Byram Bridle, canadien, est un immunologiste viral passionné par l'amélioration de la vie grâce à deux voies de recherche (1) la conception et à l'optimisation de nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers et (2) sur l'étude des réponses de l'hôte aux virus et autres stimuli inflammatoires.
Il est donc tout à fait normal que dans le cadre de ses travaux, il se soit penché sur le coronavirus et il déclare :
« Jusqu'à récemment, nous n'avions jamais pensé que les protéines Spike pouvaient être toxiques ! Les vaccins ARNm qui ont été testés pour la première fois sur des animaux et dont les études n'ont jamais été rendues publiques, montrent que les nanoparticules d'ARNm ne restent pas localement au site de ponction dans le tissu musculaire, comme supposé et revendiqué par les fabricants, mais vont dans les organes à des concentrations parfois dramatiques, où ils sont transférés de cellules en cellules et absorbés en continu. »Les chercheurs du groupe du Pr Bridle ont donc découvert que la protéine Spike du vaccin est une toxine et crée des dommages cardio-vasculaires (le coronavirus a une protéine Spike qui permet d'entrer dans le corps). On croyait que l'injection dans l'épaule restait localisée. Mais une étude a observé où va la protéine après : dans le sang, s'accumule dans le foie, les ovaires. C'est pourquoi on l'utilise en thérapie génique vaccinale, on la fabrique, notre système la détecte et se défend contre elle, en théorie.
En pratique, on a découvert que la protéine pose problème : 13 jeunes ont reçu la thérapie génique Moderna et on a observé que la protéine Spike est passée dans leur sang chez 11 des 13 jeunes. En passant dans le sang, elle peut se lier aux récepteurs de nos plaquettes pouvant provoquer coagulation, caillots, problème neurologique. Ce qui explique tous les effets secondaires graves que l'on a pu observer (thromboses et autres caillots).
Ses travaux le mènent à conclure :
« Nous avons fait une erreur. La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l'homme. Il est même transmis par le lait maternel aux enfants allaités. »La vidéo de l'interview avec les sous-titres : [sous-titrage en français par ivermectine-covid.ch]
L'étude est publiée et en cours d'évaluation par les pairs. La voici : étude (PDF)
En réaction à cette recherche, le Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine déclare :
« Au nom du principe de précaution, il faut arrêter immédiatement toutes les vaccinations Covid-19 utilisant la protéine Spike. »Un article du site LifeSiteNews a documenté cela en détail, traduit ci-après [traduction revue et corrigée par SOTT - NdE] :
Une nouvelle étude terrifiante montre que la protéine Spike du vaccin COVID-19 pénètre de manière inattendue dans la circulation sanguine, ce qui est une explication plausible aux milliers d'effets secondaires signalés de caillots sanguins, de maladies cardiaques, de lésions cérébrales et de problèmes de reproduction, a déclaré la semaine dernière un chercheur canadien sur les vaccins contre le cancer.
Bridle, chercheur en vaccins ayant reçu une subvention gouvernementale de 230 000 dollars en 2020 pour la recherche sur les vaccins COVID, a déclaré que son groupe de scientifiques internationaux avaient déposé une demande d'informations auprès de l'agence de réglementation japonaise [équivalent de l'ANSM en France et de la FDA aux États-Unis - NdE] pour avoir accès à ce qu'on appelle l'« étude sur la biodistribution ». Bridle a déclaré :
« C'est la toute première fois que des scientifiques découvrent où vont ces vaccins à ARN messager [ARNm] après la vaccination. L'hypothèse selon laquelle [la protéine Spike] resterait dans le muscle de l'épaule est-elle sûre ? Pour faire court, la réponse est : absolument pas. C'est très déconcertant. »Les chercheurs sur les vaccins avaient avancé l'hypothèse que les nouveaux vaccins à ARNm COVID se comportaient comme des vaccins « traditionnels » et que la protéine Spike du vaccin - responsable de l'infection et de ses symptômes les plus graves - resterait principalement sur le site de vaccination, au niveau du muscle de l'épaule. Au lieu de cela, les données japonaises ont montré que la tristement célèbre protéine Spike du coronavirus pénètre dans le sang, où elle circule pendant plusieurs jours après la vaccination, puis s'accumule dans les organes et les tissus, y compris la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales, et dans des concentrations assez élevées dans les ovaires. Bridle a déclaré :
« Nous savons depuis longtemps que la protéine Spike est une protéine pathogène. C'est une toxine. Elle peut causer des dommages à notre corps si elle passe dans la circulation. »La protéine Spike du SRAS-CoV-2 est ce qui lui permet d'infecter les cellules humaines. Les fabricants de vaccins ont choisi de cibler la protéine unique, permettant aux cellules de la personne vaccinée de fabriquer la protéine, ce qui, en théorie, provoquerait alors une réponse immunitaire à la protéine, l'empêchant d'infecter les cellules.
Un grand nombre d'études ont montré que les effets les plus graves du SRAS-CoV-2 (le virus responsable du COVID-19), tels que les caillots sanguins et les saignements, sont dus aux effets mêmes de la protéine Spike du virus. Bridle ajoute pour ses auditeurs [lors de son interview à la radio] :
« Ce qui a été découvert par la communauté scientifique, c'est que la protéine Spike à elle seule est presque entièrement responsable des dommages sur le système cardiovasculaire si elle passe dans la circulation. »Des animaux de laboratoire à qui l'on avait injecté de la protéine Spike purifiée dans la circulation sanguine ont développé des problèmes cardiovasculaires, et il a également été démontré que la protéine Spike traversait la barrière hémato-encéphalique et causait des dommages au cerveau.
Une grave erreur, selon Bridle, a été de croire que la protéine Spike ne serait pas libérée dans la circulation sanguine. « Maintenant, nous avons des preuves claires que les vaccins qui déclenchent la production de cette protéine par les cellules de nos muscles deltoïdes - que le vaccin lui-même, plus la protéine - entrent dans la circulation sanguine », a-t-il déclaré.
Bridle a cité l'étude récente qui a détecté la protéine SARS-CoV-2 dans le plasma sanguin de 11 des 13 jeunes professionnels de santé qui avaient reçu le vaccin COVID-19 de Moderna. Trois d'entre eux présentaient des niveaux détectables de protéine Spike. Une protéine « sous-unité » appelée S1, faisant partie de la protéine Spike, a également été détectée. La protéine Spike a été détectée en moyenne 15 jours après la première injection. Chez un patient, la protéine Spike était détectable à J+29, le lendemain de la deuxième injection, et avait disparu deux jours plus tard.
Effets sur le cœur et le cerveau
Une fois dans la circulation sanguine, la protéine Spike peut se fixer à des récepteurs ACE2 spécifiques qui se trouvent sur les plaquettes sanguines et les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins.
« Lorsque cela se produit, cela peut avoir deux conséquences : l'agglutination des plaquettes, ce qui peut causer des caillots sanguins. C'est précisément la raison pour laquelle nous avons constaté des troubles de la coagulation associés à ces vaccins. La deuxième conséquence sont les hémorragies. »Bridle a également déclaré que la protéine Spike circulant dans le sang expliquerait les problèmes cardiaques récemment signalés chez des jeunes ayant reçu le vaccin.
« Les résultats de cette étude Pfizer "fuitée" qui a retracé la biodistribution de l'ARNm du vaccin ne sont pas surprenants, mais les implications sont terrifiantes », a déclaré Stephanie Seneff, chercheuse en chef au Massachusetts Institute of Technology, à LifeSiteNews. Il est maintenant clair que le contenu du vaccin est administré à la rate et aux glandes, y compris aux ovaires et aux glandes surrénales. Seneff ajoute :
« La protéine Spike libérée est rejetée dans le milieu, puis finit par atteindre la circulation sanguine, causant des dommages systémiques. Les récepteurs ACE2 sont communs dans le cœur et le cerveau, et c'est ainsi que la protéine Spike provoque des problèmes cardiovasculaires et cognitifs. »Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont récemment annoncé qu'ils étudiaient des signalement de maladies cardiaques « bénignes » suite à une vaccination COVID-19 ; la semaine dernière, 18 adolescents dans l'État du Connecticut ont été hospitalisés pour des problèmes cardiaques qui se sont développés peu de temps après avoir reçu des vaccins contre le Covid-19.
Le vaccin d'AstraZeneca a été interrompu dans un certain nombre de pays et n'est plus recommandé pour les jeunes en raison de son lien avec des caillots sanguins potentiellement - et effectivement - mortels, mais les vaccins COVID à ARNm sont également liés à des centaines de signalements d'événements de caillots sanguins.
La FDA a mis en garde contre les dangers de la protéine Spike
Le rhumatologue pédiatrique J.Patrick Whelan avait averti un comité consultatif sur les vaccins de la Food and Drug Administration de la possibilité que la protéine Spike dans les vaccins COVID puisse causer des dommages microvasculaires entraînant des dommages au foie, au cœur et au cerveau « de manières qui n'ont pas été évaluées lors des tests d'innocuité. »
Alors que Whelan n'a pas contesté la valeur d'un vaccin contre le coronavirus qui contribuerait à stopper la transmission de la maladie (ce qu'aucun vaccin COVID en circulation n'a démontré), il a déclaré :
« ce serait bien pire si des millions de personnes devaient souffrir de dommages durables ou même permanents au niveau de leur microvascularisation cérébrale ou cardiaque en raison de l'incapacité à évaluer à court terme un effet involontaire des vaccins à base de protéines Spike complètes sur d'autres organes. »La protéine Spike associée au vaccin dans la circulation sanguine pourrait expliquer une myriade d'événements indésirables signalés liés aux vaccins COVID, y compris les 4 000 décès à ce jour et près de 15 000 hospitalisations, signalés au système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS) du gouvernement américain à la date du 21 mai 2021. Puisqu'il s'agit d'un système de signalement passif, ces rapports ne sont probablement que la pointe de l'iceberg des événements indésirables, car une étude de Harvard Pilgrim Healthcare a révélé que moins d'un pour cent des effets secondaires que les médecins devraient signaler chez les patients après la vaccination sont effectivement rapportés à VAERS.
Bébés allaités, enfants, adolescents et personnes fragiles sont les plus à risque
Bridle a déclaré que la découverte de la protéine Spike induite par le vaccin dans la circulation sanguine aurait des implications pour les programmes de don du sang.
« Nous ne voulons pas de transfert de ces protéines Spike pathogènes à des patients fragiles qui sont transfusés avec ce sang. »Ce spécialiste des vaccins a également déclaré que les résultats suggéraient que les bébés allaités dont les mères avaient été vaccinées risquaient d'absorber des protéines Spike COVID provenant du lait maternel.
Bridle a ajouté que « toutes les protéines sanguines se concentrent dans le lait maternel » et « nous avons trouvé des preuves de nourrissons allaités souffrant de troubles de la coagulation dans le tractus gastro-intestinal » dans VAERS.
Bien que Bridle ne l'ait pas cité, un rapport VAERS décrit un nourrisson de cinq mois allaité dont la mère a reçu une deuxième dose du vaccin Pfizer en mars. Le lendemain, le bébé a développé une éruption cutanée et est devenu inconsolable, a refusé de téter et a développé une fièvre. Le rapport indique que le bébé a été hospitalisé avec un diagnostic de purpura thrombocytopénique thrombotique, une maladie sanguine rare dans laquelle des caillots sanguins se forment dans de petits vaisseaux sanguins dans tout le corps. Le bébé est décédé.
Ces nouvelles recherches révèlent également de graves implications pour les personnes pour qui le SRAS Coronavirus 2 n'est pas un agent pathogène à haut risque, et cela comprend tous nos enfants.
Effet sur la fertilité et la grossesse ?
La forte concentration de protéines Spike trouvée dans les testicules et les ovaires dans les données secrètes de Pfizer publiées par l'agence japonaise soulève également des questions. « Allons-nous rendre les jeunes stériles ? », demande Bridle.
Il existe des milliers de signalements de troubles menstruels chez des femmes qui avaient reçu un vaccin COVID-19, et des centaines de signalements de fausses couches chez des femmes enceintes vaccinées, et de troubles des organes reproducteurs chez les hommes.
Violente campagne de dénigrement
En réponse à une requête, Bridle a envoyé un communiqué à LifeSiteNews lundi matin, affirmant que depuis son interview radio, il avait reçu des centaines de courriels positifs. Il a également ajouté :
« une violente campagne de dénigrement a été lancée contre moi. Cela comprenait la création d'un site Web diffamatoire utilisant mon nom de domaine. Cette époque est telle qu'un universitaire ne peut plus répondre aux questions légitimes des gens avec honnêteté et en se fondant sur la science sans craindre d'être harcelé et intimidé. Cependant, il n'est pas dans ma nature de permettre que des faits scientifiques soient cachés au public. »Il a joint un bref rapport décrivant les principales preuves scientifiques à l'appui de ce qu'il a déclaré lors de son interview. Ce rapport a été rédigé en collaboration avec ses collègues de la Canadian COVID Care Alliance (CCCA) - un groupe de médecins, scientifiques et professionnels canadiens indépendants dont le but déclaré est de
« fournir des informations factuelles de qualité supérieure sur le COVID-19, dans le but de réduire les hospitalisations et de sauver plus de vies. »Un point central de son communiqué était les risques pour les enfants et les adolescents, qui sont la cible des dernières stratégies de marketing vaccinal, y compris au Canada.
Au 28 mai 2021, on comptait 259 308 cas confirmés d'infection par le SRAS-CoV-2 chez les Canadiens de 19 ans et moins. Parmi ceux-ci, 0,048 % ont été hospitalisés, mais seulement 0,004 % sont décédés, selon le communiqué de la CCCA.
« La grippe saisonnière est associée à une maladie plus grave que le Covid-19. »Compte tenu du petit nombre de sujets de recherche jeunes dans les essais de vaccins de Pfizer et de la durée limitée des essais cliniques, la CCCA a déclaré que les questions concernant la protéine Spike et une autre protéine du vaccin doivent trouver une réponse avant que les enfants et les adolescents ne soient vaccinés, y compris la question de savoir si la protéine Spike du vaccin traverse la barrière hémato-encéphalique, si elle interfère avec la production de sperme ou l'ovulation, si elle traverse le placenta et affecte un bébé en développement, ou si elle se trouve dans le lait maternel.
LifeSiteNews a envoyé à l'Agence de la santé publique du Canada la déclaration de la CCCA et a demandé des réponses concernant les inquiétudes de Bridle. L'agence a répondu qu'elle travaillait sur ces questions, mais n'a pas envoyé de réponses avant la date de publication.
Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson n'ont pas répondu aux questions soulevées par Bridle. Pfizer n'a pas répondu aux questions permettant de déterminer depuis combien de temps la société était au courant des données de recherche publiées par l'agence japonaise et montrant la présence de la protéine Spike dans les organes et les tissus des individus vaccinés.
À propos du Dr Bridle
Sur son site internet, le Dr Bridle est présenté comme un immunologiste virologue passionné par l'amélioration de la vie grâce à deux voies de recherche. Un des volets de son programme de recherche est dédié à la conception et à l'optimisation de nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers. Le but de son équipe de recherche est d'exploiter la puissance naturelle du système immunitaire d'un patient pour éliminer ses propres cellules cancéreuses. Cela représente la thérapie personnalisée ultime et détient le potentiel de traiter les cancers plus efficacement, en toute sécurité et à moindre coût que les options actuelles. Le deuxième volet de son programme de recherche se concentre sur l'étude des réponses de l'hôte aux virus et autres stimuli inflammatoires. Cela a des implications pour le traitement des maladies infectieuses et des troubles induits par l'inflammation. Ces deux programmes ont été unifiés de manière unique. Le laboratoire Bridle exploite son expertise dans la fabrication de vaccins anticancéreux puissants et combine cela avec son intérêt pour l'immunité antivirale pour développer des vaccins pour se protéger contre les maladies infectieuses telles que celles causées par des coronavirus hautement pathogènes. Le mentorat de la prochaine génération de scientifiques canadiens est une responsabilité que le Dr Bridle prend très au sérieux. Il considère également comme un privilège d'enseigner aux étudiants des programmes de doctorat en médecine vétérinaire, des cycles supérieurs et du premier cycle de l'université de Guelph.
Centre d'intérêts de recherche du laboratoire
Le programme de recherche du laboratoire Bridle comporte deux volets :
Le premier consiste à développer de nouvelles biothérapies hautement ciblées pour le traitement des cancers. Dans un effort pour tuer les cellules malignes avec un minimum de dommages des spectateurs aux tissus normaux, deux approches sont combinées: (a) l'immunothérapie anticancéreuse qui dirige le pouvoir du système immunitaire d'un patient contre sa ou ses propres tumeurs et (b) la virothérapie oncolytique, qui utilise des virus qui se répliquent et ne tuent que les cellules cancéreuses. La spécificité, la capacité de ciblage systémique et les fenêtres de traitement courtes de ces thérapies promettent que les patients cancéreux pourraient être traités efficacement avec des effets secondaires réduits et à un coût minime. L'objectif est de traduire les itérations les plus prometteuses de ces thérapies en essais cliniques chez les animaux de compagnie comme tremplin vers des tests sur des patients humains.
L'étude des réponses de l'hôte aux virus est un deuxième objectif du laboratoire. Un domaine d'intérêt est le développement d'une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents aux tempêtes de cytokines induites par les virus. L'équipe de recherche du Dr Bridle a identifié un rôle essentiel de la signalisation par le récepteur de l'interféron de type I dans la régulation négative d'un vaste réseau de cytokines. Les réponses des cytokines aux virus sont souvent très différentes entre les femmes et les hommes et le groupe de laboratoire Bridle cherche à comprendre pourquoi. À l'intersection de ces deux programmes, se trouve une initiative de recherche visant à modifier les plateformes optimisées de vaccination contre le cancer de l'équipe de recherche pour cibler le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoC) -2, qui est l'agent causal de la maladie à coronavirus identifié à la fin de 2019 (COVID-19).
Financement de la recherche :
Le laboratoire Bridle est ou a été financé par Instituts de recherche en santé du Canada, Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), Institut de recherche Terry Fox, Société canadienne du cancer, Société de recherche sur le cancer, Fondation canadienne du cancer du sein, Fonds de recherche rapide COVID-19 de l'Ontario, Université de Guelph / Collège vétérinaire de l'Ontario / Département de pathobiologie Financement de démarrage COVID-19, Centre national d'excellence en biothérapies pour le traitement du cancer (BioCanRx), OVC Pet Trust, Le Fonds de lutte contre le cancer du ciel bleu souriant, Fondation canadienne pour l'innovation - Fonds des leaders John R. Evans, Fondation canadienne pour l'innovation - Fonds d'exploitation des infrastructures, Fonds de recherche du ministère de la Recherche et de l'Innovation de l'Ontario - Programme d'infrastructure de recherche.
Le laboratoire Bridle fait partie du Consortium canadien du virus oncolytique, Réseau de centres d'excellence en biothérapies pour le traitement du cancer (membre fondateur), Société canadienne d'immunologie, Société canadienne de virologie, Institut de recherche Terry Fox, Institut d'investigation comparative sur le cancer, Groupe de l'ostéosarcome du chien: biomarqueurs / biothérapie de la néoplasie (DOGBONe), One Health Institute.
Source de l'article publié le 1er juin 2021 : FranceSoir
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