L'étude a été menée par des chercheurs de l'Université Brown et a porté sur 672 enfants nés à la fois avant et après le début de la pandémie, en mars 2020.
« Au cours de la décennie précédant la pandémie, le score moyen de QI aux tests standardisés pour les enfants âgés de trois mois à trois ans tournait autour de 100, mais pour les enfants nés pendant la pandémie, ce chiffre a dégringolé à 78 », selon l'étude.
Les chercheurs ont conclu que la principale raison de l'altération du fonctionnement cognitif était le manque de stimulation et d'interaction à la maison.
Selon l'auteur principal de l'étude, Sean Deoni, « la capacité à rectifier le tir diminue à mesure que l'enfant vieillit », ce qui signifie que cette base inférieure risque d'avoir un impact sur l'enfant tout au long de l'adolescence et jusqu'à l'âge adulte.
Comme le note Michael Curzon, tous ces facteurs ont été exacerbés par les mesures d'enfermement qui tenaient les bébés et les jeunes enfants à l'écart des autres enfants, ainsi que par les masques.
« Les enfants nés au cours de la dernière année de confinement - à un moment où le gouvernement a empêché les bébés de voir des parents âgés et d'autres membres de la famille élargie, de socialiser dans les parcs ou avec les enfants des amis de leurs parents, et d'étudier les expressions des visages derrière les masques des habitants dans les espaces publics intérieurs - ont des performances verbales, motrices et cognitives globales considérablement réduites par rapport aux enfants nés avant, selon une nouvelle étude américaine. Les tests sur l'apprentissage précoce, le développement verbal et le développement non verbal ont tous donné des résultats très inférieurs à ceux des années précédant les confinements. »L'étude a été menée dans l'État de Rhode Island et portait sur des enfants majoritairement blancs.
Le sort des enfants issus de milieux socio-économiques moins favorisés, dont la plupart ne sont pas blancs, sera probablement bien pire.
Commentaire : Ou non. L'auteur de l'article aurait-il des préjugés ?
Cependant, ne vous attendez pas à ce que de nombreux gauchistes, qui ont en général soutenu avec véhémence les confinements draconiens, s'en soucient beaucoup.
Commentaire : Ou non. L'auteur de l'article aurait-il des préjugés ? "
Aux USA notamment, il a été démontré que les populations déjà défavorisées, telles que les ethnies noires, ont davantage pâti de la crise que les autres. Il ne faut donc y voir aucun racisme. Le paradoxe étant que la vaccination forcée accentue ce problème, qui finit par évoquer l'époque de la ségrégation anti-noire : en effet, les sanctions contre les non vaccinés pèsent davantage sur les noirs que sur les autres, moins vaccinés. Ce problème a été dénoncé par la maire de Boston qui y voyait un parallèle avec les autorisations de déplacement des noirs à l'époque de l'esclavage.
Certes, tout ça se place dans le contexte de l'hystérie wokeniste américaine, mais n'en est pas moins réel.
Dedefensa.org pose ironiquement le problème du racisme de la pandémie à travers les mesures discriminatoires qui pèsent plus lourd sur les classes populaires et donc aux USA sur les populations noires :
[Lien]
A noter, en phase avec la remarque de l'auteur "Cependant, ne vous attendez pas à ce que de nombreux gauchistes, qui ont en général soutenu avec véhémence les confinements draconiens, s'en soucient beaucoup." que ce sont en effet les démocrates, soit disant en faveur des minorités, qui imposent les mesures les plus drastiques, que justement les minorités subissent le plus fortement.