sera correctement surveillée par votre planton de supermarché aboyeur et tout fiérot, promu flic assermenté, juge, huissier, médecin sans aucun mandat de perquisition ni d'inquisition !

Une autre option que je suggère à notre très chère société privée de déconfinement en exercice : le tampon facial pourrait se porter en bonnet colle-à-microbes, car le virus circule et s'accroche à vos cheveux dés qu'il vous renifle dans l'air dangereux des parcs, jardins et plages, sachez-le.
Les anciens par contre devront s'enfiler en CDI la cabine intime jusqu'aux yeux. On leur a tellement dit : t'es pas beau, tu t'attardes un peu trop sur la terre des autres, tu réchauffes la planète avec le froid de tes vieux os ! qu'ils ont envie de se cacher. Pour qu'ils oublient le gazouillis des gamines, j'entends ce qu'ils entendent : tu veux qu'elles te collent la mort, ces petites masques ? Mais tout le monde traduit cette menace à l'envers, par : les enfants, n'approchez pas les personnes âgées ! La télé dit qu'ils postillonnent !

Depuis Epstein et ses vieux clients, que voulez-vous, les gens font des amalgames. Car les enfants, c'est tout frais, tout mignon . Qui peut les prendre pour des bombes à virus, à part quelques tordus qui voudraient bien se les accaparer !

Le masque est une aubaine pour les empocheurs car, brièvement supportable et servilement toléré, il sert d'étendard multiporté. Publicitaire gratuit, chaque citoyen devient un homme-sandwich, et même ses enfants bossent pour la clique au Mac, payant de leur santé mentale et physique en guise de rémunération. La propagande hurle en tous lieux COVIDE !!!! à la gueule et sur la gueule des bovidés. Bovidés, vous dites ? Covidés, voyons ! Nous n'avons ni cornes ni sabots pour ruer un peu dans l'attelage. Bovidés pourtant, parce que l'origine du mot vaccin, c'est vache : « Forme masculine substantive refaite sur le latin vaccinus, -a, -um (de la vache) d'après le terme anglais vaccine » (CNRTL).

Vacciner , vachiser ? Faire de l'être humain essentiellement créatif et entreprenant, soit un intégrant d'étable, soit un commissaire du quotidien vigilant (mort aux vaches) ? Soit un mort en sursis − nous le sommes tous − mais avec horloge interne modifiée ? D'ailleurs, je l'ai lu : au Val d'Aran dans le sud de la France, « maskart (-arda) est le « nom d'une race bovine dont la tête est noire », en danger de disparaître, comme à peu près tout ce qui a fait ou nourri la France.

Cette politique de sanitaires & Bain glacé a, dit-on, pour finalité la vaccination intensive de la populace, ses deux-tiers si possible.

Qui sont ces deux tiers à inoculer, méprisés au point qu'on les traite en cobayes sans qu'ils ne mouftent ? Ce sont les Inutiles et les virtuellement-Inutiles, vous répliqueront les inoculeurs. Les décrétés « inutiles » par les authentiques inutiles ne le sont pas tant que ça, puisqu'ils incluent une partie de la population active encore autonome, précieuse en fait. L'éventuelle excellence du modeste entrepreneur à l'ancienne est à saisir au vol (caractérisé), avec sa capacité de dur et intelligent travail en prime ; il fera un tâcheron profitable.

Il suffira de créer des centres commerciaux et artisanaux géants où chaque chef de secteur - ex chef de sa propre entreprise − gérera en saint martyr surmené la boutique franchisée ou la production, tel un métayer, sans retour ni trompette !

Le tiers restant de la population, non vaccinable (pas la peine d'essayer, ce sont des têtes de mule), englobe les irréductibles avertis ou méfiants : personnel soignant, de défense et de police, chefs de PME-TPE, ainsi que tous les sceptiques, convaincus, réfléchis, désespérés et laissés pour compte que le système ne peut attaquer de front par l'obligation brute ou le passeport vaccinal.

Plus de la moitié des Français soutient dans le plus épais silence mortel ces (ses) hérauts, voire héros. C'est la guerre des boutons − de fièvre − entre septiques et sceptiques, des affolistes contre les rassuristes, guerre qui tournera climatique une fois la vaccination suffisamment appliquée, parce que ça commence à bien faire, la mascarade.

LIENS :

le site Recherches Entrecroisées

Don Juan dans une œuvre de Barbey d'Aurevilly

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